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Citations sur le travailler à

Il y a 97 citations sur le travailler à.

• Un bon compromis pour ses clients, qui la payent à la tâche ou au forfait et évitent donc le paiement de nombreuses charges. Mais aussi pour elle. Cette nouvelle aventure est en effet le fruit de son histoire personnelle, marquée depuis quelques années par la maladie. « On m’a diagnostiqué la sclérose en plaques en 2012 et petit à petit je ne parvenais plus à gérer le stress, la pression. Travailler à domicile était devenu une nécessité et le télésecrétariat me permet de le faire », sourit la jeune maman.

• Les cyclopousses , pousse-pousse et autres tuctuc à Toamasina doivent être indemnisés comme à Tana si on leur interdit de travailler à cause du virus. En revanche, aucune mesure de confinement n’est encore imposée à Mahajanga. C’est la Clientele qui prend ses précautions en circulant moins. Les tuctuc doivent plutôt s’adapter à la situation. En baissant par exemple leur tarif, ils pourraient maintenir leurs activités. S’ils augmentent leur tarif, ils compenseraient peut être leurs manques à gagner. La 1ere alternative est sûrement la meilleure, Mais en tout cas, ils n’ont pas à réclamer une indemnisation comme à Toamasina.

• « Les pluies qui sont tombées récemment restent relativement faibles, et seule la couche superficielle a été mouillée, elles n’ont pas été suffisamment pénétrantes pour travailler à cœur ces couches moyennes et profondes, explique le capitaine Isner. Il suffit que les conditions météo redeviennent défavorables pour que les couches superficielles sèchent à nouveau, et qu’un point chaud résurgent déclenche un nouveau départ de feu. C’est pourquoi nous sommes vraiment en attente des pluies automnales. » Un dispositif d’intervention restera basé à Hostens jusque-là.

• Yveline Dugast a été embauchée en 1994 pour remplacer une Atsem à l’école du Bourg. Elle y est restée travailler à mi-temps puis à plein temps. Gilbert Le Floc’h était surveillant d’études au Likès avant de travailler, une saison, en 1993, au service de la voirie. En 1994, il a intégré le service des jardins où il était agent de maîtrise principal jusqu’à cet été. Quant à Jean-Noël Riou, il était électromécanicien lorsqu’il est entré aux services techniques. Il a été plongeur au port de Sainte-Marine lors de sa création, en 1987, et agent de maîtrise principal au service des bâtiments jusqu’à cette année.

• En étudiant l'addition d'un acide myristique dans les protéines, la myristylation, on peut mieux comprendre comment certaines maladies se développent et ainsi travailler à leur prévention.

• Ingénieur civil et électrique, major de promotion de Supelec France, sa passion pour servir son pays l’a poussé à ne pas assister à la remise de diplômes afin de ne pas être tenté par les offres alléchantes des recruteurs potentiels : son objectif unique était de travailler à EDL et de mettre au profit de son pays le savoir qu’il avait engrangé. Son oncle, Carlo Mobayed, directeur général d’EDL, refusa son recrutement. Motif ? Ne pas employer un proche... Le président du conseil d’administration d’EDL ira à l’encontre de la décision du directeur dénéral et rattrapera Roger Chemali qui pliait bagage pour repartir à l’étranger.

• Jonathan Audemard le conseille : "avant de penser au photovoltaïque, et afin qu'il soit efficace, il convient d'abord de travailler à une réduction de la consommation d'énergie". Comment? En passant par des systèmes de chauffage "vertueux". Ceux qui ont une chaudière à gaz ou au fioul devraient envisager l'avenir autrement. "Le choix parfait, c'est la pompe à chaleur air-eau. Voire aussi le chauffe-eau thermodynamique".

• Du côté de l'opposition, l'annonce de ce remaniement a été accueillie de manière critique. Le conseiller municipal (LR) Mahrouf Bounegta dit avoir « l'impression d'assister à un règlement de comptes » et regrette que ce changement intervienne « sans faire appel » aux habitants. Il a également demandé la raison de la démission Dalila Bakour, conseillère municipale déléguée à la santé et la prévention. Pour la conseillère Christel Esclangon, le remaniement « n'est pas un bon signe envoyé aux Villejuifois ». Elle estime que la majorité « resserre les rangs » pour travailler à sa réélection en 2026.

• La rentrée scolaire amène son lot de bonnes résolutions : bien travailler à l’école, se mettre au sport… lire ! A l’occasion du forum des associations qui aura lieu le samedi 3 septembre à Dunières, les bibliothèques de la communauté de communes Pays de Montfaucon seront présentes, représentées par l’association Dunièroise « Enlivrez-vous » et son équipe de bénévoles.

• Les actifs français ne vont pas très bien. 56 % d’entre eux déclarent avoir déjà eu des symptômes de burnout pendant leur carrière. Mieux vaut être dans l’IT et dans les télécoms (35 %) ou les RH (38 %) que dans les secteurs de la santé (67 %) ou juridique (68 %). Et contrairement aux idées reçues, il vaut mieux travailler à Paris (46% des parisiens ont eu des symptômes de burnout) que dans d’autres régions. En outre, les salariés ressentent plus la pression (61 %) que leurs homologues en freelance (51 %).

• L’éco-histoire du conflit politique en France proposée par J. Cagé et T. Piketty est une défense de la bipartition électorale : le clivage gauche-droite est le fondement de notre démocratie et il a permis le progrès social. Il faut donc travailler à le rétablir.

• Et puis il reste un rêve inachevé et surtout pas abandonné pour le couple de boulangers de la rue des Cloutiers. « Nous sommes toujours ancrés à cette idée de devenir un jour des paysans boulangers, afin de maîtriser de A à Z toute notre production ». En attendant de trouver un jour la centaine d’hectares nécessaires, Marie et Thomas continuent de travailler à ce qu’ils appellent « notre biscotte idéale ».

• L’outil s’adapte à tous les besoins, que vous soyez une agence, un freelance, un site e-commerce ou un annonceur. L’outil est en effet pensé pour monitorer plusieurs comptes, et plusieurs projets. On apprécie aussi aussi la dimension collaborative de la solution, il est en effet possible de travailler à plusieurs collaborateurs sur le même dashboard, mais aussi de choisir qui alerter pour chaque présence monitorée.

• Oui, c’est sûr. Une entreprise qui fabrique des caisses et des palettes, a priori, ce n’est pas ce qu’il y a de plus sexy. Mais ne partez pas trop vite, car l’histoire de la caisserie Radermecker en vaut la peine. "La société a été créée par mon père, Jules, en 1973", détaille Stéphane Radermecker, aujourd’hui à la tête de l’entreprise avec sa sœur, Christine. Et le moins que l’on puisse écrire, c’est que Jules Radermecker est parti de rien, ou presque. "Il a commencé travailler à 14 ans avec son père, qui était menuisier. Sa spécialité, c’était les cercueils."

• L’importateur a aussi présenté un andaineur à soleils de chez Sitrex, capable de travailler à des largeurs variables et à grande vitesse. « C’est un outil inspiré du constructeur Tonutti, mais amélioré. Les soleils sont capables de préserver les feuilles, même quand le chantier est avancé dans la journée, contrairement à des appareils à rotors, qui ne peuvent andainer que dans la fraîcheur de la rosée ». Les soleils indépendants sont capables de ramasser tout type de fourrage, y compris des cannes de maïs grain.

• Il s’agit de travailler à la possibilité d’une différentiation des normes et des compétences sur le territoire national. Pour les uns, ce peut incarner un risque de perte d’égalité entre les territoires. Pour d’autres, ce peut être la fin d’un uniformisme niant les différences entre territoires.

• La cousinade de la famille Breton a rassemblé, à Plouider, 185 personnes jeudi 9 mai 2024. L’origine de cette grande famille est le couple Allain Breton de Plouarzel et Marie-Louise Roudaut de Guissény qui s’unirent en 1923 et eurent onze enfants. « Cela leur a valu d’être lauréats du prix de la fondation Cognacq en 1936 », racontent leurs descendants. Le couple a vécu dans sa petite ferme de Saint-Frégant et Allain prenait chaque jour l’autobus à 5 h 30 pour aller travailler à l’Arsenal de Brest, en plus de son travail à la ferme, afin de nourrir sa famille.

• Chargé d’écouter les sons, il découvre la vie de sous-marinier en isolement complet, sans Internet ni téléphone portable. « Un monde du silence qui permet de réfléchir », ajoute-t-il. Il apprend à se mouvoir dans les coursives trop étroites pour y marcher par deux et partage les chambres collectives avec des lits aux allures de tiroirs. « C’est un peu comme si vous deviez vivre et travailler à 70 dans un appartement de 120 m2, résume-t-il. On y apprend à déminer les conflits. Il faut beaucoup d’empathie, de rigueur et avoir le goût du collectif. »