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Il y a 29 citations sur le trente-deux.
Pour la période de trente-deux ans, qui correspond aux règnes de Childebert, de Caribert et de Dagobert, les numismates ont classé 141 médailles de Banassac. J.-B. Delon — Histoire de Gévaudan-Lozère
« J’étais trop gniard en 14-18, dit-il, pour aller à la riflette. Je me sens trop vioque (il a trente-deux ans) pour monter maintenant au casse-pipe. Faudrait pas nous prendre pour des branques. Se faire dessouder pour la Tchécoslovaquie ? Jean Ferniot — C’était ma France
La garnison se composait de trente-deux Suisses et de quatre-vingt-deux invalides. La Bastille n’était-elle pas imprenable? Alfred Barbou — Les Trois Républiques françaises
Plus au nord, Dawson — ville-champignon des années du Klondike — est devenue village-musée, avec une trentaine de bâtiments historiques. On le visite avec Faye Chamberlain, trappeuse et guide qui a quitté le Québec il y a trente-deux ans. — (Anne Pélouas, Au Yukon, le Grand Nord à l’accent français, dans Le Monde, 20 mai 2009 [texte intégral])
Ajoutons ici que l’alphabet zend est composé de quarante-huit caractères, dont trente-deux consonnes et seize voyelles, nombre presque égal à celui des lettres qui composent l’alphabet dêvanâgary, qui a seize voyelles et trente-quatre consonnes. John Chardin — François Pétis de La Croix
Après tout, la population du globe est, dit-on, de quatorze cents millions d’âmes, et à trente-deux dents par habitant, cela fait près de quarante-cinq milliards. Jules Verne — Claudius Bombarnac
Un dur métier, dis-je ! de haler sur la bricole durant trois mois, de recevoir l'eau jusqu'aux aisselles dans les rapides, de guider cette chaîne de trente-deux « coupons » avec la perche ferrée, de « chorer » qu'il disaient. Jean Rogissart — Passantes d’Octobre
Dans le domaine de la navigation, déterminer le bon rhumb est essentiel ; cela revient à fixer le cap précis entre deux des trente-deux directions de la rose des vents. (Citation fictive)
Il y a une trentaine d'années, Fritz Zorn, un jeune Suisse emporté par le cancer à l'age de trente-deux ans, ouvre par ces mots terribles une autobiographie romanesque et posthume dont le titre était "Mars" : "Je suis jeune et riche et cultivé; et je suis malheureux, névrosé et seul. Je déscends d'une des meilleures familles de la rive droite du lac de Zurich, qu'on appelle aussi la Rive dorée. Ma famille est passablement dégénérée: c'est pourquoi j'ai sans doute une lourde hérédité et je suis abîmé par mon milieu." (p.113) Jean d'Ormesson — Qu'ai-je donc fait ?