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Citations sur la trompe

Il y a 33 citations sur la trompe.

• Un livre est un ami qui ne trompe jamais.

• Quand on croit deviner on se trompe souvent.

• On n’est jamais trompé, on se trompe soi-même.

• En voulant, on se trompe souvent. Mais, en ne voulant pas, on se trompe toujours.

• Qui me trompe une fois, honte à lui ; qui me trompe deux fois, honte à moi.

• Trompe-moi sur le prix, ne me trompe pas sur la marchandise.

• Quand l'érudit se trompe, il se trompe avec érudition.

• Quand l'érudit se trompe, il se trompe avec éridution.

• Qui pense peu, se trompe beaucoup.

• En mariage, trompe qui peut.

• Celui qui rit toujours trompe souvent.

• Si je me trompe, j'existe.

• Sauf erreur, je ne me trompe jamais.

• Qui croit beaucoup, beaucoup se trompe.

• Celui qui interroge se trompe Celui qui répond se trompe.

• Une habile combinaison d'émail imitait à s'y tromper le plumage ocellé de l'oiseau

• J'en pourrais citer beaucoup d'exemples. En voici un qui remonte, si je ne me trompe, aux premiers temps de Justine dans notre maison

• Ou je me trompe fort, ou Marc et Philippe vont faire une maladie, tellement ils sont jaloux

• « Cette... méfiance, à l'égard de ton père... » − « Tout le monde peut se tromper. La preuve! »

• Son inflammation [du nez], s'étendant à la partie postérieure des fosses nasales, a vite fait de gagner la trompe d'Eustache et l'oreille moyenne

• Non, dit-elle, je trouve beaucoup trop d'affectation dans la bienfaisance faite à son de trompe

• Les maxilles comprennent les palpes maxillaires placés latéralement, souvent nuls, et les galeae formant la trompe ou glossothèque, de dimensions très variables ; elle peut atteindre ou dépasser les premiers segments abdominaux, […].

• À chaque tintement électrique qui lui annonçait un train, sonner de la trompe

• Le bon Piqueur doit sçauoir bien parler en cris, & langages plaisans aux chiens, crier, hucher, & houpper ses compagnons, forhuer en mots longs, & sonner de la trompe.

• Dix ou vingt mille cornes, klaxons et trompes proclament éperdument la mobilisation du plaisir;...

• Il prophétisait vrai : notre maître Mitis,Pour la seconde fois, les trompe et les affine,Blanchit sa robe et s’enfarine ;Et, de la sorte déguisé,Se niche et se blottit dans une huche ouverte.Ce fut à lui bien avisé :La gent trotte-menu s’en vient chercher sa perte.Un rat, sans plus, s’abstient d’aller flairer autour ;C’était un vieux routier, il savait plus d’un tour ;Même il avait perdu sa queue à la bataille.Ce bloc enfariné ne me dit rien qui vaille,S’écria-t-il de loin au général des chats :Je soupçonne dessous encor quelque machine :Rien ne te sert d’être farine ;Car, quand tu serais sac, je n’approcherais pas.C’était bien dit à lui : j’approuve sa prudence :Il était expérimenté,Et savait que la méfianceEst mère de la sûreté.

• Car, enfin, une femme qui trompe aussi facilement son mari, tu aurais pu te passer de la mettre sur un piédestal. Elle ne l'aimait pas, elle m'aimait, s'écria Richard. Mon pauvre garçon, soupira le docteur, ne recommence pas à confondre les mots et la vérité.

• 13 juillet.Non, je ne me trompe pas ; je lis dans ses yeux noirs un véritable intérêt pour ma personne et pour mon sort. Je le sens, et, là-dessus, j’ose me fier à mon cœur, elle…. Oh ! pourrai-je, oserai-je exprimer en ces mots le bonheur céleste ? … Je sens que je suis aimé.Je suis aimé ! … Et combien je me deviens cher à moi-même, combien…. J’ose te le dire, tu sauras me comprendre. Combien je suis relevé à mes propres yeux depuis que j’ai son amour ! … Est-ce de la présomption ou le sentiment de ce que nous sommes réellement l’un pour l’autre ? … Je ne connais pas d’homme dont je craigne quelque chose dans le cœur de Charlotte, et pourtant, lorsqu’elle parle de son fiancé, qu’elle en parle avec tant de chaleur, tant d’amour... je suis comme le malheureux que l’on dépouille de tous ses honneurs et ses titres, et à qui l’on retire son épée.16 juillet.Ah ! quel frisson court dans toutes mes veines, quand, par mégarde, mes doigts touchent les siens, quand nos pieds se rencontrent sous la table ! Je me retire comme du feu, et une force secrète m’attire de nouveau…. Le vertige s’empare de tous mes sens. Et son innocence, son âme candide, ne sent pas combien ces petites familiarités me font souffrir. Si, dans la conversation, elle pose sa main sur la mienne, et si, dans la chaleur de l’entretien, elle s’approche de moi, en sorte que son haleine divine vienne effleurer mes lèvres... je crois mourir, comme frappé de la foudre…. Wilhelm, et ce ciel, cette confiance, si j’ose jamais... Tu m’entends…. Non, mon cœur n’est pas si corrompu. Faible ! bien faible !... Et n’est-ce pas de la corruption ?

• Il résulta de ces petits savoir-faire cette apparence de succès qui trompe la jeunesse et l’étourdit sur l’avenir.

• Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,Dont le doigt nous menace et nous dit :  « Souviens-toi !Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d’effroiSe planteront bientôt comme dans une cible,Le plaisir vaporeux fuira vers l’horizonAinsi qu’une sylphide au fond de la coulisse ;Chaque instant te dévore un morceau du déliceA chaque homme accordé pour toute sa saison.Trois mille six cents fois par heure, la SecondeChuchote : Souviens-toi ! – Rapide, avec sa voixD’insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois,Et j’ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !Remember ! Souviens-toi, prodigue ! Esto memor !(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)Les minutes, mortel folâtre, sont des ganguesQu’il ne faut pas lâcher sans en extraire l’or !Souviens-toi que le Temps est un joueur avideQui gagne sans tricher, à tout coup ! c’est la loi.Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.Tantôt sonnera l’heure où le divin Hasard,Où l’auguste Vertu, ton épouse encor vierge,Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !),Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard !  »

• Tu as le béguin pour elle depuis le premier jour, depuis le matin où tu m'as vu le torse nu sous la douche. Je l'ai compris quand on est rentré. Toutes les mamours que tu me faisais, c'était pour elle. Je ne me trompe pas ?

• Un livre est un ami qui ne trompe jamais.

• Celui qui interroge se trompe Celui qui répond se trompe.