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Citations sur le va pour

Il y a 28 citations sur le va pour.

• Les réseaux sociaux sont devenus des lieux où l'on va pour s'auto-masturber émotionnellement, espérant trouver un écho dans le vide numérique.

• — Qu’est-ce que tu préfères ? Une glace à la vanille ou à la fraise ?— Va pour la fraise.

• — Le paquet de pain complet est fermé par un tortillon, le pain de mie par un... trucmuche. Tu sais, ce bout de plastique avec une fente. — Trucmuche décrit ça très bien. Va pour le pain complet. Sans beurre. Je suis au régime. — (Emilie Richards, L'écho de la rivière, traduit de l'américain par Florence Godebska, Éditions Harlequin (coll. BestSellers), 2012, chap. 32)

• Voyez. C’est un typhon qui se prépare !− Va pour le typhon du sud, puisqu'il nous poussera du bon côté, répondit Mr Fogg.

• C’est très local, disons, pas du tout le genre d’endroit où on va pour trouver quelque chose de classieux. C’est rempli de nomiya où on consomme debout et de game centers aux couleurs fanées, où contre une librairie indépendante dont la bicoque penche d’un côté on trouve un restaurant de viande grillée long et étroit comme un couloir, lui-même accolé à un club de rencontres clinquant à piquer les yeux ; ensuite on a un restaurant de fugu, sauf que dès la première bouchée tu peux être sûre que celui-là n’a jamais vu de vrai fugu de sa vie ni de près ni de loin, le fond sonore est gracieusement offert par le pachinko d’à côté, il y a des loupiotes qui clignotent, un café très, mais alors très sombre avec des tables de mah-jong intégrées, un graveur de sceaux où personne n’a jamais vu le moindre employé ni le moindre client, et cetera et cetera ; on entend des hurlements de disputes, des rires, il y a des montagnes de bouteilles de bière cassées sur le côté de la rue, c’est un capharnaüm indescriptible.

• Il va pour se tuer de la même manière que son père et que son oncle, d'un coup de pistolet. Autre indice d'hérédité : loi d'homopraxie. Paul Bourget Geôle

• Une organisation odaliste internationale, indépendante et extrémiste de droite, va pour sa part tenter de prendre forme autour d’un musicien norvégien de Black Metal, Varg Vikernes.

• Marx a dit beaucoup de bêtises, mais Marx était un esprit libre, il était capable de regarder la société de son temps avec ironie et cruauté. Il est le remède contre le panglossisme, c'est à dire la propension à croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.

• On remarquait sur son visage un grand naturel, ce parti pris de naturel si fréquent chez les épouses de nerveux qui semblent toujours vouloir faire croire autour d’elles que tout va pour le mieux dans le plus sédatif des mondes.

• En effet, c’est pour Le Septième Voyage de Sinbad que Ray Harryhausen va pour la première faire appel à un certain Bernard Herrmann qui est réputé indébauchable puisqu’il est le compositeur attitré d’Alfred Hitchcock [...]

• Sur ce, le guitariste va pour se faire les adjas...

• Et quand je dis vacances, j’entends des vacances officielles, obligatoires et ophtalmiques, ainsi qu’il en va pour nos budgétivores.

• On passe au niveau supérieur, on réécale du cul de capcom, sammy et cave et on y va pour de grandes années!!!

• — Va pour une fête, mes enfants. — Oui, mais quelque chose de tapé, de chenu, de drôlichon, insista Crapichette. — (Eugène Chavette, La Chambre du crime, 1875)

• C’est très local, disons, pas du tout le genre d’endroit où on va pour trouver quelque chose de classieux. C’est rempli de nomiya où on consomme debout et de game centers aux couleurs fanées, où contre une librairie indépendante dont la bicoque penche d’un côté on trouve un restaurant de viande grillée long et étroit comme un couloir, lui-même accolé à un club de rencontres clinquant à piquer les yeux ; ensuite on a un restaurant de fugu, sauf que dès la première bouchée tu peux être sûre que celui-là n’a jamais vu de vrai fugu de sa vie ni de près ni de loin, le fond sonore est gracieusement offert par le pachinko d’à côté, il y a des loupiotes qui clignotent, un café très, mais alors très sombre avec des tables de mah-jong intégrées, un graveur de sceaux où personne n’a jamais vu le moindre employé ni le moindre client, et cetera et cetera ; on entend des hurlements... disputes... montagnes... bière cassées sur le côté... capharnaüm indescriptible.

• Sur quoi, nous trinquons, et il s’en va pour tâcher de dégotter quelque chose.

• Quand on s'en va pour la première fois, on ne sait pas comment se retourner.

• Et pour cause, l’endroit est certes joli et propret, mais il n’a pas en lui les codes de la néocantine. C’est un restaurant à l’essence de restaurant... Vous savez ? Un endroit où l’on va pour se restaurer. Matthias est aux commandes et son accent ne laisse aucun doute — bruxellois bien prononcé —, tout comme sa maîtrise des deux langues nationales. Ce jeune homme est une espèce en voie de disparition, du genre à aimer les boulettes et la mayonnaise.

• Le Brexit s’ajoute à l’offensive protectionniste américaine pour brouiller les perspectives européennes. Le départ du Royaume-Uni, déjà source d’un amoindrissement de l’avantage comparatif de l’Union dans les services, va pour partie détricoter l’intense réseau d’échanges intrabranche de produits manufacturés au sein du marché unique (il s’agit des échanges croisés de produits similaires entre les pays).

• «La peur de son père l'obnubile» ou «la peur de son père l'omnibule»? Ou bien est-ce «la peur de son père l'omnubile»? À l'oral, l'erreur est aisée, presque indétectable. Difficile en effet de ne pas tomber dans les pièges de la paronymie et à l'écrit, de l'homonymie. Quand faut-il noter, par exemple, «fatigant» plutôt que «fatiguant»? Qu'en est-il du spécialiste chez qui l'on va pour avoir les dents droites? Est-ce un «orthodontiste» ou bien un «orthodentiste»? Les erreurs ont la dent dure. Petit tour d'horizon.