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Citations sur le vieux - Page 2
Il y a 126 citations sur le vieux.
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Cette première pièce exhale une odeur sans nom dans la langue, et qu’il faudrait appeler l’odeur de pension. Elle sent le renfermé, le moisi, le rance ; elle donne froid, elle est humide au nez, elle pénètre les vêtements ; elle a le goût d’une salle où l’on a dîné ; elle pue le service, l’office, l’hospice. Peut-être pourrait-elle se décrire si l’on inventait un procédé pour évaluer les quantités élémentaires et nauséabondes qu’y jettent les atmosphères catarrhales et sui generis de chaque pensionnaire, jeune ou vieux. Eh bien, malgré ces plates horreurs, si vous le compariez à la salle à manger, qui lui est contiguë, vous trouveriez ce salon élégant et parfumé comme doit l’être un boudoir. Cette salle, entièrement boisée, fut jadis peinte en une couleur indistincte aujourd’hui, qui forme un fond sur lequel la crasse a imprimé ses couches de manière à y dessiner des figures bizarres. Elle est plaquée de buffets gluants sur lesquels sont des carafes échancrées, ternies, des ronds de moiré métallique, des piles d’assiettes en porcelaine épaisse, à bord bleus, fabriquées à Tournai. Dans un angle est placée une boîte à cases numérotées qui sert à garder les serviettes, ou tachées ou vineuses de chaque pensionnaires. Il s’y rencontre de ces meubles indestructibles, proscrits partout, mais placés là comme le sont les débris de la civilisation aux Incurables. Vous y verriez un baromètre à capucin qui sort quand il pleut, des gravures exécrables qui ôtent l’appétit, toutes encadrées en bois noir verni à filets dorés ; un cartel en écaille incrustée de cuivre ; un poêle vert, des quinquets d’Argand où la poussière se combine avec l’huile, une longue table couverte en toile cirée assez grasse pour qu’un facétieux externe y écrive son nom en se servant de son doigt comme de style, des chaises estropiées, de petits paillassons piteux en sparterie qui se déroule toujours sans se perdre jamais, puis des chaufferettes misérables à trous cassés, à charnières défaites, dont le bois se carbonise. Pour expliquer combien ce mobilier est vieux, crevassé, pourri, tremblant, rongé, manchot, borgne, invalide, expirant, il faudrait en faire une description qui retarderait trop l’intérêt de cette histoire, et que les gens pressés ne pardonneraient pas. Le carreau rouge est plein de vallées produites par le frottement ou par les mises en couleur. Enfin, là règne la misère sans poésie ; une misère économe, concentrée, râpée. Si elle n’a pas de fange encore, elle a des taches ; si elle n’a ni trous ni haillons, elle va tomber en pourriture.
Balzac — Le Père Goriot -
La vie simple et remplie de quelque homme de bien, d’un vieux prêtre, par exemple.
Anatole France — Vie littéraire -
Sous les noirs acajous, les lianes en fleur,Dans l’air lourd, immobile et saturé de mouches,Pendent, et, s’enroulant en bas parmi les souches,Bercent le perroquet splendide et querelleur,L’araignée au dos jaune et les singes farouches.C’est là que le tueur de bœufs et de chevaux,Le long des vieux troncs morts à l’écorce moussue,Sinistre et fatigué, revient à pas égaux.Il va, frottant ses reins musculeux qu’il bossue ;Et, du mufle béant par la soif alourdi,Un souffle rauque et bref, d’une brusque secousse,Trouble les grands lézards, chauds des feux de midi,Dont la fuite étincelle à travers l’herbe rousse.En un creux du bois sombre interdit au soleilIl s’affaisse, allongé sur quelque roche plate ;D’un large coup de langue il se lustre la patte ;Il cligne ses yeux d’or hébétés de sommeil ;Et, dans l’illusion de ses forces inertes,Faisant mouvoir sa queue et frissonner ses flancs,Il rêve qu’au milieu des plantations vertes,Il enfonce d’un bond ses ongles ruisselantsDans la chair des taureaux effarés et beuglants.
Leconte de Lisle — « Le rêve du jaguar » -
Je suis un pâle enfant du vieux Paris, et j’aiLe regret des rêveurs qui n’ont pas voyagé.Au pays bleu mon âme en vain se réfugie,Elle n’a jamais pu perdre la nostalgieDes verts chemins qui vont là-bas, à l’horizon.Comme un pauvre captif vieilli dans sa prisonSe cramponne aux barreaux étroits de sa fenêtrePour voir mourir le jour et pour le voir renaître.Ou comme un exilé, promeneur assidu,Regarde du coteau le pays défenduSe dérouler au loin sous l’immensité bleue,Ainsi je fuis la ville et cherche la banlieue.Avec mon rêve heureux j’aime partir, marcherDans la poussière, voir le soleil se coucherParmi la brume d’or, derrière les vieux ormes,Contempler les couleurs splendides et les formesDes nuages baignés dans l’occident vermeil,Et, quand l’ombre succède à la mort du soleil,M’éloigner encor plus par quelque agreste rueDont l’ornière rappelle un sillon de charrue,Gagner les champs pierreux, sans songer au départ,Et m’asseoir, les cheveux au vent, sur le rempart.Au loin, dans la lueur blême du crépuscule,L’amphithéâtre noir des collines recule,Et, tout au fond du val profond et solennelParis pousse à mes pieds son soupir éternel.Le sombre azur du ciel s’épaissit. Je commenceA distinguer des bruits dans ce murmure immense,Et je puis, écoutant, rêveur et plein d’émoi,Le vent du soir froissant les herbes près de moi,Et parmi le chaos des ombres débordantes,Le sifflet douloureux des machines stridentes,Ou l’aboiement d’un chien, ou le cri d’un enfant,Ou le sanglot d’un orgue au lointain s’étouffant,Ou le tintement clair d’une tardive enclume,Voir la nuit qui s’étoile et Paris qui s’allume
François Coppée — « Un pâle enfant du vieux Paris » -
Nous avons tous un épiderme sensible aux tziganes et aux marches militaires. […]Il y a des œuvres longues qui sont courtes. L’œuvre de Wagner est une œuvre longue qui est longue, une œuvre en étendue, parce que l’ennui semble à ce vieux dieu une drogue utile pour obtenir l’hébétement des fidèles.Il en est ainsi des magnétiseurs qui hypnotisent en public. La bonne passe qui endort est généralement très courte et très simple, mais ils l’accompagnent de vingt passes postiches qui frappent la foule.La foule est séduite par le mensonge ; elle est déçue par la vérité trop simple, trop nue, trop peu inconvenante. […]Socrate disait : « Quel est cet homme qui mange du pain comme si c’était de la bonne chère, et la bonne chère comme si c’était du pain ? »Réponse : le mélomane allemand.
Jean Cocteau — Le Coq et l’Arlequin -
Par les journées de juillet très chaudes, le mur d’en face jetait sur la petite cour humide une lumière éclatante et dure.Il y avait un grand vide sous cette chaleur, un silence, tout semblait en suspens ; on entendait seulement, agressif, strident, le grincement d’une chaise traînée sur le carreau, le claquement d’une porte. C’était dans cette chaleur, dans ce silence – un froid soudain, un déchirement.Et elle restait sans bouger sur le bord de son lit, occupant le plus petit espace possible, tendue, comme attendant que quelque chose éclate, s’abatte sur elle dans ce silence menaçant.Quelquefois le cri aigu des cigales, dans la prairie pétrifiée sous le soleil et comme morte, provoque cette sensation de froid, de solitude, d’abandon dans un univers hostile où quelque chose d’angoissant se prépare.Étendu dans l’herbe sous le soleil torride, on reste sans bouger, on épie, on attend.Elle entendait dans le silence, pénétrant jusqu’à elle le long des vieux papiers à raies bleues du couloir, le long des peintures sales, le petit bruit que faisait la clef dans la serrure de la porte d’entrée. Elle entendait se fermer la porte du bureau.Elle restait là, toujours recroquevillée, attendant, sans rien faire. La moindre action, comme d’aller dans la salle de bains se laver les mains, faire couler l’eau du robinet, paraissait une provocation, un saut brusque dans le vide, un acte plein d’audace. Ce bruit soudain de l’eau dans ce silence suspendu, ce serait comme un signal, comme un appel vers eux, ce serait comme un contact horrible, comme de toucher avec la pointe d’une baguette une méduse et puis d’attendre avec dégoût qu’elle tressaille tout à coup, se soulève et se replie.Elle les sentait ainsi, étalés, immobiles, derrière les murs, et prêts à tressaillir, à remuer.Elle ne bougeait pas. Et autour d’elle toute la maison, la rue semblaient l’encourager, semblaient considérer cette immobilité comme naturelle.Il paraissait certain, quand on ouvrait la porte et qu’on voyait l’escalier, plein d’un calme implacable, impersonnel et sans couleur, un escalier qui ne semblait pas avoir gardé la moindre trace des gens qui l’avaient parcouru, pas le moindre souvenir de leur passage, quand on se mettait derrière la fenêtre de la salle à manger et qu’on regardait les façades des maisons, les boutiques, les vieilles femmes et les petits enfants qui marchaient dans la rue, il paraissait certain qu’il fallait le plus longtemps possible – attendre, demeurer ainsi immobile, ne rien faire, ne pas bouger, que la suprême compréhension, que la véritable intelligence, c’était cela, ne rien entreprendre, remuer le moins possible, ne rien faire.Tout au plus pouvait-on, en prenant soin de n’éveiller personne, descendre sans le regarder l’escalier sombre et mort, et avancer modestement le long des trottoirs, le long des murs, juste pour respirer un peu, pour se donner un peu de mouvement, sans savoir où l’on va, sans désirer aller nulle part, et puis revenir chez soi, s’asseoir au bord du lit et de nouveau attendre, replié, immobile.
Nathalie Sarraute — Tropismes -
Le long du vieux faubourg, où pendent aux masuresLes persiennes, abri des secrètes luxures,Quand le soleil cruel frappe à traits redoublésSur la ville et les champs, sur les toits et les blés,Je vais m’exercer seul à ma fantasque escrime,Flairant dans tous les coins les hasards de la rime,Trébuchant sur les mots comme sur les pavés,Heurtant parfois des vers depuis longtemps rêvés.Ce père nourricier, ennemi des chloroses,Eveille dans les champs les vers comme les roses ;Il fait s’évaporer les soucis vers le ciel,Et remplit les cerveaux et les ruches de miel.C’est lui qui rajeunit les porteurs de béquillesEt les rend gais et doux comme des jeunes filles,Et commande aux moissons de croître et de mûrirDans le coeur immortel qui toujours veut fleurir !Quand, ainsi qu’un poète, il descend dans les villes,Il ennoblit le sort des choses les plus viles,Et s’introduit en roi, sans bruit et sans valets,Dans tous les hôpitaux et dans tous les palais.
Baudelaire — Les Fleurs du Mal -
Madame Cibot parla pendant une demi-heure sans que l’agent d’affaires se permît la moindre interruption ; il avait l’air curieux d’un jeune soldat écoutant un vieux de la vieille.
Honoré de Balzac — Le cousin Pons -
C’est un soldat du premier empire, un vieux de la vieille, comme on dit, un dur-à-cuire, qui a fait toutes les campagnes du Ier Napoléon.
Marie-Louise Gagneur — Jean Caboche à ses amis paysans -
Ce n’était pas les morts qu’éveilleLe son du nocturne tambour, Mais bien quelques vieux de la vieille Qui célébraient le grand retour.
Théophile Gautier — « Vieux de la vieille » -
Si on ne nous reconnait plus, les vieux de la vieille savent que, quand on était ti-cul, c’était nous les rois de la grève.
Jonathan Painchaud — « Les vieux chums » -
Conservateur par tempérament, sans même avoir besoin d’étayer de principes politiques son conservatisme, vieux de la Vieille du Protocole, homme du monde fort goûté dans la bonne société de Washington, il y fit successivement deux brillants mariages, tous deux sans enfants.
Marguerite Yourcenar — Souvenirs pieux -
On le nomme le capitaine d’Herbigny, un vieux de la vieille qui n’a pour toute fortune que sa croix d’honneur et sa pension.
Gustave Flaubert — L’éducation sentimentale -
Vous voilà plus couturé de blessures qu’un vieux de la vieille.
Romain Rolland — Deux hommes se rencontrent -
À l’issue de ce bal, le vieux roi qui pressentait la mort projetait de remettre le pouvoir entre les mains du prince dont la femme serait à la fois la plus belle et la mieux parée.
Noël Devaulx — Sainte Barbegrise -
Il ne rendait visite qu'à sa mère et encore, cette dernière, entourée de vieilles personnes ridicules et sujette elle-même à des radotages, lui agaçait les nerfs.
Francis Carco — L’Homme de minuit -
christine. − Un vieux célibataire coureur! mademoiselle andriot. − Comment célibataire! Il a été marié une dizaine d'années, et a deux enfants! christine. − Oui, mais, maintenant, il mène une vie de célibataire. Il aurait pu se remarier. 1950, II
Montherlant — Celles qu'on prend dans ses bras -
Un vieux bonhomme, un pied dans la tombe, il sent le sapin, comme on dit, et il suffit d’un ragot de bonne femme, il est tout de suite là pour écouter; rien ne peut se dire sans lui.
Fédor Dostoïevski — Le Double -
Il prophétisait vrai : notre maître Mitis,Pour la seconde fois, les trompe et les affine,Blanchit sa robe et s’enfarine ;Et, de la sorte déguisé,Se niche et se blottit dans une huche ouverte.Ce fut à lui bien avisé :La gent trotte-menu s’en vient chercher sa perte.Un rat, sans plus, s’abstient d’aller flairer autour ;C’était un vieux routier, il savait plus d’un tour ;Même il avait perdu sa queue à la bataille.Ce bloc enfariné ne me dit rien qui vaille,S’écria-t-il de loin au général des chats :Je soupçonne dessous encor quelque machine :Rien ne te sert d’être farine ;Car, quand tu serais sac, je n’approcherais pas.C’était bien dit à lui : j’approuve sa prudence :Il était expérimenté,Et savait que la méfianceEst mère de la sûreté.
Jean de La Fontaine — Fables -
Votre vieille ganache romantique et libérale vous embrasse tendrement
Flaubert — Correspondance -
Culotte bas, vieux tigre ! Écoliers ! écoliers !Accourez par essaims, par bandes, par milliers,
Victor Hugo — A propos d’Horace -
Vous connaissez la violence du petit vieux. – Elle ne faiblit pas… Mais si maintenant, tout paraît mieux, quels mauvais jours nous avons passés il y a quelques semaines – J’ai bien cru un moment qu’il ne pourrait plus se secouer du plus profond chagrin. Souvent, je l’ai surpris pleurant et ne s’était-il pas mis en tête qu’il aurait dû s’enrôler pour défendre Anvers. C’était devenu une idée fixe et maladive, presque…
Lettre de Marthe Verhaeren à Theo Van Rysselberghe — Londres -
Deux personnes avaient pris place à la table voisine de la nôtre. Un vieux monsieur avec des moustaches gris perle et un feutre blanc, une vieille dame en robe bleu foncé.
Patrick Modiano — La ronde de nuit -
Toujours aussi bleu que l’eau le voudra Il est dans vos yeux il est dans vos bras Et c’est le secret de ce vieux mystère Qui dit aide-toi le ciel t’aidera
Louis Aragon — Le nouveau Crève-cœur -
Chacun rebâtit sa maison, vend ses vieux meubles, refond son argenterie, ou la troque pour la porcelaine de Sèvres qui ne vaut ni le vieux Saxe ni les chinoiseries.
Honoré de Balzac — La Recherche de l’Absolu -
Arrocher est un vieux mot champenois qui signifie jeter des pierres, ruer des bâtons vers un but.
Bernard Coussée — Le coq: folklore et mythologie d’un oiseau -
Une mention spéciale pour Axel Loustau, vieille connaissance de la présidente lui aussi, passé par le GUD, et qui a, semble-t-il, profité du grand cœur de Marine pour surfacturer l’impression des tracts et affiches de campagne — une petite entourloupe classique, au FN. — (« Marine est trop bonne », Le Canard Enchaîné, 30 mai 2018, page 1.)
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J’aime les vieux. Ils vont courbés vers la terre, parce que le ciel éblouit leurs prunelles usées. Ils sont si bons qu’ils ont l’air sûrs que nous deviendrons aussi vieux qu’eux ; ils sont si fragiles qu’ils ne se hasardent pas dehors le matin, alors que sur les enclumes, sur les routes, tout résonne d’un bruit qui casse, et que rien n’amortit. Ils se réunissent pour les enterrements, par devoir, comme les pompiers pour la parade. Leurs mains tremblotent, car elles ont appris la valeur du temps, et le battent comme des pendules ; leurs veines ont si froid au fond de leur corps, qu’elles se glissent à la surface, et la peau seulement les sépare du soleil.
Jean Giraudoux — Provinciales -
Il n’avait pas été peu mortifié en se voyant refuser accès auprès de son père ; il l’eût été bien davantage s’il avait pu savoir qui venait de le devancer près du vieux.
André Gide — Les Caves du Vatican -
Je suis le plus vieux de ma classe.
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De vieilles rapsodies.
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\"D'abord, les transformations de la vieille Autriche qu'il évoque avec mélancolie, son charme suranné, la tradition artistique de Vienne qui se maintient d'abord dans les années trente alors que les nationalismes sont de plus en plus virulents, mais qui ne survivra pas à l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne hitlérienne en 1938 [...].
Nuit blanche — n° 163\" -
J'ai remarqué que dans tous les endroits où il y a de vieux monuments d'histoire, il y a plus de vieilles gens qu'ailleurs: les centenaires s'abritent aux vieilles pierres
Goncourt — Journal -
\"Les gendarmes étaient venus à pied, par sept kilomètres de vieux chemins.
Joseph Jolinon — Marie Bourgogne\" -
Las! que c'est de tourner vieux!
Verlaine — Œuvres complètes, Épigrammes -
Vieux sorcier, vieille sorcière.
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Excusez-moi, madame! Mais mon vieil âge ne me permet pas d'être dans le mouvement
Georges Feydeau — Dame de chez Maxim's -
Ce petit vieux de vingt-huit ans
Émile Zola — Pot-Bouille -
Il y avait deux garçons, mais si... le plus vieux a fait sa position dans la gendarmerie
Aymé — Jument -
Ah! c'est toi, vieux baiseur, vieux fouteur! Qu'est-ce que tu viens faire par ici?
Goncourt — Journal -
Il faut avoir une santé de vieux chêne pour vendre des livres sur les quais
auteur -
La futaie est moderne, ancienne, bis-ancienne. Au-dessus, elle est dite de vieille écorce
Pesquidoux — Livre raison