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Il y a 110 citations sur le voilà.
Craignons-nous nous-mêmes : les préjugés, voilà les voleurs ; les vices, voilà les meurtriers. Victor Hugo — Les misérables
Ainsi va le monde, Messieurs-Dames. Voilà, voilà, comment il tourne. Du sang, de la boue et des larmes. Argent, pouvoir, paquet d'embrouilles. Louis Chedid — Bourreaux, victimes et spectateurs
Avoir des opinions ne m'intéresse pas. C'est à la portée de n'importe qui. Mais avoir des idées vraies, absolument vraies, voilà qui est difficile et voilà qui est beau. Jean Guitton — Mon testament philosophique
Ah, te voilà, toi ! Regarde la voilà, la pomponnette. Garce, salope, ordure, c'est maintenant que tu reviens ? Raimu — du film La femme du boulanger
« Oh ! ne parlez pas de ma peine, » dit la Duchesse ; « je vous fais cadeau de tout ce que j’ai dit jusqu’à présent. » « Voilà un cadeau qui n’est pas cher ! » pensa Alice. « Je suis bien contente qu’on ne fasse pas de cadeau d’anniversaire comme cela ! » Mais elle ne se hasarda pas à le dire tout haut. Lewis Carroll — Alice au pays des merveilles
Se jeter dans les extrêmes, voilà la règle du poète. Garder en tout un juste milieu, voilà le bonheur. Denis Diderot
Il faut donc choisir de deux choses l'une : ou souffrir pour se développer, ou ne pas se développer, pour ne pas souffrir. Voilà l'alternative de la vie, voilà le dilemme de la condition terrestre. Théodore Jouffroy — Cours d'esthétique
Jouir avant de posséder voilà l'instinct de l'homme : posséder avant de jouir voilà l’instinct de la femme. Antoine Fabre d’Olivet — Histoire philosophique du genre humain.
Ni aimer, ni haïr : voilà la moitié de toute sagesse. Ne rien dire et ne rien croire : voilà l'autre. Arthur Schopenhauer — La Vie, l'amour et la mort
Pignon sur rue et rognons velus voilà bienLe triste sort de tout celui qui s’embourgeoiseLe mystère c’est qu’on sait pas comment ça vientMais un beau jour on s’aperçoit que l’on merdoise Raymond Queneau — Le Chien à la mandoline
L’être ou le néant, voilà le problème. Monter, descendre, aller, venir, tant fait l’homme qu’à la fin il disparaît. Un taxi l’emmène, un métro l’emporte, la tour n’y prend garde, ni le Panthéon. Paris n’est qu’un songe, Gabriel n’est qu’un rêve (charmant), Zazie le songe d’un rêve (ou d’un cauchemar) et toute cette histoire le songe d’un songe, le rêve d’un rêve, à peine plus qu’un délire tapé à la machine par un romancier idiot (oh ! pardon)... Raymond Queneau — Zazie dans le métro