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Citations sur le XVIIème

Il y a 37 citations sur le XVIIème.

• Dans l'architecture du XVIIème siècle, la rudenture s'affiche avec élégance et sobriété, ornant le bas des colonnes avec un motif qui évoque la robustesse d'un câble ou la simplicité d'un bâton.

• Dans ce magnifique château du XVIIème siècle, la grandeur de l'escalier principal est adoucie par l'existence de plusieurs repos, ces petits paliers intercalaires offrant un ressoufflement bienvenu aux visiteurs.

• Dans son récit historique, l'auteur nous transporte au XVIIème siècle où le maître charpentier, avec un œil avisé, toise les bois destinés à la construction du navire royal.

• À la fin du XVIIème siècle et au commencement du XVIIIème, un meuble dit « de l'École de Liège », issu du cabinet Renaissance, se signale en Belgique puis en Hollande : la scribanne ou buffet-scriban à vocation triple. Commode, bureau, secrétaire, la scribanne est à deux corps.

• L'auteur, on le sait, pousse la thèse jusqu'aux extrêmes, mettant en un vif relief l'influence de Nicole qui, plus que personne, a contribué à précipiter la « retraite » de nos mystiques, à « démysticiser la seconde moitié du XVIIème siècle »;

• L'acqua-toffana, ce poison vénéneux du XVIIème siècle, n'était rien d'autre qu'un mélange perfide de la dolce vita italienne avec l'acide arsénieux le plus mortel. Buvait-on à la santé d'un ennemi en lui servant ce breuvage mortel dans un calice doré ?

• Dans les drapés de balazée, la lumière de l'Inde se mêle aux contours des femmes élégantes du XVIIème siècle.

• Dans les salons du XVIIème siècle, le déparagement était craint comme une ombre venant ternir l'éclat d'une lignée noble.

• Dans le Paris du XVIIème siècle, il était coutume de cadeler sa bien-aimée avec des lettres manuscrites délicatement enluminées.

• Dans son essai sur les jeux de cartes du XVIIème siècle, l'auteur compare la vie à une vaste partie de brelan où chaque individu cherche à réaliser sa propre 'cassade', se débarrassant de ce qui l'encombre pour mieux avancer.

• L'esprit des hommes ressemble à ces jardins du XVIIème siècle, minutieusement ordonnés mais d'une complexité baroquissime, reflétant l'intrication de leurs pensées les plus secrètes.

• Le débat entre les idées cartésiennes et leibnitziennes sur la question de l'âme illustre la richesse philosophique du XVIIème siècle.

• Le susce, taffetas indien prisé aux XVIIème et XVIIIème siècles, symbolisait le raffinement et l'artisanat d'exception de l'époque.

• Grande diversité d’approches, par de supposées autorités en la matière (on n’a fait appel ni à Edgar Morin, ni à Daniel Buren, ni à Christine Boutin) et nombreuses reproductions : érotisme dans l’art en général, par les inévitables Onfray (pour la philosophie) et Dagen (pour l’histoire de l’art) ; érotisme dans l’art préhistorique (les vénus magdaléniennes auraient été « l’équivalent paléolithique de Playboy »!), égyptien (pas grand-chose en apparence, mais c’est en se masturbant qu’Atoum crée le monde), gréco-romain (L’aphrodite de Cnide, sculptée vers – 350 par Praxitèle, était la première image nue d’une déesse depuis 250 ans), précolombien (« Les peuples mésoaméricains sont connus pour la rigidité de leurs règles morales »), japonais (Edmond de Goncourt écrivait des estampes érotiques d’Hokusaï que « ces images sont d’une harmonie, d’une douceur, d’une tendresse qui n’ont jamais été atteintes à ce jour par l’art européen », et c’était – presque – vrai), chinois (les chungonghua, peintures du palais de printemps aussi brûlantes et impavides que délicates ont été combattues et détruites dès le XVIIème siècle), indien (« L’amour sous sa forme érotique - plaisir des sens - est présent et actif dans tous les textes indiens anciens »), médiéval (R.A.S.), renaissant(Zwingli réformateur suisse : « Voici une Madeleine peinte sous des traits si putassiers que même les prêtres ne peuvent être attentifs à la messe qu’ils disent en sa présence »;et Protestantsd’iconoclastiseret catholiquesd’inventererotiquedelareligionchampionnedel’antierotismeoumemelessaintssemettentàdanser ), libertin roccoco(Diderot:« Celuilaquisentiementdelachairafaitungrandpas:laresten’est rienencomparaison.Millepeintressontmortsansl’avoir sentie» ), dix neuvième(fascinéparl'Orient,d'abordproche,puisbeaucouppluslointainen passantparici-et-maintenant ) , rodinien(? ) , picassien,surréaliste contemporain;pointsdevuegay,feministe,lacanien omni-voyeuriste,pornographiste,bataillo-molinierienneuro-psychiatrolyrique(tous étrangersal'art);loeuvrelapluserotiqueselon…desmédiatiquesdivers(cesontSollersavecd eWatteauL'embarquementpourCythère(1718)etDarrieusecqavecLeverroudeFragonard(vers1787)quiseti rentlepluselegammentdecettequestionidiote)

• Mais elles nous montrent entre cette augmentation des prix qui est de l’ordre du doublement, du triplement, mettons même du quadruplement si nous allons jusqu’au milieu du XVIIème siècle et l’augmentation des métaux précieux qui est de l’ordre du décuplememt ou du dodécuplement, une telle différence de grandeur qu’il est difficile de ne pas reconnaître que les moyens monétaires ayant en pareil développement certainement plutôt circulé davantage que moins, été plutôt utilisés largement que de façon restreinte, […]

• Les récits apodémiques du XVIIème siècle regorgent de conseils pratiques qui restent pertinents même pour les voyageurs modernes.

• La situation actuelle de plusieurs des 15 espèces encore vivantes de hoccos est alarmante en raison de la diminution sévère de leurs effectifs à l'état sauvage, laquelle est principalement attribuable à la perte d'habitats par diminution de superficie et par morcellement, ainsi que par la consommation de leur chair. En effet, la taille de ces oiseaux — comparable en moyenne à celle de dindons — et la facilité à les capturer et à les chasser, en ont fait depuis longtemps des cibles favorites des populations locales. Des efforts considérables sont déployés dans la plupart des pays d'Amérique latine dans le but de préserver les populations restantes de hoccos, mais à en juger par le sort d'au moins une espèce, soit le hocco mitou (Mitu mitu), ces efforts risquent d'arriver un peu tard, et d'être insuffisants. Cette dernière espèce fut en quelque sorte "redécouverte" en 1951 dans les forêts du nord-est du Brésil après qu'on eût été même jusqu'à douter de la validité son existence sur seule base premières descriptions cette espèce au XVIIème siècle tant spécimens existants étaient rares mauvaise qualité Après ce hiatus presque trois siècles réalisa années 1950 rareté effective splendide oiseau puisque estimés entière population ne dépassaient pas individus Absence protection légale officielle Brésil époque disparut complètement sauvage années destruction dernières forêts où retrouvait faire place industrie cannière brésilienne Fort heureusement avait préalable réussi sauvegarder suffisamment spécimens captivité faire reproduire certain succès sorte comptait ces aviaires séparés avenir maintenant éteinte demeure néanmoins plus précaires

• Dans le silence feutré d'un salon du XVIIème siècle, le manichordion murmurait des mélodies qui semblaient s'évaporer aussitôt qu'elles avaient caressé l'oreille.

• Les dames de la cour rivalisaient de splendeur avec leurs robes ornées de pasquedilles, véritables œuvres d'art du XVIIème siècle.

• Dans la poésie du XVIIème siècle, l'oxytonisme sert de révélateur rythmique, donnant à chaque vers une cadence particulière qui reflète les émotions de l'époque.