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Citations sur le XVIIIème

Il y a 39 citations sur le XVIIIème.

• Un siècle plus tard, tout va mieux ? Non, répond l’économiste. Pour lui, l’histoire actuelle se répète. Au XXIème siècle, la surconcentration du capital rappelle les niveaux d’inégalités des démocraties occidentales du XVIIIème et XIXème siècles.

• Il faudra attendre en Europe la Renaissance pour redécouvrir les savoirs antiques. L’ancêtre du thermomètre, le thermoscope est construit en 1607 par Galilée. Cette invention permet de noter les variations de températures, mais avant la création des standards Farenheit et Celsius au XVIIIème siècle, celles-ci ne sont pas précises. Quelques années plus tard c’est au tour du baromètre de voir le jour grâce notamment à l’utilisation du mercure.

• L’assemblage de l’épine-vinette avec d’autres ingrédients (anis vert et anis étoilé) en quantité égale (une pincée de chaque) produit une tisane digestive exceptionnelle. Au XVIIIème siècle, ses graines étaient un des composants de la pharmacopée maritime, du diaprun solutif, et du diascordium. Les fleurs en grappe de l’épine-vinette sont très appréciées par les abeilles, tandis que ses branches servent d’un excellent abri pour les oiseaux.

• L'architecte a su allier tradition et innovation en intégrant une magnifique bay-window dans la restauration de ce château du XVIIIème siècle.

• La lavande aspic, espèce la plus répandue, est connue depuis fort longtemps puisque les romains l’utilisaient déjà comme parfum. Son huile essentielle est utilisée de façon curative depuis le XVIIIème siècle.

• Monsieur Clair (C’est un pseudonyme) est l’auteur d’une esthétique du stercoraire : ( XVIIIème Journée de Psychiatrie du Val de Loire

• Le Marseillois était un vaisseau de combat du XVIIIème siècle équipé de 74 canons. Il participa à la guerre d'indépendance américaine, à des campagnes navales aux Antilles et fut coulé par la marine Britannique en protégeant un convoi de blé en provenance d'Amérique.

• La disparition de la grande pandémie de peste au XVIIIème siècle, outre les mesures sanitaires entreprises, pourrait être en partie liée à l'arrivée du rat gris : si les deux types de rats sont porteurs des puces vectrices de la peste, le rat noir a tendance à sortir au grand jour pour mourir, là où le rat gris reste dans son trou, ce qui réduit les risques de contamination. Plus gros que son cousin, le rat gris n'en est pas moins un vecteur de maladie, comme la leptostirose ou la salmonellose.  

• Dans les salons du XVIIIème siècle, le crachoteur était souvent mis à l'écart pour préserver la bienséance des autres convives.

• Construit de 1703 à 1708 par les architectes Pierre Bullet et Jean-Baptiste Bullet de Chamblain, à la demande du financier de Louis XIV, Paul Poisson de Bourvallais. Le château présente de somptueux décors rocaille, ainsi que des décors de chinoiseries peintes au milieu du XVIIIème siècle par Christophe Huet. Ses 900 pièces de collections et son mobilier estampillé des grands noms de l’ébénisterie en font un des châteaux les plus magnifiquement meublés d’Ile-de-France.

• Les demi-dômes, tels que ceux présents dans la basilique Sainte-Marie, témoignent d'une volonté des architectes français du XVIIIème siècle à se réapproprier les éléments de l'architecture romaine.

• À l’origine, le bâtiment date du XVème siècle, mais beaucoup de rénovations et de modifications sont survenues par la suite. Le château est aujourd’hui considéré comme arborant un style baronnial écossais et néogothique. Ce dernier est très courant au Royaume-Uni. Né au milieu du XVIIIème siècle en Angleterre, il vise à faire revivre le style médiéval. Ce style a influencé beaucoup d'édifices en Europe. Nombre de nos châteaux et édifices religieux français sont de style néogothique.

• Au XVIIIème siècle, les plus grands dignitaires d'Europe venaient passer commande auprès des Cabinotiers. Pour profiter au maximum de la lumière du jour, ces artisans horlogers s'installaient sous les toits, dans des "cabinets" pourvus de nombreuses fenêtres. Ils sont devenus les Cabinotiers.

• N’hésitez pas à visiter les chambres, les salons, les salles à manger ou la cuisine. Le manoir a été conservé tel qu’il existait au XVIIIème siècle, de son architecture jusqu’à son mobilier et sa déco impeccable ! A noter que le manoir possède un petit musée interne, qui compte entre autre l’histoire de la famille Connolly, mais aussi les subtilités du style palladien !

• Monsieur de Paris fait suite à Fleur de Sang, deux romans historiques signés par le maillotin Emmanuel Robert-Espalieu qui mettent en scène Marguerite, fille et épouse de bourreau au début du XVIIIème siècle

• Rendez-vous de chasse du XIVème siècle, remanié et agrandi au cours des siècles suivants, réaménagé dans la seconde moitié du XVIIIème avec construction des communs, érection d’une chapelle néogothique, réaménagement interieur début XXème. Enfants (-10 ans) : gratuit ; Jeunes (10-18 ans) : 3€ ; Adultes : 7€ Rendez-vous de chasse du XIVème siècle, remanié et agrandi au cours des siècles suivants, réaménagé dans la seconde moitié du XVIIIème

• Ce sud-américain a plus d’un tour dans sa gousse pour combler nos appétits. A son arrivée en Europe, seul le grain sec du haricot vert était consommé et ce n’est qu’à la fin du XVIIIème siècle, en Italie, que la gousse immature de ce fruit tendre a été appréciée à sa juste valeur, avant la formation des graines. S’il compte désormais parmi les légumes les plus consommés en France, avec 4 kg par personne et par an quand il est en conserve ou surgelé, sa version fraîche et estivale ne séduit pas autant, avec seulement 800 g par ménage… peut-être par ce qu’il doit être ébouté.

• Complètement auto-centrés, les écologistes seraient bien avisés de faire leur la maxime de cet essayiste du XVIIIème siècle au lieu de se palucher sur la prose de Greta Thunberg. Élus par 18% des Lyonnais, ils n’ont aucune légitimité aux yeux de 82% de nos compatriotes qui s’accommodent tant bien que mal de leurs oukases répétés. « Mais ils appliquent leur programme ! » m’objectent mes confrères bien pensants. Certes mais ce programme n’est pas celui de la majorité des Lyonnais.

• Malgré son sexisme et sa rustrerie, cette coutume d'un autre âge –elle remonterait au XVIIIème siècle– est toujours en usage dans l'ouest de l'Allemagne, particulièrement en Rhénanie. D'après Dagmar Hänel, chercheuse à l'Institut de civilisation et d'histoire régionale LVR, à Bonn, entre 70 et 120 associations se livreraient à ce rite chaque année.