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Citations sur le cité

Il y a 1472 citations sur le cité.

• Le crépuscule jetait ses derniers feux sur la cité endormie, et chaque lumière semblait épouser une forme campanulaire, rappelant les veillées ancestrales autour du beffroi.

• Dans les anciens textes de pharmacopée, l’apochylisme était souvent cité comme un remède précieux, une substance visqueuse extraite avec soin du cœur même des plantes pour concentrer leurs vertus les plus puissantes.

• Les magnifiques prairies [de Buenos-Ayres] produisent en grande quantité une espèce de légumineuse excellente pour la nourriture du bétail, mais dont la graine, plate, hérissée de petits crochets, nommée dans le pays carétille, se cramponne, pour ainsi dire, à la toison, d’où il est très difficile de l’arracher. — (Mémoire d’agricult. etc., 1870-71, page 497 et 498 — cité par Littré)

• Dans la cité impériale, les nuances de l'expression tsolyani se révèlent non seulement dans la langue couramment parlée mais également à travers les traditions profondément enracinées de ses habitants.

• L'histoire de cette cité est écrite dans le va-et-vient incessant des conaqs, témoins silencieux des secrets murmurés par Istanbul.

• Les ondes, telles des messagers lumineux dans la nuit urbaine, se révèlent réverbatives contre les façades vitrées des gratte-ciels, tissant ainsi un tapis de lumière sur la cité endormie.

• Chez cet homme, l'humeur atrabilieux colorait chaque propos d'une teinte de pessimisme, faisant de lui un sujet fréquemment cité dans nos chroniques sur les tempéraments marqués par la mélancolie.

• En munychion, le printemps éclôt sur Athènes, laissant entrevoir les prémices des fêtes solennelles qui ponctuent ce mois de célébrations et de préparations agricoles cruciales, où les citoyens s'emploient à honorer les dieux protecteurs de leur cité et de leurs récoltes.

• Les mains des warandeurs, imprégnées du sel de leur labeur, portent en elles le sceau de la tradition et l'essence même de la cité dunkerquoise.

• Le climat, dit post-glaciaire, s’est adouci. — (Journal officiel 31 octobre 1873, page 6641, 3e colonne — cité par Littré)

• En ces temps troublés, la décision éphorique d'interdire les festivités illustre le pouvoir rigide et incontesté que ces magistrats exercent sur la cité spartiate.

• Ne se pourrait-il point que ce cher Ménage, qui n’aime pas fort le patelin [Voiture], vous aurait débité pour histoire un de ses soupçons, aurait cru fait ce qu’il a jugé faisable, se serait imaginé que toutes les apostilles ne peuvent venir que du premier apostilleur ? — (Jean-Louis Guez de Balzac, Lettre inédites, CXXX, éd. Tamizey Larroque — cité par Littré)

• Si l'on juge un homme par ses responsabilités, alors le biarque était un titan discret, car c'est lui qui nourrissait la grandeur et étanchait la faim d'une cité entière.

• Dans le silence des aurores brumeuses, les marnois glissaient sur l'eau comme des fantômes de bois, porteurs des promesses de la campagne vers la cité endormie.

• Dans les ruelles sombres de Venise, là où la lumière peine à dévoiler l'humilité des demeures, vit le barnabote, figure aussi invisible que nécessaire au charme mystérieux de la Cité des Doges.

• Parmi les ombres de la cité splendide, les arotes de Syracuse erraient, libres de chaînes mais captifs de leur misère, figures oubliées de l'opulence ambiante.

• Le flûteux était remonté sur son trône et tiaulait le baiser préliminaire [à la bourrée]. — (Thérèse Bentzon, Revue des Deux-Mondes, 15 juin 1876, page 830 — cité par Littré)

• Ah, qu'il est doux de s'évader du tumulte de la cité ! Du haut de mon miradore, je surplombe la mer d'ardoises et de cheminées, rêvant à des horizons lointains.

• Dans les veines des braves hommes, coule le sang pavesan, aussi riche et noble que l'histoire de la cité elle-même.

• La comptablie n'était pas seulement une taxe, mais le symbole d'une époque où chaque cité se drapait dans l'orgueil de son autonomie.