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Citations sur le d'où - Page 9
Il y a 590 citations sur le d'où.
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Mais l'étudiant n'était pas encore arrivé au point d'où l'homme peut contempler le cours de la vie et la juger. Jusqu'alors il n'avait même pas complètement secoué le charme des fraîches et suaves idées qui enveloppent comme d'un feuillage la jeunesse des enfants élevés en province. Il avait continuellement hésité à franchir le Rubicon parisien.
Honoré de Balzac — Le Père Goriot. -
Si l'union fait la force, la désunion fait la foiblesse ; ainsi on peut diviser les parties d'un état et subdiviser les sphères d'autorité jusqu'aupoint où elles se suffisent à elles-mêmes pour se bien gouverner, mais où elles ne puissent ombrager en rien l'autorité générale d'où elles relèvent. Ce seroit donc un bon plan de gouvernement que celui où l'on morcelleroit plus ou moins les corps nationaux et municipaux, trouvant l'art d'en écarter le danger et de leur imprimer une indépendance qui fit leur force.
René-Louis de Voyer de Paulmy — marquis d'Argenson -
Il est donc à croire que les besoins dictèrent les premiers gestes, et que les passions arrachèrent les premières voix. En suivant avec ces distinctions la trace des faits, peut-être faudrait-il raisonner sur l'origine des langues tout autrement qu'on n'a fait jusqu'ici. Le génie des langues orientales, les plus anciennes qui nous soient connues, dément absolument la marche didactique qu'on imagine dans leur composition. Ces langues n'ont rien de méthodique et de raisonné ; elles sont vives et figurées. On nous fait du langage des premiers hommes des langues de géomètres, et nous voyons que ce furent des langues de poètes.Cela dut être. On ne commença pas par raisonner, mais par sentir. On prétend que les hommes inventèrent la parole pour exprimer leurs besoins ; cette opinion me paraît insoutenable. L'effet naturel des premiers besoins fut d'écarter les hommes et non de les rapprocher. Il le fallait ainsi pour que l'espèce vînt à s'étendre, et que la terre se peuplât promptement ; sans quoi le genre humain se fût entassé dans un coin du monde, et tout le reste fût demeuré désert.De cela seul il suit avec évidence que l'origine des langues n'est point due aux premiers besoins des hommes ; il serait absurde que de la cause qui les écarte vînt le moyen qui les unit. D'où peut donc venir cette origine ? Des besoins moraux, des passions. Toutes les passions rapprochent les hommes que la nécessité de chercher à vivre force à se fuir. Ce n'est ni la faim, ni la soif, mais l'amour, la haine, la pitié, la colère, qui leur ont arraché les premières voix. Les fruits ne se dérobent point à nos mains, on peut s'en nourrir sans parler ; on poursuit en silence la proie dont on veut se repaître : mais pour émouvoir un jeune cœur, pour repousser un agresseur injuste, la nature dicte des accents, des cris, des plaintes. Voilà les plus anciens mots inventés, et voilà pourquoi les premières langues furent chantantes et passionnées avant d'être simples et méthodiques. Tout ceci n'est pas vrai sans distinction, mais j'y reviendrai ci-après.
Jean-Jacques Rousseau — Essai sur l’Origine des langues -
On prétend que c'est la chose la moins mauvaise que la faiblesse humaine ait pu inventer... Bien inhumaine, pourtant, et inutile, à mon avis ! Plusieurs peuples, en cela moins « barbares » que les Grecs et les Romains, qui les appellent pourtant ainsi, estiment qu'il est horrible et cruel de faire souffrir et démembrer un homme, dont la faute n'est pas avérée. Que peut-il contre cette ignorance ? N'êtes-vous pas injustes, sous prétexte de ne pas le tuer sans raison, de lui faire subir quelque chose de pire encore que la mort ? Et pour preuve qu'il en est bien ainsi, voyez comment bien des fois il préfère mourir sans raison que de passer par cette épreuve. Elle est plus pénible que le supplice final lui-même, et bien souvent, tellement insupportable, qu'elle le devance et même l'exécute.Je ne sais d'où je tiens cette histoire, mais elle reflète bien la conscience dont sait faire preuve notre justice. Devant le Général d'armée, grand justicier, une villageoise accusait un soldat d'avoir enlevé à ses jeunes enfants ce peu de bouillie qui lui restait pour les nourrir, l'armée ayant tout ravagé. Mais pas de preuves !... Le Général somma la femme de bien considérer ce qu'elle disait, car elle devrait répondre de son accusation si elle mentait. Mais comme elle persistait, il fit alors ouvrir le ventre du soldat pour connaître la vérité. Et la femme se trouva avoir raison. Voilà bien une condamnation instructive.
Michel de Montaigne — Les essais -
Un soir, étant entré au casino, le narrateur du présent récit entend, avec surprise, un bruit singulier, celui d'un craquement ou d'un claquement de doigts qui se brisent. Il s'approche de la table d'où lui parvient ce bruit. Zweig réussit merveilleusement bien à nous rendre l'atmosphère fébrile qui règne dans le casino et la tension particulière du joueur qu'il observe.C'étaient des mains d'une beauté très rare, extraordinairement longues, extraordinairement minces, et pourtant traversées de muscles extrêmement rigides - des mains très blanches, avec, au bout, des ongles pâles, aux dessus nacrés et délicatement arrondis. Je les ai regardées toute la soirée, oui, je les ai regardées avec une surprise toujours nouvelle, ces mains extraordinaires, vraiment uniques ; mais ce qui d'abord me surprit d'une manière si terrifiante, c'était leur fièvre, leur expression follement passionnée, cette façon convulsive de s'étreindre et de lutter entre elles. Ici, je le compris tout de suite, c'était un homme débordant de force qui concentrait toute sa passion dans les extrémités de ses doigts, pour qu'elle ne fît pas exploser son être tout entier. Et maintenant..., à la seconde où la boule tomba dans le trou avec un bruit sec et mat et où le croupier cria le numéro ..., à cette seconde les deux mains se séparèrent soudain l'une de l'autre, comme deux animaux frappés à mort d'une même balle.
Stefan Zweig — vingt-quatre heures dans la vie d’une femme -
Les Boches étaient au diable Vauvert, quelque part devant Roye, et n'occupaient que la nuit un petit bois, de l'autre côté de la ravine et d'où partaient leurs patrouilles qui venaient tâter, une nuit sur trois, notre petit poste.
Blaise Cendrars — La main coupée -
La famille, d'où chacun émane, appartient toujours à une cité quelconque, et même à une certaine église. Mais ce dernier lien étant plus faible, il comporte plus de variations, quoiqu'elles ne soient jamais arbitraires.
Comte — Catéchisme positiviste -
Car ça vaut le coup, la dépense du voyage, et ça vaut le coup aussi, le mépris sur le visage du militaire au poste-frontière qui te demande si tu es bien la personne du passeport, quand après ça tu déballes sur ton bout de trottoir ce que tu vas écouler sans quasiment bouger tes fesses d'où tu les as posées.
Marc Trillard — Le Maître et la mort -
Mais d'où vient que je garde à Barrès plus de véritable amour qu'à tous mes anciens béguins ? C'est peut-être de ce que c'est Barrès qui me révéla, au sortir de la placidité maeterlinckienne, le désir.
J. Rivière — Correspondance [avec Alain-Fournier] -
Tout le reste d'une conversation si désirée, ne pouvait manquer d'être infiniment tendre. La pauvre Manon me raconta ses aventures, et je lui appris les miennes. Nous pleurâmes amèrement en nous entretenant de l'état où elle était, et de celui d'où je ne faisais que sortir.
Abbé Antoine Prévost — Manon Lescaut -
Je me suis étonné mille fois, en y réfléchissant, d'où me venait alors tant de hardiesse et de facilité à m'exprimer ; mais on ne ferait pas une divinité de l'amour, s'il n'opérait souvent des prodiges.
Abbé Antoine Prévost — Manon Lescaut -
On saute du néant à l'être, de l'être au néant, sans qu'il y ait ni fin ni commencement, personne ne sait d'où il est éclos.
Philippe Sollers — Centre -
J'écris, je brûle ce que j'écris, voilà une affaire privée, c'est mon droit, je le prends, je l'applique, j'améliore mon attention, ma respiration. D'où je viens ? De partout, de nulle part. Où je vais ? Partout, nulle part. La vie est un jeu, avec, au bout des lignes, le feu.
Philippe Sollers — Une vie divine -
Disons les choses avec simplicité, avec une espèce de naïveté : il me semble impossible que l'ordre de l'univers plongé dans le temps, avec ses lois et sa rigueur, soit le fruit du hasard. Du coup, le mal et la souffrance prennent un sens - inconnu de nous, bien sûr, mais, malgré tout, un sens. Du coup, je m'en remets à quelque chose d'énigmatique qui est très haut au-dessus de moi et dont je suis la créature et le jouet. Je ne suis pas loin de penser qu'il n'y a que l'insensé pour dire : " Il n'y a pas de Dieu. " Je crois en Dieu parce que le jour se lève tous les matins, parce qu'il y a une histoire et parce que je me fais une idée de Dieu dont je me demande d'où elle pourrait bien venir s'il n'y avait pas de Dieu.
Jean d'Ormesson — Un hosanna sans fin -
Je crois que ce que nous appelons réalité est une sorte de rêve solide, cohérent, continu, passager et fragile, lié à . Je l'espace et au temps. Comme la scène d'un théâtre dont nous serions les acteurs, où nous entrerions en naissant et d'où nous sortirions en mourant. Je crois que le temps mêlé à l'espace, est une bulle dont nous sommes prisonniers. Une parenthèse dans l'éternité. Je crois que la mort est le but et le sommet d'une vie dont elle marque le retour à l'éternité primitive. Je crois que la vie est une aventure, une crise, un paradoxe et une ironie. Je crois que la mort est une victoire camouflée en défaite et le seuil à franchir pour entrer dans une justice et une vérité dont nous ne poursuivons ici-bas que les ombres. P.258-259
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
Le matin, à peine réveillé, je guettais à travers les volets la lumière du soleil sur le point de se lever et je me jetais hors de mon lit pour profiter d'un jour qui ressemblerait à la veille et qui ressemblerait au lendemain. L'été, j'entendais de ma fenêtre le bruit déchirant du râteau manié par l'aide-jardinier sur les graviers de la cour. Sur le palier, au seuil du billard, il y avait un gong venu je ne sais d'où sur lequel ceux qui passaient frappaient d'un air distrait pour annoncer les repas régis par des règles sévères et auxquels aucun d'entre nous n'aurait pris le risque de se présenter en retard ou en tenue négligée. Rien ne m'amusait ni ne me faisait peur autant que le téléphone, composé d'une manivelle et d'un cornet de bois, qui permettait à mon grand-père d'obtenir une demoiselle qu'on entendait très mal et qui ne comprenait jamais rien. Deux fois par mois, M. Machavoine, horloger de son état, venait remonter en silence les horloges du château. Il se glissait dans le billard, dans le petit salon, dans le grand salon, dans la bibliothèque, dans la salle à manger, dans la salle à manger des enfants, dans l'office, dans l'immense cuisine, dans la vingtaine de chambres – aucune n'avait de salle de bains – qui restaient ouvertes toute l'année. Il vérifiait si les pendules, si les horloges, si les cartels donnaient bien l'heure exacte, et il les remontait. Il m'arrivait de le suivre de pièce en pièce dans un état de conscience extrêmement diminué et avec une fascination qui m'étonnait moi-même. Ses gestes de chirurgien, de contrôleur et de mécanicien me jetaient dans une torpeur bienheureuse dont je ne me réveillais qu'à son départ. Dans le soir qui tombait, nous nous promenions à bicyclette autour des étangs mélancoliques ou le long des layons des forêts de la Haute-Sarthe, entre les chevreuils et les sangliers, libres et sauvages comme nous. À mon retour, quand je rentrais de promenade, que je pénétrais dans le vestibule encombré de trophées de chasse et de râteliers chargés de fusils et que je m'apprêtais à gravir quatre à quatre l'escalier de pierre vers les deux salons bourrés de portraits de famille et de fauteuils en tapisserie, l'odeur de bois brûlé, de vieux cuir, de renfermé me prenait à la gorge. Je m'ennuyais beaucoup. J'étais très heureux – et je ne m'en doutais pas. Chez nous ! Chez nous ! Tout cela avait pris longtemps des allures d'éternité. Et tout cela était fini.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
Le matin, à peine réveillé, je guettais à travers les volets la lumière du soleil sur le point de se lever et je me jetais hors de mon lit pour profiter d'un jour qui ressemblerait à la veille et qui ressemblerait au lendemain. L'été, j'entendais de ma fenêtre le bruit déchirant du râteau manié par l'aide-jardinier sur les graviers de la cour. Sur le palier, au seuil du billard, il y avait un gong venu je ne sais d'où sur lequel ceux qui passaient frappaient d'un air distrait pour annoncer les repas régis par des règles sévères et auxquels aucun d'entre nous n'aurait pris le risque de se présenter en retard ou en tenue négligée. Rien ne m'amusait ni ne me faisait peur autant que le téléphone, composé d'une manivelle et d'un cornet de bois, qui permettait à mon grand-père d'obtenir une demoiselle qu'on entendait très mal et qui ne comprenait jamais rien. Deux fois par mois, M. Machavoine, horloger de son état, venait remonter en silence les horloges du château. Il se glissait dans le billard, dans le petit salon, dans le grand salon, dans la bibliothèque, dans la salle à manger, dans la salle à manger des enfants, dans l'office, dans l'immense cuisine, dans la vingtaine de chambres – aucune n'avait de salle de bains – qui restaient ouvertes toute l'année. Il vérifiait si les pendules, si les horloges, si les cartels donnaient bien l'heure exacte, et il les remontait. Il m'arrivait de le suivre de pièce en pièce dans un état de conscience extrêmement diminué et avec une fascination qui m'étonnait moi-même. Ses gestes de chirurgien, de contrôleur et de mécanicien me jetaient dans une torpeur bienheureuse dont je ne me réveillais qu'à son départ. Dans le soir qui tombait, nous nous promenions à bicyclette autour des étangs mélancoliques ou le long des layons des forêts de la Haute-Sarthe, entre les chevreuils et les sangliers, libres et sauvages comme nous. À mon retour, quand je rentrais de promenade, que je pénétrais dans le vestibule encombré de trophées de chasse et de râteliers chargés de fusils et que je m'apprêtais à gravir quatre à quatre l'escalier de pierre vers les deux salons bourrés de portraits de famille et de fauteuils en tapisserie, l'odeur de bois brûlé, de vieux cuir, de renfermé me prenait à la gorge. Je m'ennuyais beaucoup. J'étais très heureux – et je ne m'en doutais pas. Chez nous ! Chez nous ! Tout cela avait pris longtemps des allures d'éternité. Et tout cela était fini.
Jean d'Ormesson — Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit -
Le 26 juin, un peu avant midi, il m'est arrivé quelque chose que je n'oublierai plus : je suis mort. La vie est injuste. La mort aussi. J'ai eu de la chance. Tout s'est passé assez vite. Le coeur a lâché. J'aurais pu me blesser. Pas du tout. Je suis tombé d'un seul coup, sans la moindre égratignure, dans les bras de Marie, devant la Douane de Mer d'où la vue est si belle sur le palais des Doges et sur le haut campanile de San Giorgio Maggiore. J'avais essayé plus d'une fois de donner à l'un de mes livres le titre de La Douane de mer. On ne fait pas toujours ce qu'on veut. La Douane de mer s'est refusée à entrer dans ma vie. Elle est entrée dans ma mort.
Jean d'Ormesson — La Douane de mer -
Les hommes sont libres. Ou ils se croient libres. Ils sont, en vérité, si étroitement maintenus dans un fragment dérisoire de l'espace et dans leur époque d'où il leur est interdit de s'échapper que leur fameuse liberté, dont ils font si grand cas, n'est que trompe-l'œil et illusion.
Jean d'Ormesson — Comme un chant d'espérance -
J'ai de sérieuses raisons de croire que la planète d'où venait le petit prince est l'astéroïde B 612. Cet astéroïde n'a été aperçu qu'une fois au télescope, en 1909, par un astronome turc. Il avait fait alors une grande démonstration de sa découverte à un congrès international d'astronomie. Mais personne ne l'avait cru à cause de son costume. Les grandes personnes sont comme ça. Heureusement pour la réputation de l'astéroïde B 612, un dictateur turc imposa à son peuple, sous peine de mort, de s'habiller à l'européenne. L'astronome refit sa démonstration en 1920, dans un habit très élégant. Et cette fois-ci tout le monde fut de son avis.
Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince -
Vous le voyez partout depuis plusieurs saisons dans les rayons de vos marques de mode préférées, mais d'où vient réellement l'organza ? Comment ce tissu couture s'est-il démocratisé pour atteindre le sommet des tendances mode actuelles ?
Cosmopolitan.fr — L'organza, c'est quoi ? - Cosmopolitan.fr -
Un bébé-bulle est un enfant dont les défenses immunitaires ne sont pas suffisamment puissantes pour combattre les virus et autres microbes qu'il va potentiellement rencontrer au cours de sa vie. D'où vient ce phénomène ?
Santé Magazine — Enfant-bulle : de quoi s'agit-il ? d'où vient ce déficit immunitaire ? comment le prendre en charge ? | Santé Magazine -
Ce filament évoque un ver d'où l'appellation "ver de peau" et son expulsion peut être source de fascination, voire être carrément hypnotique.
Cosmopolitan.fr — Quelles différences entre les points noirs et les points blancs ? - Cosmopolitan.fr -
Elbridge Gerry, en tant que Gouverneur du Massachusetts avait créé en 1812 une circonscription en forme de salamandre autour de Boston, d'où le nom de gerrymandering. La France a pourtant été la première à utiliser le gerrymandering et ceci depuis les débuts de la république puisque en 1793, suite à un mouvement contre-révolutionnaire d’ampleur ayant eu lieu à Lyon, la Convention Nationale décide de scinder en deux le département de Rhône-et-Loire afin de réduire l’influence politique de Lyon. Les départements du Rhône avec préfecture à Lyon, et de la Loire avec préfecture à Saint-Étienne en furent le résultat.
Agence Bretagne Presse — La réforme territoriale de 2014 a-t-elle été un immense gerrymandering ? -
Bonbon cylindrique présent dans plusieurs boutiques de Rouen, le sucre de pomme a de quoi intriguer les non-initiés. Devenue une spécialité locale, d'où vient cette confiserie ?
actu.fr — Noël. Origine, recette... Les secrets du sucre de pomme normand, spécialité bien de Rouen ! | 76actu -
Très connue en Afrique de l'Ouest, d'où elle est originaire, la baie qui contient la miraculine n'a rien de particulier au premier coup d'oeil. Pourtant, ses propriétés sont étonnantes. Miraculeuses diront certains. En effet, la miraculine - la protéine de ce fruit africain, nommé « fruit miraculeux » - a la capacité de transformer les saveurs, notamment l'acidité. Ainsi, après avoir croqué dans la baie, la saveur des aliments change. Un citron acide prend le goût d'une limonade sucrée, le vinaigre de cidre celui d'un jus de pomme et même un vin rouge gagnera en douceur pour se rapprocher d'un bon porto.
Bio à la une — La miraculine, cette protéine miraculeuse qui pourrait remplacer le sucre | Bio à la une -
Je ne conteste pas la légitimité du vote. Mais aujourd'hui il y a un risque réel qu'on se retrouve au second tour entre Macron et l'extrême droite ou Pécresse. D'où cette nécessité d'une reconsultation des militants du PCF.
actu.fr — En Normandie, ces communistes appellent à voter pour Jean-Luc Mélenchon | L'Éveil de Pont-Audemer -
Il porte à son habitude un costume trois-pièces, arbore une lavallière rouge et porte haut sa fidèle broche-araignée. Ou plutôt l'une de ses fidèles, puisque le député LREM les collectionne. «J'en possède plus de soixante», nous confie-t-il. Achetées ou bien offertes. Rangées dans une petite boîte qu'il extirpe du fond de son sac à dos, il n'hésite pas à nous en montrer quelques-unes. Mais d'où lui vient cet «uniforme»? «Ça date de quand j'avais vingt ans.» C'était en 1994 et l'étudiant qu'il est alors se questionne. «J'étais en quête d'identité et passionné par la musique classique, la culture. Je me demandais: c'est quoi moi?» Il fait les brocantes pour trouver son style.
LEFIGARO — Cédric Villani : ses adresses à Paris -
A peine dix calories pour 100 grammes : le konjac bat largement les pâtes (cuites) et ses 130 calories. D'où son succès auprès des adeptes de régime soucieux de leur silhouette. On le trouve dans les épiceries asiatiques ou les rayons diététique des supermarchés, sous le nom de shirataki (en forme de spaghettis translucides), kishimen (tagliatelles) et gohan (en forme de grains de riz).
Maxi — Le konjac, la star des régimes - Bien-être/ minceur - maximag.fr -
Posée entre l'océan Pacifique et l'imposante pré-cordillère des Andes, au nord du Chili, la cité de Tocopilla (25 000 habitants) est connue pour trois raisons : sa vieille centrale thermoélectrique, son port de pêche d'où partaient autrefois le cuivre et le guano, mais aussi pour être le berceau d'Alexis Sanchez (33 ans), dont une rue porte aujourd'hui le nom. Élevé par une mère célibataire dans une maison de bric et de broc, aux côtés de son frère et de ses deux soeurs, El Niño Maravilla (l'enfant prodige) ne mange alors pas toujours à sa faim.
L'Équipe — OM : Alexis Sanchez, un renfort de poids impopulaire au Chili - L'Équipe -
Il pourrait y avoir un effet de serre général, réchauffement de 2 ou 3 ° de la température de l'Atmosphère d'où fusion, fusion d'une énorme quantité de glace polaire aussi bien au sud qu'au nord et des glaces de montagne et montée des eau et donc noyade de toutes les côtes basses.
« Climat : en 1979, Haroun Tazieff prévoyait déjà les changements d'aujourd'hui », Haroun Tazieff, Le figaro citant Les dossiers de l'écran, Antenne 2, avec Haroun Tazieff, Jacques-Yves Cousteau, Paul-Émile Victor, Claude Lorius., 04 septembre 1979 (lire en ligne) -
"La mutation du gène LMNA conduit à la formation d'une protéine anormale : la progérine, à l'origine du nom de la maladie. Sous cette forme, les protéines ne peuvent plus maintenir l'intégrité de la structure. Cela entraîne des désordres empêchant un fonctionnement normal des cellules, notamment leur division et leur communication. La réparation et le renouvellement des tissus seraient altérés, d'où un vieillissement pathologique", explique la Fondation pour la Recherche médicale.
Topsante.com — Qu'est-ce que la progéria, cette maladie du vieillissement... - Top Santé -
Ses feuilles persistantes, arrondies jeunes, prennent une forme allongée, elliptique en vieillissant et arborent tantôt un beau vert bleuté, tantôt un gris argenté très raffiné. Son tronc doucement argenté est également très décoratif : des lamelles d’écorces s’enlèvent parfois pour laisser apparaître un tronc auburn, et de la gomme s'échappe des blessures d'où son nom de gommier bleu, généralement attribué à Eucalyptus globulus. Des fleurs groupées en ombelles, apétales aux nombreuses étamines blanches ou crème, voire rouge, peuvent apparaitre mais c'est rare dans nos régions.
Binette & Jardin — Eucalyptus : arbre, plantation, entretien, culture -
L'échalote grise ne se conserve que quelques semaines après sa récolte à l'automne. D'où la difficulté de la trouver hors saison. Les autres variétés se conservent quelques mois. Garder tous les types d'échalote au sec et à la température de la pièce, dans un sachet en papier ou un sac en filet. Éviter le réfrigérateur et les endroits chauds, notamment à proximité de la cuisinière.
https://www.passeportsante.net/ — Echalote : bienfaits, propriétés et différences avec l’oignon -
Dans cette université américaine, les hommes hétérosexuels sont en infériorité numérique puisque l'établissement compte 75 % de femmes parmi ses étudiants. Évidemment, la situation n'incite pas ces messieurs à faire des efforts pour séduire... et beaucoup d'entre eux ont développé une "flemmingite aiguë" lorsqu'il s'agit de se dégoter une partenaire pour une nuit ou pour la vie. D'où le syndrome du "pénis doré", synonyme du "syndrome du moindre effort".
Topsante.com — Syndrome du "pénis doré" : 5 indices pour savoir si votr... - Top Santé -
Avant d'appeler à la vigilance "face aux manipulations […] d'où qu'elles viennent" et à la construction "ensemble" d'"une perspective sociétale objective dans la pleine souveraineté", le président du PT observe que "le peuple autochtone wallisien et futunien, également colonisé dans son propre pays, a vocation à s'affranchir de la tutelle directe de l'État français".
LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes, le Journal de Nouvelle Calédonie — Le Parti travailliste tacle sévèrement l’Éveil océanien de Milakulo Tukumuli | LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes, le Journal de Nouvelle Calédonie -
Ces orages ont été accompagnés d'imposants nuages noirs en forme d'entonnoir aperçus dans le ciel de Toulouse, ce lundi après-midi. On les appelle des mésocyclones. Un mésocyclone est une zone de rotation verticale au cœur d'un orage. Il peut mesurer entre 1 et 15 km de diamètre. Le tourbillon peut parfois descendre au sol et créer une tornade d'où les formes aperçues dans le ciel de la Ville rose.
ladepeche.fr — Météo : c'est quoi ce gigantesque "mésocyclone" aperçu dans le ciel de Toulouse ? - ladepeche.fr -
Dès le printemps, des fleurs tubulées se succèdent qui ressemblent un peu à de longues gueules de loup orange à écarlates, à la gorge parfois jaune (Columnea microphylla et Columnea gloriosa) : elles comptent 5 lobes, les 2 pétales supérieurs sont réunis en un capuchon d'où émergent les étamines et le style. Des fleurs magnifiques et étonnantes !
Binette & Jardin — Columnéa (Columnea), aux fleurs aussi belles qu'étranges : culture, entretien -
On connait tous cette sensation désagréable de picotements qu'on appelle "avoir des fourmis". Ça peut nous réveiller dans la nuit, nous déranger à ne presque plus pouvoir marcher,... Mais alors, d'où vient cette sensation et pourquoi parle-t-on de "fourmis" ?
lindependant.fr — "Graine de culture", le podcast pour les enfants de Skolab : pourquoi avons-nous parfois des fourmis dans les jambes ? - lindependant.fr -
Des figurants syriens, une équipe de tournage chinoise : le quartier fantôme de la banlieue damascène Hajar al-Aswad, d'où a été délogé l'Etat islamique en 2018, s'est mué en décor de film d'action pour une production de la star du kung-fu hongkongaise Jackie Chan.
Franceinfo — Syrie : un ancien bastion de l'EI, au sud de Damas, accueille le tournage de Jackie Chan