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Citations sur le habitué

Il y a 227 citations sur le habitué.

• Tango contemporain. L’association du tango argentin, fût-il de scène, avec la célèbre œuvre cinématographique nous interpelle et nous interroge d’emblée. Quelles similitudes avec la mise au défi et l’engagement enragé et disproportionné qui peuvent mener jusqu’à l’extrême perte de soi ? Quelle concomitance avec le tango mondain, élégant, passionné et séducteur auquel s’est habitué le public ?

• Il s’agit de La Villersoise, tenu par Alain Bisson, un habitué de la restauration. « Je suis charcutier de métier, mais je tiens des crêperies depuis longtemps. J’ai été installé 10 ans à Deauville et j’ai participé à la création de la crêperie à Mondeville 2. »

• Le Saintais de l’Athlétisme Sud 17, Mathys Pinson, 21 ans, est un habitué des podiums nationaux jeunes au lancer de marteau. Il en compte déjà cinq, dont le dernier, une deuxième place aux France U23 en juillet 2021. Mais il n’a jamais été titré. Dimanche 6 mars, c’est en favori qu’il lancera aux championnats de France...

• Adrien, lui, est un habitué du coin. Il habite la commune voisine, Espirat. Une tresse d’ail à la main, il discute avec Bruno, producteur d’ail à Reignat.

• On n’était pas habitué à voir le Tossais Stewen Villenave, coureur de l’extrême sous toutes les latitudes, souffrir au point de ne pas terminer une épreuve : en l’occurrence, la Nomad Lapland, un ultramarathon de 237 kilomètres...

• Serait ce le caravanier mercain encore à vendre la mèche ? Comme on dit au Burkina, un derrière habitué à péter haut et fort ne peut même pas essayer de péter doucement (faiblement). Ok, lets go.

• Si le chat est mieux armé que l’homme face au froid, il en subit tout de même les effets, notamment lors des changements brutaux de température. Le petit félin habitué aux sorties en extérieur est globalement plus apte à affronter les rudesses de l’hiver grâce à son sous-poil plus dense, mais il demeure exposé aux conséquences du froid, du gel et de la neige. Néanmoins, il n’est pas utile de l’enfermer chez vous tout au long de cette saison fraiche. Vous pouvez tout à fait le laisser vadrouiller dehors, à condition d’adopter quelques gestes et habitudes qui vous aideront à mieux le protéger des effets du froid. Découvrez-les dans ce dossier.

• Déformation professionnelle d'un ancien toréador habitué à repartir avec les oreilles et la queue comme trophée ????

• C’est justement au Run ar Puñs, dans le grand hangar situé derrière la salle de concert, que la nouvelle banderole se prépare. Mais cette fois, ce n’est pas à Frédéric Vasseur qui en est l’auteur. L’idée vient de Leïla Perez, une jeune Castoise de 14 ans, scolarisée en classe de 3e au collège Jean-Moulin. Le militant, habitué à la confection de banderoles aux lettres peintes au pochoir, prodigue des conseils et quelques amis donnent aussi un coup de main, mais c’est Leïla qui pilote.

• En clair, une fois le candidat de la droite désigné c'est "rester groupir" comme dans les aventures de la 7ème compagnie. Et puis alors surtout travailler en équipe avec un esprit d'équipe. "Il faut des références d'homme d'Etat, Présider , ce n'est pas philosopher, et commenter , c'est agir et commander." Monsieur Phillipe Bas étant habitué à la droite LR qui est une sorte de droite oui mais....donc je suis d'accord oui mais j'ajouterai que le candidat devra aussi démontrer que devant des choix impossibles devant une situation donnée qu'il a les capacités de voir ce qui est impératif de faire.

• Le promeneur habitué poursuit : « Il n’y a pas que lui dans le coin, mais celui-là a la plus grande résidence. On a l’impression qu’il y a du mouvement mais finalement, il y a une quarantaine d’employés qui sont toujours là pour entretenir le jardin et la maison. On ne sait jamais si le milliardaire est là. »

• Le Serralonguais Félicien Ténas est un habitué des courses en montagne. Mais durant le confinement, tous les trails programmés étant annulés et les sorties limitées à une heure, il s’était lancé un défi de réaliser l’aller-retour (depuis la Maison de la chasse et de la pêche) jusqu’à la première tour de Cabrenc en moins d’une heure. Ce parcours d’une distance de 10 km et un dénivelé de 587 m (le village est à 700 m et la tour à signaux à 1 287 m) est son terrain d’entraînement favori.

• Bol de tisane au romarin à la main, Jean-Pierre Garbisu, 54 ans, est un habitué des grèves de la faim. Après les OGM, le nucléaire, le soutien aux migrants, l’Uzaquois s’est lancé dimanche 28 mars dans un nouveau jeûne pour le climat. Objectif : protester contre la politique écologique gouvernementale et son projet de loi « Climat & Résilience ». Une quarantaine de militants du collectif « Les grévistes de la faim pour un avenir possible » se sont lancés dans cette action « non violente ».

• Yves Gleichsner, Rochefortais de naissance et Vergeroussois depuis seize ans, est un habitué des prises, qu’elles soient de catch ou de vue. Les prises de catch, il les apprend alors qu’il fait son service militaire...

• L’an dernier, on s’était habitué à jouer à 14. On avait gagné à Lyon à 14, on avait enchaîné ensuite à Pierre-Fabre avec une victoire bonifiée face à Agen en étant 14 aussi. Après, il ne faut pas s’y habituer. C’est mieux à 15. Surtout pour le prochain adversaire ici. Contre Toulouse, il vaut mieux jouer à 15.

• Il faut savoir que dans le langage courant on s’est habitué à dire « page de garde » pour désigner la couverture d’un rapport de stage. En réalité, la page de garde d’un bouquin ou d’un document est une feuille blanche laissée vide pour dédicacer un exemplaire. On la trouve généralement entre la couverture et le reste du livre.

• Le public du Parc, ou disons plutôt le nouveau public du Parc (une partie des Ultras y compris), arrivé sous les grands airs Qatari, étant trop habitué à la victoire facile d’un PSG qui survole le fébrile championnat de France, n’a pas encore compris qu’il est difficile de construire un plan durable et fort avec des joueurs proches de la retraite et d’autres plus enclins à manger des gâteaux qu’à faire un footing ! Ce même public qui est capable d’acheter un maillot 200 euros parce qu’il porte un grand nom et également capable de grogner quand son équipe n’est pas à la hauteur de ses espérances !

• Du pain bénit pour la procureure de la République Amélie Djaoudo, qui a beau jeu de présenter l'homme comme un habitué du trafic transfrontalier : la fréquence des trajets, le mode opératoire et la quantité suffisamment conséquente pour ne pas être confiée par un commanditaire à un inconnu. "On a gonflé ce dossier", s'insurge son avocat, "en l'accusant d'avoir profité de l'Ukraine ! Rien ne prouve qu'il a déjà fait un tel acte par le passé. On voit bien à ses réponses que cet homme n'est qu'une mule qui a peur de donner plus d'informations."

• En tant que sportif le plus riche du monde, Floyd Mayweather a décidé de porter un protège-dent à la hauteur de sa fortune, à l'occasion de son combat contre Manny Pacquiao, le 2 mai prochain à Las Vegas. Le boxeur américain s'est fait faire un objet d'une valeur de 25000 dollars (23000 euros) qui sera composé de diamants, d'or et de vrais billets de 100 dollars. C'est le Dr Lee Gause, un dentiste new-yorkais, habitué à créer les protège-dents de la star, qui a dessiné cette nouvelle pièce.

• Débétonner les grands ensembles et recréer du lien social. C'est l'objectif que s'est fixé Hugo Meunier, le fondateur de Merci Raymond , start-up spécialisée dans la végétalisation des espaces urbains. Habitué au verdissement des toits parisiens, chouchou des appels d'offres de l'équipe d'Anne Hidalgo, la maire de la capitale, le jeune entrepreneur a également développé son activité au contact des élus de banlieue.