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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• En écoutant les mélodies s'échapper des conversations en ahwaï, j'ai compris que chaque langue détient les clés de mondes inexplorés.

• Dans l'ombre tranquille du pipol, j'ai contemplé le passage éphémère des célébrités, ces feuilles brillantes et fugaces du grand arbre qu'est notre société.

• Dans les cuisines du roi, j'ai observé le lardonnier qui, avec sa dextérité habituelle, transformait une simple pièce de porc en un festin pour les nobles.

• Dans mon dernier ouvrage, j'ai joué avec l'alinéation pour refléter le chaos intérieur de mes personnages, donnant à chaque paragraphe le poids de leur âme fragmentée.

• Dans mon dernier ouvrage sur les minéraux délaissés, j'ai redécouvert l'hydrargyllite, ce fantôme d'une époque géologique révolue.

• Étudiant le koasati, j'ai découvert une cosmogonie riche et méconnue, qui ne demande qu'à être partagée avec le monde.

• Dans le silence des bibliothèques, j'ai souvent entendu murmurer l'écho lointain d'un cruzeño oublié, tel un vestige mystérieux de nos racines ancestrales.

• Lorsque j'ai rencontré cette petite gorillonne, ses yeux révélaient toute la curiosité et l'innocence que nous avons perdues en grandissant.

• Dans la simplicité des plages normandes, j'ai découvert un trésor caché sous le sable fin: le bec-de-jar, dont la chair succulente éveille les papilles comme une promesse d'éternité.

• En ouvrant le courrier ce matin-là, un billet pour les Caraïbes en main, j'ai pensé tout haut, 'cowabunga, la vie réserve parfois des surprises inespérées !'

• Lorsque j'ai entendu pour la première fois les mélodies du toqabaqita, j'ai su que la langue était le véritable reflet de l'âme d'une civilisation.

• Lorsque j'ai voyagé dans les méandres de la culture avokaya, j'ai découvert que les mots pouvaient aussi bien construire des ponts entre les cœurs que des murailles entre les esprits.

• Dans le silence de l'Amazonie, j'ai entendu le murmure des anciens, parlant dans la douce mélodie du macaguane.

• En parcourant la Papouasie-Nouvelle-Guinée, j'ai découvert le sinaugoro, un idiome dont la simplicité numérique ne cesse de m'émerveiller.

• Dans mes voyages imaginaires, j'ai traversé des villages où le seul mot étranger connu était 'kerinci', un hommage vibrant à leur identité insulaire préservée.

• Dans la solitude des nuits, je me suis découvert. C'est dans ce silence que j'ai pu m'autoapprivoiser et converser avec mon âme.

• Quoi qu'il en soit, il paraît qu'en général nos hiboux et nos chouettes sont assez sédentaires: on m'en a apporté de presque toutes les espèces, non-seulement en été, au printemps, en automne, mais même dans les temps les plus rigoureux de l'hiver: il n'y a que le scops ou petit duc qui ne se trouve pas dans cette saison; et j'ai en effet été informé que cette petite espèce de hibou part en automne, et arrive au printemps. Ainsi ce serait plutôt au petit duc qu'au moyen duc qu'on pourrait attribuer la fonction de conduire les cailles; mais encore une fois ce fait n'est pas prouvé; et de même je ne sais pas sur quoi peut être fondé un autre fait avancé par Aristote...

• Dans le silence de la bibliothèque, j'ai trouvé un vieux manuscrit écrit en tolaki; c'était comme découvrir un trésor dans un océan de pages.

• Lorsque j'ai entendu pour la première fois les mélodies du gutnisk, ce fut comme si un nouveau monde s'ouvrait à moi, à la fois étrange et familièrement humain.

• Dans le silence du kanshogama, j'ai appris à écouter la voix de la terre qui murmure les secrets ancestraux.