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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Quelques mois après la sortie du film, on m'a demandé de réaliser un documentaire, afin d'authentifier les faits de fraternisation présentés dans le film. J'ai voulu retourner aux archives militaires pour filmer les preuves. A Vincennes, je fus accueilli par un jeune civil qui avait préparé tous les dossiers que j'avais consultés, avec quelques difficultés, treize ans auparavant. Il me demanda si je voulais voir d'autres choses.

• Un cornet de frites, pour un euro symbolique. Aucun doute, l'initiative devrait plaire aux gourmands. Installé dans le centre-ville de Waremme depuis bientôt cinq ans, Alain Thiriart est un friturier passionné. Pour renforcer sa clientèle, et assurer la notoriété de son commerce, il a imaginé une opération publicitaire, plutôt originale. «Je n'ai pas les moyens financiers de faire de la publicité à la télé ou à la radio, explique-t-il. J'ai donc décidé de distribuer un cornet de frites vide, dans toutes les boîtes aux lettres des alentours. Les habitants pourront ensuite venir le remplir ici, à la friterie, pour un euro.»

• "J'ai une phrase que j'ai entendue: 'Nos vies sont jalonnées de souffrance et de chagrin. Mais la plus terrible d'entre elles, c'est de nous voir tous les jours nous acharner à étouffer le petit enfant qui est en nous'", a ajouté Raphaël Quenard, remerciant "les cinéastes qui nous donnent le champ libre pour gesticuler dans leur univers". "Vive la France, Ave César", a-t-il conclu.

• J'ai acheté un gloxinia l'année dernière, il était magnifique puis quand il n'a plus eu ni fleur ni feuille je l'ai mis dans un endroit légèrement éclairé, pas très chaud 8° ou 10°...et j'ai cessé de l'arroser.

• L'élu assure qu'il n'a jamais envoyé de photo ou montré son sexe devant la caméra. Les échanges entretenus avec cette femme seraient à l'opposé des captures d'écran de messages graveleux largement diffusées. "J'ai vu cette dame à la vidéo plusieurs fois. Notre relation semblait réelle. C'est une vraie organisation criminelle, bien rodée. Encore ce dimanche, j'ai reçu de nouveaux messages et appels malveillants pour réclamer le paiement de la rançon".

• Afin de mener à bien sa mission consistant à passer inaperçu parmi les employés, Jean-Paul Mochet devient Eddy et doit modifier son apparence. Seulement, il n'a pu se grimer comme les autres patrons participant au programme. "Pour ne pas être reconnu, on m'a demandé de me laisser pousser la barbe, de me laisser pousser les cheveux, ce qui était complètement impossible pour moi puisque mes fonctions de dirigeant continuaient pendant cette préparation, donc j'ai refusé !", raconte-t-il.

• "Parce que vous trouvez que j'ai l'air grognasse quelque fois?!"

• Mais lorsqu'on lui demande si elle a le sourire, l'ex-première dame bat froid le journaliste: «Parce que vous trouvez que j'ai l'air grognasse quelquefois?», ajoutant que le journaliste l'avait «suggéré». Et d'ajouter: «La Corrèze est devenue ma terre. J'ai épousé «le» Corrézien. Et même quand il était Premier ministre, il venait tous les week-ends pour travailler son département.»

• P. M. : Cest un mot qui fait peur. Ce qui m'a aidé, c'est quand j'ai appris à distinguer indissolubilité et indestructibilité du mariage. Cela semble un peu subtil, mais c'est très profond.

• «Vous voyez à quel point ma vie a changé il y a cinq ans ? J'étais junkie il y a cinq ans, explique «Iron Mike. Je ne pensais même pas que je pourrais survivre. Ensuite, j'ai été initié à la médecine animale et végétale.»

• «Croyez bien que j'ai une profonde admiration pour vous!» Jacques Sucret, en remettant à Joël Gradels la médaille des collectivités locales, a fait un panégyrique appuyé de celui qui a intégré l'équipe municipale de René Latieule en 1989. Ce bail de plus de 25 ans au service de la population locale est d'ailleurs toujours en cours et il a valu à l'intéressé un discours laudatif du maire qui a décliné avec ferveur et en trois actes les raisons de son «admiration» pour lui : son implication pour la commune, son activité professionnelle et sa vie personnelle.

• Je n'arrive pas a comprendre comment j'ai pu lettrer le compte et valider celui ci sans qu'il soit équilibré.

• La pause temporelle de Hit est donc contrecarrée par la vitesse super luminique de Dyspo. Ne me demandez même pas comment cela fonctionne réellement, tant que cela nous permet de voir Hit descendre deux secondes de son piédestal. J'ai quand même beaucoup de mal à comprendre comment les feintes que Hit met au point pour frapper Dyspo peuvent effectivement l'aider. On est dans du combat quantique, et je n'ai pas mon doctorat en physique sous la main.

• Je suis un soignant qui exerce depuis trente ans et j'ai toujours été contre. Pour moi, l'euthanasie n'est pas un soin, elle peut être pratiquée par des associations mais pas par des professionnels de santé. Tuer n'est pas dans mon ADN. Je me souviens de médecins généralistes de l'ancienne époque, quand je débutais, qui prescrivaient un cocktail lytique en perfusion. Le produit engendrait le décès dans l'heure qui suivait. Le praticien rédigeait l'ordonnance et nous demandait à nous, infirmiers, de l'appliquer. Il ne voulait pas faire le geste lui-même, c'était plus facile de déléguer. Personnellement, je m'y suis toujours refusé. 

• Alors qu'Anne-Élisabeth Lemoine souhaitait lancer un extrait du film, la présentatrice s'est rendue compte qu'il n'y avait pas de magnéto prévu en régie. L'occasion pour Stéphane Freiss et ses comédiens de rejouer une scène culte du film, lorsque le professeur Keating est porté en triomphe par ses élèves après une séance de tirs au but de rugby. "En fait, j'ai compris...vous voulez qu'on la refasse ?", a lancé Stéphane Freiss avant d'improviser et de rejouer cette scène qui a inspiré l'affiche du film. "Je revis ! J'ai l'impression d'avoir leur âge", a confié Stéphane Freiss après cette séquence improvisée dans C à vous.

• Kaf Malbar… En voilà un nom d'artiste bien local ! En fait, mon premier producteur, sans me demander mon avis, a sorti mon premier album en m'appelant MK David alors que l'on m'avait toujours appelé KM comme Kaf Malbar. Et, à l'époque, il y avait beaucoup de prénoms dans les noms d'artistes, donc il a ajouté le mien, David, mais il n'y a personne qui m'appelle comme ça. MK David, c'était vraiment un prénom de business donné par mon producteur donc j'ai voulu revenir à Kaf Malbar. D'ailleurs, beaucoup de gens disent malbar kaf pour désigner les métisses, mais moi j'ai voulu mettre kaf avant car ça sonne mieux.

• Le pari est donc réussi pour Philippe Chevallier, dont les répliques acérées pointent toujours là où ça fait rire. L'artiste a en outre profité des judicieux conseils du chansonnier Jacques Mailhot et du comédien Bruno Chapelle, qui signe la mise en scène de la performance. Alors, culturellement mal-pensant ? «Dans le spectacle il y a un mélange de choses référentielles et de blagues de potaches. Car j'ai toujours aimé le mélange des genres. Mais mon seul but est de faire rire les gens et il n'y a pas de volonté de casser. Je suis culturellement mal-pensant, mais sans brutalité», confesse-t-il.

• Birame D. a nié avoir tenté de marabouter Kylian Mbappé. Il avait déclaré aux enquêteurs l'année dernière : "La seule fois que j'ai parlé de Mbappé avec Paul, c'était après le match face à l'Argentine au Mondial 2018 quand il a couru très vite. J'ai dit à Paul qu'il est super le petit, et Paul m'a dit qu'il est tellement fort qu'il remercie Dieu de l'avoir parmi nous, qu'il nous soulage vraiment."

• « Je quitte Trophée-Québec comme mesureur officiel. Je ne veux plus que mon nom y soit associé. J'ai passé les 20 dernières années à donner bénévolement de mon temps de mon argent à Trophée-Québec, mais je n’éprouve plus de plaisir. Ma passion et ma volonté de répertorier les trophées de cervidés et d’ursidés exemplaires est devenue une « job », a écrit André Beaudry à la FédéCP le 24 août.

• S'il vous plait ne vous moquez pas, mais j'ai démarré ma vie professionnelle en 1999 en passant quelques mois dans une boite qui faisait des services minitel et qui se mettait au web