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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Dans les méandres de l'asparagiculture, j'ai découvert bien plus qu'un métier : un art qui exige patience et délicatesse.

• Dans le silence de la bibliothèque, j'ai découvert l'existence du proto-tupi-guarani, cette langue-mère dont s'épanouissent les dialectes d'un continent lointain.

• Et puis, figure-toi, grand-père, figure-toi que j'ai beau m’arreuiller, j'y vois rien : c'est tout bouché..., tout noir !

• Dans l'immense bibliothèque de Babel, j'ai découvert un ouvrage ancien, écrit dans une langue que je ne connaissais pas. Après des mois de recherche, j'ai compris qu'il s'agissait du canichana, ce qui m'a mené sur les traces d'une civilisation oubliée.

• Les bleus des autres batteries viennent faire le pansage à nos mulets. J'ai été en permission de 15 jours pour foiner mais il a fait que de pleuvoir tous les jours. Je n'ai pas pu faire grand-chose.

• Dans le silence des archives, j'ai découvert une poésie mojeño-loretano, un souffle d'histoire préservé dans la poussière du temps.

• Dans les ruelles de Paris, j'ai rencontré un jeune chinoir dont le sourire rayonnant démentait la rudesse des préjugés qui l'encerclaient.

• Lors des averses interminables en Normandie, j'ai souvent observé le jardinier consulter son hyétomètre avec une mine déconfite, comme si l'appareil pouvait stopper la pluie.

• Hier, jeudi, Francis Jammes et sa jeune femme sont venus déjeuner. J'ai été les chercher à l'arrivée du train de Soissons. J'ai trouvé un Jammes très épaissi, très coqempâté par le mariage.

• Dans le silence de l'aube transappalachienne, j'ai entendu la Terre murmurer des secrets ancestraux, un héritage mémoriel que seul le vent osait porter.

• Dans le jardin de mon grand-père, j'ai appris que la vie était un cycle infini. Chaque printemps, je retrouvais plaisir à graboter parmi les bourgeons et les jeunes pousses.

• Dans la complexité des ruelles de Montmartre, j'ai croisé un pekingese, majestueux petit empereur au regard empreint de nostalgie pour une Chine lointaine.

• Dans le silence des bibliothèques, j'ai découvert la poésie itonama, un écho discret mais tenace de voix presque effacées par le temps.

• Dans le silence des montagnes, j'ai contemplé l'eau calme du lac méromictique, miroir impénétrable d'une nature indifférente aux turpitudes humaines.

• Dans la quiétude des montagnes, j'ai contemplé le lac holomictique, miroir parfait de l'unité de la nature.

• Dans les ruelles de Montauban, j'ai appris que le plus grand des trésors n'est autre qu'un sourire d'enfant ; même si derrière ce sourire se cache un vrai moustre prêt à faire les quatre cents coups.

• Dans mes voyages au cœur de l'Afrique, j'ai découvert que le yangben n'est pas simplement un moyen de communication; c'est le souffle d'un peuple, le reflet vivant de son histoire.

• J'ai simulé une crise de stress, les larmes, la sueur, bref le keum québlo... J'ai été à l'infirmerie, puis je suis revenu plus tard passer mon oral, j'ai eu un autre sujet et je me suis débrouillé.

• Dans les salons parisiens, j'ai souvent observé des esprits s'emberlucoquer avec tant d'ardeur sur leurs théories qu'ils en oubliaient la courtoisie élémentaire.

• Au fil des saisons, j'ai appris que dédrussir l'esprit est aussi essentiel que de cultiver son potager avec amour et patience.