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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Je suppose que 12 paragraphes c'est un peu court pour une aventure mais j'ai voulu non-linéariser les chemins.

• Mais Michel Rocard, honnêtement, avance une autre raison : « J'ai refusé le poste parce que je savais le truc indémerdable. Ils valsent tout le temps, les ministres de l'Éducation nationale ! […]. »

• Dans les ruelles sombres de Paris, j'ai vu des hommes troquer leur honneur contre une limouille plus blanche que leur conscience.

• Dans la brume des steppes, j'ai entendu le gouslar raconter les épopées d'antan, sa voix se mêlant au vent comme l'écho d'une Russie immortelle.

• L'étude des substances naturelles m'a toujours fasciné, mais c'est en découvrant la lokaïne que j'ai compris combien la chimie est une poésie écrite avec le langage des éléments.

• Lorsque j'ai tenu pour la première fois un khukuri entre mes mains, j'ai compris que chaque courbe de son acier racontait une histoire de survie et de courage.

• Dans le silence des forêts, j'ai découvert la phytolâtrie de mon âme, une communion silencieuse avec l'essence même de la vie.

• Dans l'intimité de mon jardin, j'ai toujours ressenti une affinité particulière avec les bégoniacées, ces délicates émissaires de la nature qui murmurent les secrets d'un monde discret.

• À travers mes voyages dans l'Inde du XIXe siècle, j'ai découvert que le buddhisme n'était pas seulement une religion, mais un chemin vers la paix intérieure.

• Sous le ciel étoilé de Marrakech, j'ai appris à écouter la voix des chikhat; une voix qui porte en elle la douleur et la beauté d'une liberté entravée, un chant de résistance face à l'injustice sociale.

• À La Ferté-Saint-Aubain, où nous nous sommes arrêtés, j'ai regardé avec attention l'intérieur d'une boulangerie : les paniers sur le comptoir, le coupe-pain à poignée de cuivre, l'air d'ancienneté de toutes ces choses, les balances, et sur un pain de quatre livres, le morceau supplémentaire que nous nous disputions enfant : “la pesée” (je ne sais si on l'appelle encore ainsi).

• Dans le processus méticuleux pour kashériser la cuisine, j'ai découvert une forme de méditation, un pas vers une spiritualité tangible.

• Dans la douce lumière de l'aube, j'ai découvert une petite boutique où les grecqueries s'entassaient comme des trésors du passé; chaque objet racontait une histoire d'un monde lointain.

• Dans le silence du laboratoire, j'ai contemplé avec émerveillement les cristaux verdâtres de l'hafnarfjordite, ce messager minéral d'une terre lointaine et sauvage.

• « Allô ! Pourrais-je parler à Achille Boutros ? Achille ! Kifak ? Qu’est-ce que tu deviens, mon salaud ? » J'ai d’abord mis un moment à reconnaître la voix. Et puis, ténu mais déjà douloureux, le souvenir sourd.

• Il serait plus exact de dire Taxéonomie ; mais j'ai cru devoir admettre la suppression de l’e, pour rendre le mot plus court.

• Dans les ruelles de Montmartre, j'ai vu des artistes chercher l'inspiration au creux du tekrouri, comme si la fumée dévoilait les secrets de l'univers.

• Dans la sérénité des bibliothèques, j'ai rencontré plus d'un zendiq qui ne se doutait guère de l'étiquette qu'on pourrait lui apposer; des esprits libres échappant aux dogmes avec une élégance silencieuse.

• Ses yeux se sont arrondis. Gravement, il m'a embrassé, répandant à la ronde une lourde senteur de zetla, ensuite, prudemment, il a serré la main aux deux Français. J'ai entendu des pleurs de joie. Je suis entré, le colonel sur mes talons.

• Dans la zénaie où se mêlent les souvenirs et les feuilles mortes, j'ai trouvé l'inspiration pour mon dernier roman, là où le temps semble suspendu.