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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• La femelle que j'ai vue chez M. Elliot, a la queue faiblement entaillée; le dessous du corps moucheté, sur la gorge et le cou, de plumes vertes sur un fond d'un blanc légèrement roussâtre, ou couvert de plumes vertes, frangées de roux pâle ; la poitrine et le ventre couverts de plumes lisses vertes, en partie frangées de gris. Cette métallure a été découverte, par M. Osculati, dans les environs de Laguano, sur les bords du Napo (Équateur). Elle a été dédiée à M. le comte de Primoli, petit-fils de M. le prince de Canino.

• Dans mon enfance, j'ai découvert l'obituarophilie par accident. Chaque avis de décès était comme une histoire inachevée qui me fascinait au-delà des mots.

• Dans le panier, je t'ai mis un agoulou et pour moi, j'ai pris un boquite à la morue.

• En observant un toatoa, j'ai compris que chaque arbre est une histoire enracinée dans la terre, tenant en équilibre fragile la mémoire du monde.

• En voyageant à travers les villages, j'ai découvert que chaque autoglossonyme est une mélodie unique, chantée par ses habitants.

• En tant qu'arcenciologue, j'ai appris que chaque arc-en-ciel raconte une histoire unique que seul un regard attentif peut déchiffrer.

• Un type classé avec les huppes par les anciens naturalistes, rangé avec les promérops par Cuvier, élevé par le prince Charles Bonaparte au rang d'une famille particulière (Irrisoridæ), placé par M. G. R. Gray dans la famille des huppes (Upupidæ) et dans la tribu des Ténuirostres de Cuvier, avec les épimaques, les promérops, les souimangas (Nectarinia Illig., Cynniris Cuv.), les Trochilides, etc., est le genre irrisor (Irrisor Lesson). On n'en connaît encore aujourd'hui qu'un très petit nombre d'espèces des régions les plus chaudes de l'Afrique. [...] C'est l'espèce la plus anciennement connue, l'irrisor à bec rouge (Irrisor erythrorhynchus, Upupa erythrorhynchos Latham, Irrisor capensis Lesson), de l'Afrique australe que j'ai eu l'occasion d'observer.

• Le jour où j'ai découvert que le niclosamide pouvait être aussi poétique qu'efficace, j'ai su que même les vermifuges avaient une âme.

• Dans les méandres sonores du terrorcore, j'ai trouvé la rébellion et l'énergie brute qui manquaient à mon âme.

• Dans la lumière dorée du crépuscule dantzickois, j'ai découvert une sérénité que je n'avais jamais connue auparavant.

• En voyage au Japon, j'ai découvert non seulement la culture fascinante du pays, mais aussi les dangers cachés de l'anisakiose dans certains plats traditionnels.

• En découvrant le seddari, j'ai compris que chaque fibre de son tissu raconte une histoire de traditions et de convivialité.

• Ce fut lors d'une réunion familiale que j'ai réalisé combien un arrière-arrière-demi-petit-neveu peut apporter une nouvelle perspective à notre histoire commune.

• Dans ma quête pour comprendre les cycles naturels, j'ai découvert que l'approche collembologique offrait des perspectives uniques sur la biodiversité cachée sous nos pieds.

• Dans le silence de l'atelier, j'ai dû re-paroliser mes pensées pour donner une nouvelle vie à mes tableaux.

• En écoutant cette musique, j'ai senti une lénitivité qui allégeait mes pensées comme si chaque note était un baume pour mon cœur inquiet.

• Sur le terrain, j'ai juste trouvé différent l'emplacement de R16 et R18 (pas vu de pitons à l'endroit indiqué sur c2c et de bons becquets pour faire relais sur sangle 10 m plus haut) ainsi que le tracé de L20 et L21 (cependant, on doit pouvoir "variantiser" pour finir sans trop de souci).

• La bonne surprise c'est que j'ai demandé la possibilité de "végétalianiser" mes makis, ce qu'ils ont accepté et je me suis régalée.

• C'est dans le regard complice de ma demi-grand-cousine que j'ai retrouvé la chaleur des souvenirs d'enfance perdus depuis longtemps.

• En feuilletant l'album photo poussiéreux, j'ai découvert un portrait de mon demi-grand-oncle, ce mystérieux parent dont la légende familiale ne cesse de m'intriguer.