Accueil > Citations > Citations sur le j'ai

Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Ce qui revient à dire que le verre que je vais boire, je le paye en neutralisant le compteur. À la deuxième station, j'ai compris que c’était un jeu de dupe et j’ai laissé fonctionner le rongeur horo-kilométrique.

• Dans l'ardeur de ma jeunesse, je pensais que ronsardiser serait un jeu d'esprit; j'ai vite appris qu'il s'agissait d'un art exigeant le plus profond respect pour la langue et ses rythmes.

• Dans le tumulte des vagues et l'assourdissant fracas des canons, c'est dans le rouffle que j'ai trouvé un instant de paix, une solitude presque confortable loin du chaos du pont.

• Moi qui espérais aller déjeuner en ville plutôt que de manger le reste de rougail qui traîne au frigo et dont je ne sais plus quelle sorte de rougail ça peut être parce que j'ai jeté le couvercle et que Céline a emporté mes ordures en même temps que mes vêtements.

• La première chose que j'ai observée dans les grenouilles, est la rougissure très forte des pattes, visible spécialement sur la partie ventrale de l'animal.

• Dans ce vieux Rouen où je me suis embêté sur tous les pavés, où j'ai bâillé de tristesse à tous les coins de rue

• Ce n'est que lorsque j'ai vu les étudiants rupiner avec tant d'ardeur que j'ai compris la véritable valeur du savoir et de la détermination.

• Dans les rues de Paris, j'ai rencontré l'amour aux yeux clairs et au sourire timide; c'était l'hiver, et son accent russien réchauffait l'air gelé qui enveloppait nos pas hâtifs.

• Je dois avouer que j'ai toujours été un russophile, touché par les élans romantiques de Tolstoï, bercé par la mélodie du balalaïka et ému par l'histoire tourmentée de ce peuple fier.

• Je tourne en rond dans mon appartement en attendant un signe d'elle. […]. J'en suis à faire un brin de nettoyage alors que tout est déjà rutilant, parce que j'ai une femme de ménage.

• Dans le dialogue silencieux des prières, j'ai parfois perçu l'écho lointain des sabelliens, ces âmes errantes sur les rivages de la foi, cherchant un phare dans la brume du dogme.

• À la première chute, je n'ai décroché qu'un cale-pied que j'ai ramassé pour le remonter moi-même peu après ; à la deuxième chute, j'ai largué une sacoche, qu'il allait falloir faire réparer avant de la réinstaller ; à la troisième, j'ai perdu ma pompe à vélo, que je ne pourrais remplacer que moyennant finances.

• Sous les étoiles filantes, j'ai confondu leurs lueurs avec des sagettes célestes, transperçant le voile de la nuit noire.

• L'amour et les affaires ne se mélangent guère ; pourtant, j'ai vu plus d'un cœur être prêt à saisir-gager son bonheur contre une dette de passion éphémère.

• sachant depuis longtemps les belles manières nipponnes, je lave moi-même, dans un bol d'eau chaude, apporté à cet usage, la tasse en miniature où j'ai bu, j'y verse quelques gouttes de saki et les offre successivement aux deux mousmés; elles font mine de boire, je fais mine de vider la coupe après elles, et nous échangeons de cérémonieuses révérences : l'étiquette est sauve.

• Dans la quête incessante de l'absolu, j'ai découvert que chaque être porte en lui une étincelle de sakti, cette énergie divine qui transcende les limites de notre condition humaine.

• Dans l'obscurité des sous-sols parisiens, j'ai vu le temps et l'humidité conspirer contre les pierres ancestrales, les salpêtrer avec une précision d'orfèvre.

• Mais, à la vue du sang, il s'est produit l'effet que maintes fois j'ai eu l'occasion d'observer : l'homme s'est changé en brute sanguinaire.

• Dans l'immensité des bois, j'ai découvert un spécimen sarcomycète si imposant que sa simple vue évoquait une créature mythologique endormie.

• Dans le silence du jardin botanique, j'ai contemplé avec émerveillement l'architecture complexe d'un sarcophylle et compris que même dans la simplicité se trouve une complexité inattendue.