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Citations sur le j'ai - Page 49

Il y a 2279 citations sur le j'ai.

• Monsieur, j'ai pour principe, écoutez bien cela, d'admirer l'admirable et de m'en tenir là.

• T.L. : C'est l'objectif ! Après, Francis Garnier va être dur à battre. Il m'avait nettement devancé au Roule. Je vais essayer de prendre ma revanche. Je joue à la maison, j'ai l'avantage de bien connaître le terrain contrairement à lui. Il faudra être très fort dans la gestion, ne pas se laisser emporter par le rythme des duos au départ, ne pas se mettre en surrégime. Plus de 6 heures, c'est très long ! En tout cas, il y a une belle concurrence avec des mecs solides comme Ludovic Bonamy (Ndlr : 2e en 2020). Ce qui est intéressant, c'est la confrontation. C'est ce qui m'a motivé à l'entraînement ces derniers temps.

• Bonjour, J'ai reçu un avis de contravention pour "refus de priorité par conducteur de véhicule à un piéton régulièrement engagé dans la traversée d'une chaussée". Il à été réalisé par vidéo verbalisation et j'aimerai le contester. Car je ne suis pas sure que ce soit moi ou mon épouse au volant et que je ne me souviens pas avoir faillit écraser quelqu'un, à cet endroit il y a souvent des véhicule stationnés ou autre objet masquant la visibilité.Comme vous le demandé je vous fournis l'avis de contravention masqué.Je vous remercie de m'aider.

• Aujourd'hui, j'ai failli mourir. Une légère distraction de ma part, un gros refus de priorité de la sienne.

• "Juste avant le meeting de Doha le 5 mai, j'ai passé une semaine à la clinique Aspetar pour faire un check-up médical. Et après l'IRM on m'a demandé de passer un scanner du genou à l'issue duquel on a trouvé un kyste qui avait l'air bénin, situé dans le condyle interne du genou", a expliqué Tamgho dans un entretien téléphonique depuis sa chambre à l'hôpital Cochin.

• 2 à 4 semaines avant le jour J, j'ai utilisé une crème dépilatoire (il faut éviter de décolorer, épiler à la cire ou à la pince).

• « L'an dernier, j'ai fini 7e en finale à Bordeaux mais cette année je vise le top 3, comme on dit dans l'armée : croche et tiens ! »

• Un pitch et un projet qui claquent donc (les films de MMA au féminin ne se comptent pas par dizaines) mais surtout, un tweet formidablement anti-âgiste. L'âgisme, c'est cet ensemble de préjugés ciblant un individu en fonction de son âge avancé. Et notamment les femmes, lorsque ces dernières dépassent le cap de la cinquantaine. En France, rares sont les comédiennes à évoquer ce tabou. Récemment, l'iconique Emmanuelle Béart témoignait : "J'ai le droit d'avancer en âge, de vieillir. Mais j'ai senti que le cinéma ne me l'autorisait pas. J'avais atteint un âge charnière où on change d'emploi".

• «C'est à ce moment-là que j'ai découvert ce train fantôme qui n'avait jamais servi, avec ses cabines qui ressemblent à des téléphériques», explique celle qui est également vice-présidente du territoire Grand-Paris-Grand-Est.

• J'en suis au point ou j'envoie chier mes fournisseurs français incapables de me faire des produits corrects, car j'ai trouvé ici une qualité top, aux normes les plus draconiennes, pour 50% moins chère...sans me faire chier avec des retards de livraison, des transitaires et des compagnies maritimes qui se gavent honteusement, plus des droits de douanes à l'arrivée...

• Ce weekend, je me suis intéressé au langage JSON, aux parsers JSON par défaut de plusieurs langages de programmation, et j'ai fait des découvertes intéressantes.

• Le "Catalogue raisonné" de l'artiste américaine Georgia O'Keeffe. A chaque fois que je l'ouvre, j'ai un choc esthétique. Il y a dans ses paysages du Nouveau-mexique une telle liberté, une sensualité, une puissance…

• En tournant "Zépon" Gilles Elie Dit Cosaque s'est encore un peu plus rapproché de sa culture antillaise : "C'est une culture que j'aime, que je connais et que j'apprécie. Plus je tourne là-bas et plus j'ai des envies de faire là-bas parce que c'est une mine fabuleuse à histoires et ce sont encore des cultures, des régions et des mentalités qui ne sont pas assez justement mises en valeur."

• au diable l'instruction, j'ai aimé vagabonder avec vous Alain Guyard ce jour là (grâce à des amis chèr(e)s qui m'ont fait vous connaître en m'invitant à chacune de vos venues à St L D A ) et j'ai aimé vagabonder , natchaver à vos côtés dans votre livre (dédicacé...) Merci

• Ces mythes de l'aviation française sont-ils parvenus jusqu'aux oreilles du petit Andrès Zafra en Colombie ? " Les avions m'ont toujours passionné. Mais pas au point, petit, de vouloir devenir pilote. " C'est en arrivant en France, en 2016 - dans les bagages de l'entraîneur de Givors, Cédric Desbrosses - que, petit à petit, son intérêt pour le vol s'est développé. " Arrivé à Lyon, j'ai fini mon DUT (génie mécanique). Lors de ma première année à Agen, je n'ai pas fait grand-chose. Mais l'an dernier, on m'a parlé d'une école d'aviation... "

• Et qui c'est qui s'est qualifiée au stade 4 ??? @Winamax J'ai pas brillé par mon classement mais j'ai quand même été première de ma série un bon moment pic.twitter.com/570ylsrPgu

• Cette année, ses frais de scolarité sont passés d'environ 300 euros à 3770 euros. "Quand j'ai appris cette nouvelle, je n'en ai pas dormi pendant deux semaines", reconnaît le jeune homme. Et c'est le même constat pour ses voisins qui logent dans les résidences du Crous. "C'est vraiment un poids, une épée de Damoclès qui pèse au-dessus de nos têtes. C'est horrible", poursuit-il. La faute à une mesure décidée en 2019 par l'exécutif et dont le but est de pouvoir financer les bourses et améliorer les conditions d'accueil afin d'attirer les étudiants étrangers. Ce qui est "un peu paradoxal" pour Mézian. 

• Je criais : "N'ouvre pas la boîte !". J'étais déjà prête à sortir de la pièce quand elle a ouvert la boîte. J'ai vu le plus gros rat noir que vous puissiez imaginer. Alors... Sans aucune peur, elle s'est extasiée, pleine de joie.

• Aujourd'hui, la femme née à Kirov se présente comme une « simple citoyenne, pas une politicienne ». « En Russie, on m'accusera d'être une espionne et d'avoir été grassement payée pour faire cette déclaration. Pourtant, je ne travaille pour personne », dit-elle, avant de rappeler en russe que, selon elle, « la presse libre est indispensable à toute société ». Mais comment faire pour « dézombifier les médias russes » ? s'enquiert-on. « Je ne suis pas en politique, j'ai deux hypothèses : soit le pouvoir russe stoppe son action, soit le peuple russe en prend lui-même conscience. »

• Fan de Bitcoin, in love de Litecoin, amie d'Ethereum, j'ai une tendance marquée à friendzoner les shitcoins dont le seul projet d'avenir est de vous délester de vos rêves de prospérité ! J'essaie de n'être maximaliste de rien, je recherche plus les convergences entre ancien et nouveau monde Apprentie-mineuse à mes heures :-)

• « Cela signifie que j'ai une très bonne compréhension de la piste et avec Buj (Kristen Bujnowski), ma freineuse derrière moi, nous avons une poussée très compétitive, a expliqué de Bruin.

• Je ne l'ai jamais rencontré. Il n'avait pas pu venir au combat des maîtres, donc nous n'avons pas eu de vraie discussion. Mais j'ai hâte de le rencontrer et de discuter avec lui. Après, je ne sais pas comment il vivrait la perte de sa première place, mais on sait très bien que tous les records sont faits pour être battus. Il y a de plus en plus de gros champions. Donc même si je le bats, moi aussi mon record sera battu un jour. Ça fait partie du jeu. Si je deviens numéro 1, j'espère que mon record sera battu un jour et que les gens continueront à écrire l'histoire de l'émission. C'est toujours bien pour le suspense de l'émission.

• Ce passage soudain d'une carrière de niche au grand public ne semble pas avoir trop perturbé le chanteur. "À l'époque, on était un peu dans l'action, parce qu'avec mes camarades on faisait beaucoup de concerts", explique-t-il avec la nonchalance légendaire. "Le succès n'est pas un truc que j'ai recherché à tout crin. Ce que je recherche, c'est m'exprimer. C'est tout."

• Cette refonte totale de l'univers de Gaston Lagaffe se déroule sous le contrôle d'Isabelle Franquin: "Je lui en avais parlé", se souvient Jean-François Moyerseon. "Elle était d'accord, au début. J'ai toujours tout fait avec son accord." "Il avait été très précautionneux avec Isabelle Franquin. Ça n'a pas été facile avec elle, mais il avait réussi à la convaincre", abonde Philippe Nihoul, ex-attaché de presse de Marsu-Productions.

• "Quand je prends du crystal meth, j'ai beaucoup d'énergie", explique le jeune homme élancé en versant le contenu d'un petit sachet dans la pipe. Cette drogue, relativement nouvelle au Zimbabwe, s'ajoute à un cocktail de malheurs lancinants: pandémie, chômage, pauvreté et désespoir.

• Je n'avais jamais lu ce texte avant de travailler dessus. J'ai une formation d'historienne, certes étrangère à l'histoire du nazisme. J'ai été incapable de lire ce texte. Je me sentais démunie. L'antisémitisme, c'est immédiat, "évident". Ce qui m'a profondément déstabilisée, c'est que je n'avais aucun moyen d'avancer dans la lecture au-delà de l'appel à la haine épouvantable à lire. Sans l'appareil critique, on peut se perdre. Il s'agit de s'armer contre un contenu que l'on ne peut pas comprendre seul.

• Bon, j'ai une Highland fold (Scottish à poil mi-longs) depuis 4 ans bientôt, elle va avoir 7 ans. Je l'ai eu d'un élevage qui voulait arrêter ou réduire (peu importe)

• Le modèle, disponible en ligne et en boutique, est proposé à 29 euros. Il peut se marier avec la sélection de masques de protection de la marque, agrémentés des inscriptions "Je crains dégun", "Fini les gâtés", "Méfi j'ai le squinfus", et pour les plus jeunes "Petit boucan".Avec ETX Daily Up 

• Franchement, je n'ai jamais trop accroché à cet univers, mais j'ai vu les films par ma fille qui est très amatrice du Potterverse. Et si j'ai saisi l'intrigue générale de la franchise originale, pour ces Animaux Fantastiques, je n'ai vraiment rien compris. Les deux films ont beau mettre en scène les mêmes personnages, je n'ai pas saisi le lien entre eux, et le sens du titre.

• Hip hip hip houra ? Pas vraiment. Car cela ne signifie pas que je ai tenu toute la semaine sans râler. Cela signifie, plutôt, que j'ai oublié plusieurs fois de changer mon bracelet de place après mes râleries, et qu'après 45 jours de tests, mon assiduité tend quelque peu à diminuer.

• C'est un endroit comme la Guyane. Un pays qui englobe des stations balnéaires luxuriantes des Caraïbes populaires auprès des touristes. Une forêt tropicale mystérieuse inexplorée, et un mélange de cultures anglo-espagnoles, africaines, créoles et indigènes. C'est un pays imaginaire que j'ai utilisé dans plusieurs films et émissions de télévision.

• Si le cintre en carbone rond peut faire un peu "vieille école", son diamètre de 31.8mm permet une bonne prise en main, confortable. Associé à un épais ruban de cintre, j'ai apprécié son ergonomie.

• Oui, complètement. J'ai été transféré pour d'autres examens complémentaires à l'hôpital de Manille durant à peu près trois, quatre jours à la suite de mon départ de l'île. En tout, j'ai passé une petite semaine à l'hôpital à l'étranger. Ensuite, une fois que tout est rentré dans l'ordre et que je pouvais prendre l'avion, je suis revenu en métropole. J'ai passé deux, trois examens supplémentaires pour remettre tout dans l'ordre et voilà, maintenant tout va bien. Je suis reparti comme en 40.

• Le tournage a duré 1h30 et la nuit qui a suivi a été très agitée. J'étais bourré comme un coing. Je suis rentré à mon domicile en taxi, je riais à tout ce que disait le chauffeur. J'ai essayé de me coucher, mais c'était encore pire. Les 36 heures qui ont suivi ont été délicates, il y avait une sorte de brouillard cotonneux. Au total, j'ai bu une vingtaine de vodkas le ventre vide. Donc si je peux donner un conseil aux futurs invités: allez-y le ventre garni! 

• Ils ont un petit côté choupinou, j'ai de l'affec pour eux.

• "Je suis infirmière. J'ai eu un patient avec un cure-dent dans l'urètre. Il n'a jamais voulu me dire comment il était arrivé là, et m'a soutenu qu'il était en train de se curer les dents quand le cure-dent est tombé dedans."

• Jean-Marc Boyer  : Je suis devenu trufficulteur en 1995 lorsqu'avec mon grand-père, j'ai planté mon premier chêne truffier dans la vigne familiale, j'avais tout juste 15 ans. Ensuite j'ai planté 152 arbres lors de mon installation en 2002. Depuis, c'est tous les ans que je réalise de nouvelles plantations.

• Dans son refrain, la chanteuse de 25 ans scande : "Qu'ils se moquent/ J'ai même pas peur d'eux/Qu'ils se moquent/Tant qu'ils pensent être rois/Qu'ils se moquent/Qu'on les plie en quatre". Comme un hymne guerrier, un bouclier pour se blinder contre la haine. Les attaques abjectes ("Non, je ne pue pas, je ne vis pas dans un arbre, je ne cours même pas vite"), elle les balaie, mais ne les oublie pas.

• "Les Rochelais vont-ils vaincre le signe indien face au Stade Toulousain ?" Pitête, s'ils gagnent. Ugh, j'ai dit.

• Le Genappien de 29 ans chante depuis six ans mais c'est la première fois qu'il passait une audition. "Je n'ai vraiment aucun regret, j'ai fait le plein de rencontres intéressantes et de bons conseils de la part des musiciens lors des répétitions, c'était une super expérience", se réjouit ce Brabançon, guitariste depuis ses 12 ans et dont le métier est l'aménagement de véhicules, à Louvain-la-Neuve. "J'ai suivi pas mal de cours de guitare à Wavre mais je suis autodidacte au piano et à la batterie."

• En 2004, à l'occasion d'une dégustation des vins du cru, les vignerons nous confiaient leur satisfaction de compter alors une vingtaine de caves particulières. Ils sont aujourd'hui pratiquement quarante, et la jeune génération fait bouger les lignes, à l'image d'Aurélie Pereira, la dynamique présidente du cru, également vice-présidente de la cave coopérative : "J'ai récupéré des vignes de mes grands-parents et j'en ai acheté une partie. Pour moi, il était évident de faire du vin ici, où sont mes racines ; j'ai commencé à la Préceptorie de Centernach."

• Comment définir les tableaux de l'artiste hamme-millois Jean-Paul Simon? Sont-ils abstraits, suggestifs, fantastiques, oniriques? Sans aucun doute, ils sont, selon le regard des visiteurs, tout cela à la fois, avec une dominante suivant les sensibilités personnelles. Jean-Paul Simon: «Je ne donne jamais de titre à mes tableaux car j'ai constaté que cela influençait celui qui les contemple. Je préfère que le spectateur s'imagine ce qu'il ressent.»