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Citations sur le j'ai - Page 51

Il y a 2279 citations sur le j'ai.

• - Pourquoi bois-tu ? lui demanda le petit prince. - Pour oublier, répondit le buveur. - Pour oublier quoi ? s'enquit le petit prince qui déjà le plaignait. - Pour oublier que j'ai honte, avoua le buveur en baissant la tête. - Honte de quoi ? s'informa le petit prince qui désirait le secourir. - Honte de boire ! acheva le buveur qui s'enferma définitivement dans le silence.

• - Mais il n'y a personne à juger ! - On ne sait pas, lui dit le roi. [...] - Oh ! Mais j'ai déjà vu, dit le petit prince. [...] Il n'y a personne là-bas non plus... - Tu te jugeras donc toi-même, lui répondit le roi. C'est le plus difficile. Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui. Si tu réussis à bien te juger, c'est que tu es un véritable sage. Chapitre X.

• Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore.On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule, elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée... *** Puisque c'est ma rose".

• L'histoire d'un héros au service de sa nation. Pourtant, en 2020, lorsque la journaliste avait demandé au chasseur alpin dans son documentaire s'il considérait en être, celui-ci avait répondu : "Héros est un terme un peu fort, j'ai vu des gens courageux, c'est une action collective."

• Quand "on arrive au carrefour, la conductrice (...) reçoit un message. Moi, pendant ce temps-là, j'ai vu les signaux lumineux (du passage à niveau), les barrières s'abaisser", poursuit la jeune femme, un chien golden retriever, destiné à lui permettre de libérer sa parole, assis à ses côtés. "J'ai ressenti le choc quand elle a tapé les barrières, on est tous partis en arrière. On a entendu le bruit de la barrière se tordre", complète celle qui est considérée comme une témoin clé dans l'enquête.

• "Nous avons fini par nous embrasser, puis il a baissé son pantalon" a-t-elle confié. "Je lui ai dit : 'Je ne fais rien.' Et il m'a répondu : 'Que veux-tu dire ?' Son langage était assez direct et grossier. C'était comme parler à un mur. C'est comme si rien de ce que je disais ne lui faisait tilt, c'était comme parler à un mur. J'ai fini par être obligée de céder, il n'y avait rien d'autre que je puisse dire ou faire."

• «Je n'ai pas le profil habituel des personnes transgenres, prévient Julie en nous accueillant dans son appartement, aux Trois-Ilets. Je n'ai jamais eu une gestuelle ou une voix efféminées. Enfant, je jouais à des jeux de garçon, j'ai toujours voulu devenir policier... » Jupe droite et veste noire ajustée, escarpins à petits talons, longue chevelure ondulée, maquillage léger... cette Iléenne d'adoption affiche une féminité discrète et élégante. Elle revient d'un séjour...

• Vous êtes passé très vite au semi (59'51''), était-ce prévu ?Berlin est un endroit spécial, où on peut repousser ses limites, on l'a vu par le passé. Alors au semi, quand j'ai vu le chrono, il y a eu très grosse émotion, je me sentais bien et capable de continuer. J'étais heureux, et je suis aussi très content de mon chrono final, donc je n'ai aucun regret. Ma préparation a été très bonne, et je tiens à remercier mon management, mon coach, mes coéquipiers d'entraînement, les fans, les sponsors. Tous sont importants dans ma performance.

• Je m'appelle Emilie et je suis "cameraman". Ou plutôt "camerawoman". Je suis montée à la capitale comme de nombreuses personnes pour exercer mon métier. D'autant plus que dans mon domaine, Paris est the place to be ! J'ai commencé comme cadreuse, puis JRI/réalisatrice (journaliste reporter d'images) pour différents programmes TV.

• J'ai une superbe chatte de race ragdoll que je ne connaissais pas encore, je suis très amoureuse de ma chatte ; j'ai eu d'autres avant mais celle-ci est une pure merveille dans le caractère aussi, toujours à mes cotés, ne joue pas trop comme ma siamoise, je suis en admiration de cette beauté aux yeux bleus si intenses !

• Mes gueules de loup s'assèchent et finissent par mourir. J'en ai déjà perdu deux pots et il m'en reste encore deux que je voudrais sauver. Pourtant, dans le passé et dans le même endroit, j'ai gardé un pot fleuri durant trois ans. Que faire ?

• Moi aussi je dis que j'ai "vu un film. Je refuse l'utilisation d'un mot différent que celui que les personnes dites voyantes utilisent. En l'occurence ce n'est pas du tout les termes employés qui me gènent, c'est le jeu de mot "en mettre plein la vue aux aveugles:" À force de l'avoir lu et entendu partout, il m'agace. C'est une facilité, une paresse. Je préfère aveugle à non-voyant, je regarde la télé plus que je l'écoute. Pour la petite histoire, au Québec, tout le monde, voyant ou non dit "écouter la télé."

• Des mésanges chez Lydie, mais aussi des rouge-gorges ou autres pies grièches. François n'a pas installé ses nichoirs au hasard. "Je me suis mis à raisonner en oiseau. J'ai fait abstraction des propriétés et j'ai proposé aux gens le nichoir qui convenait vraiment à l'espèce qui était chez eux, ou qui risquait d'être chez eux."

• Depuis petite, Lou baigne dans un univers très cultivé et musical. Notamment grâce à son père journaliste, qui lui aussi joue de la guitare occasionnellement. Elle débute avec sa sœur jumelle Juliette, pianiste. "J'ai longtemps fait de la guitare sans chanter, mais il fallait que mes émotions sortent. En seconde, j'ai débuté le chant", explique-t-elle, l'air nostalgique. 

• Donc les bouddhistes, dans nos vieilles têtes usées, c'est l'innocence même, si un bouddhiste nous dit "je veux bien garder tes enfants", on va dire oui, alors que faites le test avec un belge ou un prêtre, là on dit "ah, pardon, j'ai un double appel, je dois te laisser", même quand on est face à eux et qu'on n'a pas pris son téléphone.

• Désolé , mais le parler nîmois est plus influencé par le provençal rhodanien . J'ai fréquenté des gascons et des béarnais qui se disent Occitans et j'avoue que je ne comprenais pas grand chose . Du reste , nous chantons la coupo santo et la Font de Nimes ( Se canto ) . Aro , n'i a proun

• Bonjour, j'ai récemment planté un citronnier des quatre saisons en pleine terre. J'habite en périphérie de Montpellier. Il était jusque là en pot, car acheté en Avril en Espagne. Il nous offre périodiquement d'abondante floraison, et le petit citron apparait très vite après. Mais quelques jours plus tard, le petit citron devient noir et tombe.

• "Je me souviens que Silvio Berlusconi m'a téléphoné pour me demander comment était Ronaldo. Je lui ai dit qu'il ne s'entraînait même pas et qu'il aimait beaucoup faire la fête et les femmes, donc le faire signer à Milan serait une erreur. Le lendemain, j'ai vu les gros titres des journaux : "Ronaldo à Milan". C'était très drôle", a expliqué Capello.

• Hello hello, j'ai 25 ans, je vis en Normandie à Caen. Je suis Responsable Communication Marketing. Sinon je ne sais pas si je suis la mieux placée pour me présenter rapidement mais tout ce que je peux dire c'est que j'ai une grande joie de vivre en général et surtout pour mes passions notamment le longskate, qui m'a rendue encore plus heureuse et épanouie dans ma vie. Le longkskate m'a apporté tant de belles rencontres, de partages, de voyages et surtout une sacrée place dans mon train train quotidien depuis déjà 3 ans.

• Alors, j'ai demandé à mon frère, cuisinier, ce qu'on peut faire avec un avocat marron et trop mûr.

• Ma famille. J'ai la chance d'avoir mes parents et ma sœur à Paris et cela va être une vraie soupape de décompression d'être auprès d'eux au moment des directs.

• Autre pique, et on peut l'assimiler à une balle perdue, cette phrase de Longoria : "Le premier jour ou je suis arrivé au club, j'ai vu Mandanda manger un hamburger." Ambiance. 

• Par contre j'ai toujours mon problème de démarrage à chaud. Hier par exemple j'ai fait 2 fois un trajet de 100km, une fois le véhicule à l'arrêt depuis au moins 5 minutes, je ne peux plus redémarrer sans forçant...J'ai vraiment peur d'abimer la nouvelle batterie et le démarreur si je continue comme ça, et mon pouvoir d'achat actuel ne me permet pas d'aller voir des garagistes qui me demandent 900e pour changer toute l'injection et voir par la suite!

• Quelle émerveillement. J'ai bien cru voir dans mon jardin à Toulouse un oiseau exotique. Non, je ne révais pas : il s'agissait d'une hupe fasciee. Que la nature est belle !

• J'aime la touchbar. Je voudrais juste pouvoir la désactiver dans certaines applications. Quand Outlook envoie un mail que je suis en train d'écrire parce que j'ai effleuré la barre...

• J'habite le Sud de la France, vous savez.... là où il fait très très chaud... là où les rivières sont à sec... bref j'ai dans mon jardinet 3 plants de datura stramoine qui ont élu domicile.... fleurs blanches bien campées, puis maintenant grosses gousses piquantes....je les laisse vivre leurs vies et voilà. On ne se frotte pas, on ne se serre pas la main mais on ne se met pas de masque non plus.

• Bonjour, je cherche une carte murale du Japon mais pas une carte routière, une carte avec les régions et les grandes villes, j'ai cherché mais je n'ai pas trouvé =/ Savez vous où je peux en trouver ? J'aimerais en avoir une un peu comme celle ci :

• "C'est mieux d'être deuxième, troisième ou vingtième de la draft si après, on a une meilleure carrière. Mais j'ai toujours cette part de fierté de me dire qu'il faut qu'il n'y est personne devant moi, c'est moi qui dois être au-dessus. Ça tombe bien, puisque pour les bookmakers, c'est le grand favori, ce qui serait une première historique pour le basket français.

• Après avoir réalisé ce qu'il était en train d'observer, un phoque et une pieuvre, son premier réflexe a été de saisir son appareil photo afin d'immortaliser la scène. Le phoque, long d'environ 1m40, tenait dans sa bouche une pieuvre géante du Pacifique. "Il est apparu avec cette chose entre les dents et j'ai eu l'impression qu'il me regardait droit dans les yeux et qu'il me disait: 'Regarde ce que j'ai attrapé!'", confie Bob Ianson.

• "Je m'appelle Morgane, j'ai 23 ans, c'est ma huitième saison", détaille la superviseure du restaurant Lucky Burger du parc d'attractions de Fraispertuis, dans les Vosges. "Bonjour, je voudrais un menu cheeseburger", lui dit une cliente à midi. "D'accord, un menu Lucky, la boisson s'il vous plaît ?", demande la jeune femme, superviseure du restaurant, qui récapitule la commande. "Ça vous fera 46,60 euros", annonce Morgane à la cliente.

• Les médecins lui font des examens, "et il me disent 'Monsieur, ne sortez pas, vous êtes en train de faire une embolie pulmonaire'. Je suis resté 15 jours à l'hôpital à Fréjus", se souvient-il. "J'ai écrit à la responsable de mon dossier en Turquie, et quand je lui ai expliqué qu'en fait ils m'ont fait de la cata, elle m'a directement bloqué", détaille Manu. "En fait, j'ai payé moins cher. Et elle m'a écrit 'Tu crois quoi, il ne faut pas rêver'", ajoute l'auditeur, expliquant avoir payé moins cher en leur faisant de la pub.

• N'étant pas « Pékinois d'adoption » dès le départ, puisque j'ai vécu 6 ans à Jinan, la capitale du Shandong, avant de m'installer à Beijing en 2013, je n'ai pas tout de suite eu l'idée d'habiter dans les hutong de Beijing, ces petites ruelles typiques de la vieille ville. Pour moi, hutong était synonyme de « pauvreté, insalubrité et promiscuité ». D'ailleurs, je ne m'imaginais pas que les étrangers avaient le droit d'y vivre et que les hutong pouvaient être aussi confortables que je n'ai pu le découvrir plus tard.

• "C'est vraiment ce qui a guidé le tracé. En France, le bivouac est autorisé partout où il n'est pas interdit. En combinant cela avec la carte topographique et la carte de la densité de la population française, je me suis retrouvé avec cette ligne, qui part des Vosges du Nord et va jusqu'aux Pyrénées, à Hendaye. On reste à 1 213 mètres d'altitude en moyenne et 71 % du parcours est bivouacable", détaille Kevin Ginisty. "On n'a pas pris un bulldozer pour créer les sentiers. Ils étaient déjà là. J'ai simplement connecté 47 GR (chemins de grande randonnée, ndlr). On est le pays au monde avec le plus de sentiers de randonnée." 

• Plus loin, à quelques encablures du domicile du directeur dénéral de l'Irad, se trouve à l'arrière de cette maison, la concession de M. Mbondji, un ancien responsable de l'Irad. "Je ne sais pas pourquoi l'Irad vient de ce côté chercher du terrain ;  Ils en ont ailleurs. En tout cas,  moi je ne vois pas comment on pourrait me faire partir puisque je suis en règle , j'ai mes papiers", affirme-t-il. Et pour appuyer ses dires,  il nous indique les limites du terrain de l'Irad qu'il dit bien connaître pour y avoir travaillé pendant longtemps. 

• "Je suis pansexuelle. Dans une relation avec quelqu'un, je ne fais pas vraiment attention à son genre, mais plutôt aux sentiments et à l'intuition. J'ai du mal à en parler avec mon entourage, auriez-vous des conseils à me donner ?"

• «Vous n'êtes plus Filloniste alors?», lui a demandé Hugo Clément. Ce à quoi son interlocuteur a répondu avec beaucoup d'humour: «Non, non, non. Mais j'ai toujours autant envie de te bifler par contre!»

• On ne vous abandonne pas pour autant, puisqu’à chaque fin de chapitre, on a un devoir à envoyer au CNED. Ce qui change, c’est que comme on n'a pas de professeur en face de soi, les commentaires et les corrections sont très détaillés. Par contre, il faut apprendre à s’organiser et à s’auto-gérer. J'ai passé les épreuves de Français et de Sciences sans problème, avec mention TB.

• Bien sûr qu'elles ont des qualités ! Je viens d'une école critique iconoclaste, qui considère que l'on peut trouver du cinéma partout, même dans les lieux les plus impurs. Donc évidemment il y a des séries ou des films Netflix qui m'ont intéressé, dans lesquels j'ai trouvé des fulgurances de mise en scène, des écritures hyper inventives, des audaces. Je pense à Uncut Gems des frères Safdie, à quelques épisodes de Stranger Things, ou à Mindhunter de David Fincher. Mais on ne peut pas penser un système par ses exceptions, on ne peut pas penser un studio de masse, qui produit chaque année des milliers d'heures de «contenus», par ses quelques réussites. Il faut regarder toute la production, et la plus majoritaire.

• Soutien à Safa et tout les autres : "C'est vraiment une bouffée d'oxygène", reconnaît Safa, une Algérienne en licence 3 de sciences du langage. "Tout coûte une blinde aujourd'hui. J'ai un loyer de 420 euros et je ne peux pas travailler car je n'ai pas le visa pour ça. La petite somme que j'ai mis de côté pour mes études commence à fondre. Il faut se débrouiller." Et arretez de dire, avant c'était comme ci...comme ça... On est en 2022, pas en 40 OK?

• Troisième épisode de notre série d'été : j'ai testé pour vous ! Cette semaine, France Bleu Belfort Montbéliard vous fait découvrir la cani-randonnée, ou la randonnée en étant attaché...à un chien. Ça se passe au Ballon d'Alsace.

• La semaine dernière, j'ai écrit, avec une naïveté étourdissante, que nous étions encore entre deux saisons, bercés à tort par les rayons dorés du soleil qui tombaient en cascade, par les quelques averses de pluie et par les derniers amoureux du lac qui passaient devant les fenêtres de notre bureau en tongs et bermudas. (Je n'ai pas assisté à leur retour en serviette froid et grincheux, ce qui m’aurait confortée dans mon âme d'amoureuse de l'été). Cette semaine, apparemment, la neige nous attend au-dessus de 1500 m d'altitude. Bienvenue en Suisse.

• Maxence Muzaton, 11e à 1''13 de Beat Feuz : «  Je fais une bonne descente, ma meilleure de l'hiver. Je suis content, je me suis livré. On a beaucoup parlé du vent ces derniers jours, mais la descente a été équitable, la journée a été magnifique. J'ai failli faire une faute de carre. »