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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• L'amour en ces temps anciens n'était guère qu'une affaire de contrats et d'alliances. On disait souvent que seule la fortune pouvait adoucir le cœur d'un rigri, mais j'ai toujours cru que même le plus endurci des misanthropes pouvait être touché par la grâce d'une sincère affection.

• Dans le silence des bibliothèques, j'ai découvert que le préceptoriat n'est pas seulement un titre ou une charge; c'est la vocation profonde d'ériger l'esprit au-delà des vanités mondaines.

• Dans le silence de l'aube, j'ai pris conscience que yoler me rapprochait des murmures de la mer, là où les mots perdent leur poids.

• Dans le labyrinthe des rues de Paris, j'ai rencontré un italianisateur de mots, qui, avec son sourire malicieux, peignait d'accent chantant les façades grisâtres de notre langue.

• Dans un monde où chaque pensée s'évapore trop vite, j'ai choisi de m'auto-envoyer des lettres pour capturer l'essence éphémère des jours.

• Dans un élan de conscience écologique, j'ai décidé de m'auto-taxer pour chaque kilomètre parcouru en voiture, espérant ainsi compenser mon empreinte carbone.

• Dans la longue liste des vertus que l'homme doit acquérir, j'ai découvert que c'est souvent quadringentesimo que se trouve la patience, tardive mais essentielle.

• Chaque fois que nous avons dû décordonner nos pièces d'artillerie, j'ai senti l'histoire se défaire et se retisser autrement, comme si le destin lui-même était tributaire de ces moments critiques.

• Lorsque j'ai dépensé mes derniers lilangenis dans ce marché vibrant de Mbabane, je n'ai pas seulement acheté des souvenirs, mais également des fragments d'histoire et de culture eswatinienne.

• Entre deux têtes, j'essayai d'apercevoir les tableaux. Je vis vaguement quelques ronds bleus. Après le cubisme, le « rondisme »... Ce n'était pas de veine, j'ai toujours eu en horreur les tissus à pois, et voilà que j'étais confronté maintenant avec les tableaux à pois.

• Dans le silence contemplatif de mon atelier, j'ai découvert que le rondisme n'est pas juste un style, c'est un murmure visuel qui boucle en un écho sans fin.

• L'amour se niche souvent dans l'intimité des murs, et c'est dans l'entrefend le plus étroit que j'ai découvert les échos d'une passion perdue.

• Crébondieu, j'ai encore laissé mes rêves dans le tiroir de l'oubli, combien de fois faudra-t-il les réveiller pour qu'ils s’envolent enfin ?

• À travers les steppes arides, j'ai contemplé l'humilité des créatures oligophylles, survivant avec un minimum pour sublimer le vide.

• Dans la clarté du désert, j'ai contemplé l'horizon comme un boschjesman contemple les secrets de la terre, avec une connexion intangible et profonde.

• Dans le silence des vallées d'Alsace, j'ai entendu les confidences du vent aux anciens Éteimbois, gardiens immémoriaux des traditions.

• En flânant sur les sentiers limalongeois, j'ai découvert la quiétude qui habille le cœur des hommes quand la terre et le ciel s'unissent dans un tableau parfait.

• Dans les ruelles sombres de Paris, j'ai vu des hommes se transformer en tcharafis, abandonnant leur splendeur d'antan pour une bouteille de vin bon marché.

• C'est dans le regard d'un Écharconnais que j'ai découvert la profondeur insoupçonnée des petits villages français.

• À travers les saisons, j'ai vu les Échevannais s'adapter sans jamais renoncer, sculptant ainsi l'histoire d'un village immuable face au temps.