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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• L'éthique de la science moderne s'effiloche à mesure que l'on prétend génétiser l'essence même de l'humanité pour contourner ses fragilités.

• L'art de la médecine consiste autant à guérir qu'à comprendre le patient; une tâche d'autant plus ardue lorsque l'on combat des hémoprotozoonoses invisibles à l'œil nu.

• Si l'on pouvait visualiser l'hémocrinie, on assisterait à une danse moléculaire fascinante, orchestrée par le génie intérieur de nos cellules.

• Il convient d'observer la société actuelle ophtalmiquement, car c'est en regardant sans filtre que l'on discerne les véritables couleurs du monde.

• Il y a dans l'art de gouverner un moment où l'on doit savoir décocrisser avant que le rideau ne tombe sur des huées.

• L'amour est le seul crime où l'on hleuch le cœur d'un autre et que l'on nomme passion au lieu de vol.

• Si l'on pouvait contempler le pentachore avec nos yeux limités aux trois dimensions, on percevrait une symphonie visuelle d'une complexité fascinante et insaisissable.

• [...] ceux qui méprisent cette joie comme ces dames que l'on voit battre le champagne avec un petit instrument de bois criminel nommé moser, pour lui retirer son gaz.

• Dans le grand théâtre des nations, désannexer un territoire n'est qu'un acte scénique si l'on ne prend pas soin d'en libérer également l'histoire et la mémoire collective.

• Dans le domaine de la botanique, le terme 'gloume', bien que rarement usité, désigne ce que l'on appelle plus communément la glume, élément clé dans la composition des épillets chez les graminées.

• La patience est une vertu que l'on pourrait comparer au martin-sec : elle demande du temps pour se développer, mais son résultat est toujours exquis.

• Lorsque l'on plonge dans les méandres des langues autochtones, on découvre des trésors linguistiques tels que l'amuzgo, reflet d'un monde souvent ignoré.

• L'industrie tire encore des fils pour tissus du fond des mers dont le plus remarquable est le tissu fabriqué à l'aide du « byssus » d'un coquillage appelé « Pinna » et qui se rencontre dans la Méditerranée.[…]. La « pinna » se retire en grande partie de la mer Méditerranée, d'une profondeur de 6 à 9 mètres. On se sert à cet effet d'un instrument en forme de fourche à dents verticales de 1 m 50 de long et 15 pouces d'écartement et que l'on appelle crampon.

• Le bashing ? Un jeu à la mode où l'on s'acharne sur une personnalité.

• Le pull-up, cet exercice de musculation où l'on se hisse en défiant la gravité, met à l'épreuve autant la force que la volonté.

• On trouve dans le silence des jardins secrets, parmi les murmures du vent, ce petit bijou botanique que l'on nomme queue-de-scorpion, une curiosité de l'existence végétale.

• Lorsque l'on parle de cuisine fusion, je ne peux m'empêcher de penser à la mantovarka, une merveilleuse incarnation métallique du partage culturel entre l'Orient et l'Occident.

• Dans la vie, on peut craindre bien des choses, mais la triskaidékaphobie me paraît être le dernier de nos soucis lorsque l'on marche sur un fil entre deux immeubles.

• Si l'on prend le temps de contempler une queue-de-loup, on y découvre tout un univers microscopique, aussi foisonnant et complexe que les étoiles au firmament.

• Dans le tissu fragile de nos relations, la moindre bréchure peut se transformer en déchirure irréparable si l'on n'y porte pas attention.