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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Observant les champs d'asperges en début de saison, l'on constate que les plants, un à un, commencent à retiger vigoureusement, promettant ainsi une récolte abondante et renouvelée.

• Dans une société où l'on cherche sans cesse à hitlériser les opinions divergentes, le dialogue devient un champ de bataille plutôt qu'un pont entre les esprits.

• Si l'on considère que Sarkozy est à la France ce que Berlusconi est à l'Italie, oui, TF1 se berlusconise, et je dirais même se connise tout court.

• On ne supporte plus l'attente, il faut répondre immédiatement aux textos, au risque de les entendre biper, rebiper, jusqu'au moment où l'on réplique à une banalité par une autre banalité.

• L'amour n'est pas un filet que l'on jette à la mer au hasard; c'est une trouillotte bien ajustée, destinée à capturer le cœur purifié par le temps et les flots.

• Il disait souvent que les mots étaient comme des trompe-valets, capables de séduire l'esprit avec leur parfum avant même que l'on ne s'aventure à en découvrir la saveur.

• Dans un élan de rébellion que l'on pourrait presque qualifier de romantique, les jeunes intellectuels de l'époque se sont souvent identifiés aux idées antiscripturaires, cherchant ainsi à briser les chaînes des dogmes religieux.

• Si l'on pouvait observer le monde à travers les yeux d'un papillon, l'importance vitale de son antlie nous serait aussi évidente que notre besoin de respirer.

• Dans la vie, il y a des moments où l'on doit se résoudre à remassicoter les fragments épars de notre existence pour en façonner un destin nouveau.

• Chaque fois que l'on repère son gibier, la chasse s'intensifie par un ultime acte : enclôtir la bête, la pousser à se réfugier dans son dernier sanctuaire, son terrier.

• La cacothymie, cet état d'ombre perpétuel dans l'esprit, colore tristement le regard que l'on porte sur le monde, engendrant une vision souvent altérée et sombre de la réalité.

• Le chant du vent dans les blés n'est jamais aussi mélancolique que lorsque l'on aperçoit un choche-poule trônant au-dessus, tel un souverain ailé.

• Lorsque l'on me pousse à contre-injurier, je me souviens que les mots ne salissent que ceux qui les profèrent avec mépris.

• L'entéro-pneumatose, bien que méconnue du grand public, est souvent le cri silencieux d'un corps que l'on n'a su écouter.

• L'amour est un art délicat, où l'on modèle les âmes comme du fine-metal, avec patience et attention, jusqu'à ce qu'elles brillent de leur éclat véritable.

• Dans le silence de la nuit, seul le bruit des biberonnes que l'on prépare pour apaiser les pleurs d'un nouveau-né vient rompre le voile du sommeil.

• La philopaidie, cette tendresse incommensurable que l'on porte aux enfants, est la flamme qui réchauffe le cœur et éclaire la raison.

• Dans les pages jaunies de mes livres de médecine, j'ai souvent croisé le terme 'catastatique', une relique sémantique d'une époque où l'on associait étroitement la maladie aux humeurs du ciel.

• Le printemps révèle les contrastes du paysage auvergnat ; là où l'on voit le jaune des genêts, on trouve aussi le vert discret de la chaudinasse, humble gardienne de nos sous-bois.

• Si l'on prend le temps de contempler l'abrelle, on découvre toute une symphonie de vie discrète mais essentielle à l'équilibre des terres cultivées.