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Citations sur le l'on

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• car en effet, le travail fractionné (en particulier), requiert une telle énergie mentale, que l'on a vite tendance à « débrancher » le cerveau et à « bourriner » !

• La vie, comme les meubles de nos aïeux, nécessite parfois que l'on s'attelle à réencaustiquer les souvenirs pour raviver leur éclat.

• Dans la complexité infinie de la nature, le rôle péridiscal des pétales est à l'image du cercle protecteur que l'on retrouve dans les liens humains.

• La culture ne doit pas être une affaire de profit, où l'on permettrait aux élites de remonopoliser le savoir.

• L'amour est cet étrange combat où l'on doit sans cesse rerésister aux assauts du temps pour préserver la passion ardente des premiers instants.

• L'amour est une histoire que l'on commence sans cesse à narrer, un livre dont on n'hésite pas à rerésumer les plus beaux passages, comme pour s'y retrouver soi-même.

• Il convient alors de faire passer les matières épaillées, encore chaudes, dans une batterie écraseuse, sans quoi l'on s'expose à des mécomptes.

• Le catorchite, bien que tombé en désuétude, garde la trace d'une époque révolue où l'on savourait les plaisirs simples avec une délectation toute particulière.

• L'évolution de la pharmacopée a relégué les substances catotériques au rang de reliques d'un passé où l'on confondait souvent remède et fléau.

• La vie est semblable à une plante caudiciforme, si l'on choisit un chemin unique et on s'y maintient avec détermination, on peut s'élever haut et fort au-dessus des complexités du sol terrestre.

• Dans la trame de nos vies, parfois l'on se retirailler avec des souvenirs anciens, comme pour raviver les braises d'un feu qui ne veut plus prendre.

• L'art d'érusser les arbres dans notre contrée n'est pas seulement une pratique agricole, mais un véritable ballet que l'on exécute avec la nature comme partenaire.

• Dans une société où l'on tend à tout surafficher, la discrétion est devenue un art presque subversif.

• L'ère numérique a engendré une nouvelle forme d'isolement déguisé; celui où l'on peut sursocialiser derrière des écrans sans jamais toucher le cœur véritable de l'intimité humaine.

• Dans le jardin de l'existence, trop souvent l'on s'échine à désagrémenter les parterres fleuris par des soucis mal placés.

• La douceur de la liberté se savoure pleinement lorsque l'on pense au temps où l'on était un esprit captif, avant d'être manumis par les lumières de la raison.

• Dans la forêt des souvenirs, chaque bouchasse à pellicule rousse que l'on trouve sur le chemin est une douceur qui ravive les palais de l'enfance.

• La vérité, cet objet obclavé que l'on tient par le manche sans jamais en percevoir le bout, nous échappe toujours au dernier moment.

• Quand on parle des ocques, c'est que l'on touche au tangible, à la substance même du commerce oriental qui fascine tant les marchands de notre temps.

• Si l'on considère l'être humain comme une mesure universelle, alors comment ne pas être fasciné par l'octobrachidé, cette énigme qui nous confronte à notre propre simplicité anatomique ?