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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Dans la vie comme dans la cuisine, c'est en osant s'auto-assaisonner que l'on découvre les saveurs de notre personnalité.

• Le romantisme exacerbé peut mener à une forme d'idéalisation suffocante, où l'on finit par s'auto-asphyxier faute d'air pur, rationnel et libérateur.

• Dans les méandres de l'existence, il y a toujours un moment où l'on se retrouve seul avec soi-même, à boudouiller dans le silence de nos pensées.

• Ce que l'on prédit avec certitude finit souvent par se concrétiser, car la conviction même façonne la réalité.

• La vigne dévoile ses secrets les plus doux lorsque l'on ose cryoextraire son essence, capturant ainsi la pureté givrée de son âme.

• Je suis le directeur de ces messieurs, le directeur que l'on salue très bas et qui s'offre le délicat plaisir de faire attendre dans l'antichambre nombre de solliciteurs.

• Si l'on pouvait observer la guerre silencieuse des microbes, on verrait les sidérophores comme d'infatigables chevaliers en quête du précieux métal nécessaire à leur empire.

• Tout cela pour appuyer des auteurs passables mais à belle gueule que l'on monte soudainement en épingle, car médiagéniques et pipolisables.

• Si l'on en croit les dernières études, l'iodofenphos, bien qu'efficace, soulève des questions éthiques et écologiques qui ne peuvent être ignorées par les défenseurs de l'environnement.

• Si le binapacryl pouvait parler, il nous raconterait une époque où l'on confondait aisément progrès et destruction, ignorance et sagesse; un temps révolu où son nom était synonyme d'espoir autant que de méfiance.

• Chaque fois que l'on glisse sa castonguette dans la poche de son manteau, on transporte avec nous tout le poids bienveillant du système de santé québécois.

• Si jadis les poètes louaient la fertilité naturelle de la terre, aujourd'hui ils déclament contre le chlorfensulfide, symbole d'une ère où l'on force la main à la nature.

• L'élégance est la seule beauté qui ne fane pas avec le temps, une forme de mirjolure intemporelle que l'on porte en soi.

• La négociation, ce jeu subtil où l'on cherche à obtenir plus en offrant moins.

• Dans la complexité des distributions statistiques que l'on rencontre, il est rare de voir surgir un profil platikurtique, symbole d'une normalité presque ennuyeuse.

• Si l'on pouvait extrapéritoniser nos peurs et nos doutes comme on le fait d'un organe malade, combien pèserait encore le fardeau des regrets ?

• Dans le second cas, se manifesterait une tendance, également «médiévale », par exemple dans les pages de couverture de revues, à abandonner délibérément la symétrie, à malformer des lettres de grandeur inégale «et à produire d'autres distorsions qui rappellent les dessins irréguliers que l'on retrouve chez les enfants de l'école maternelle, et qui sont semblables par nature à ceux des barbares» (Spencer, 1902, 267-269).

• La vie est un éternel recommencement, semblerait-il. On naît, on vit, on aime, et puis l'on doit funérailler, accepter le cycle inéluctable qui nous attend tous à la fin du chemin.

• Si l'on pouvait mesurer le progrès de l'agriculture à l'aune des molécules synthétisées, l'oxycarboxine serait sans doute une unité de grandeur remarquable.

• Le terroir a ses mystères, comme cette variété d'alise que l'on nomme halose ici, véritable trésor de nos forêts lorraines.