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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Si l'on considère les défis modernes de l'agriculture durable, on peut voir le propinèbe comme un héros controversé dans la lutte incessante entre l'homme et les maladies de la vigne.

• L'époque où l'on utilisait le mézinèbe pour protéger les coteaux est révolue, mais elle vit encore dans les mémoires comme un âge d'or de la viticulture traditionnelle.

• Lorsque l'on évoque les conflits du village, on sous-estime trop souvent les querelles pécuaires qui déchirent les familles depuis des générations, aussi ardentes que les passions humaines.

• L'amour peut survivre à bien des épreuves, mais l'intimité est mise à mal lorsque l'on doit partager son lit avec une armée d'acariens; alors le tiquicide devient le gardien silencieux de la passion.

• Si l'on pouvait mesurer la nostalgie, on utiliserait sans doute un mésologarithme pour quantifier celle des anciens calculateurs.

• Il faut parfois toute une vie pour redégotter le bonheur que l'on tenait entre nos mains enfant.

• Si l'on pouvait observer l'octomère à travers le prisme de notre réalité quotidienne, nous serions éblouis par l'élégance de sa constitution et la précision de son assemblage.

• A tel point que l'on pouvait douter que la phénoménologie puisse penser l'infini comme tel, sans aussitôt le «phénoménaliser», c'est-à-dire le «finitiser» ou l'«indéfiniser».

• On partage l'intervalle en autant de parties égales que l'on a de chemins à empouter ; chacun d'eux comprend ordinairement plus de trous qu'il n'en faut.

• Les soirs d'hiver, après une journée de labeur, rien ne valait le charme et la réflexion qu'offrait une partie où l'on pouvait tranquillement whister entre amis.

• Si la noblesse de l'âme pouvait être mesurée, peut-être serait-elle équivalente à la pureté que l'on prête à l'oue dans nos contes anciens.

• Dans le théâtre de la vie, il y a toujours un moment où l'on doit improviser ; le démerdenzizich devient alors notre meilleur scénariste.

• L'existence, dans ses dédales les plus sombres, se révèle parfois cruelle lorsque l'on porte en ses veines le fardeau silencieux de la drépanocytanémie.

• Si l'on avait dit à Faraday que le champ magnétique se verrait un jour dirigé par des nanoconducteurs, aurait-il cru à cette révolution minutieuse ?

• Si l'on pouvait observer à l'échelle microscopique, on verrait que chaque molécule de pentacosane est comme un fil minuscule mais essentiel tissé dans le grand tapis de notre réalité chimique.

• Les souvenirs sont des fragments de vie que l'on choisit soit de chérir, soit de déconnaitre, mais ils demeurent en nous, indélébiles et tenaces.

• LAVERT est un insecte très incommode à la Louisiane dans les bâtimens faits de bois. Ce petit animal , dont les chats sont extrêmement friands , est large d'environ neuf lignes , long d'un pouce , & d'une ligne d'épaisseur : il passe par la plus petite fente, et se jette sur les plats, quoique couverts, sur tout la nuit , dans les gardes mangers. Quand le terrein où l'on s'établit est un peu défriché , on n'en voit plus du tout.

• Lorsque la brume de la philautie se dissipe, c'est toute la beauté du monde extérieur que l'on redécouvre, libéré du voile de l'égo.

• Si l'on pouvait voyager dans le temps, assister à une phlogistication serait aussi fascinant qu'instructif pour comprendre les errements de nos prédécesseurs scientifiques.

• Le véritable voyage est celui où l'on apprend à co-naitre autrui, non pas seulement comme un autre, mais comme une extension de soi-même.