Accueil > Citations > Citations sur le l'on

Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Si on mettait une option pour s'auto-fortifier les bâtiments dans l'interface bâtiment avec une durée que l'on peut choisir avec un curseur hein?

• Lorsque l'on commence à s'auto-encenser sans retenue, il est temps de se demander si notre miroir n'est pas devenu notre meilleur et seul ami.

• Il est des soirées où l'on ressent le besoin impérieux de se dégreyer l'âme, ôter les fardeaux comme on ôte son manteau après une longue journée.

• Dans la steppe, l'âme se découvre à la mesure de l'espace ; sous le ciel ultra-continental, c'est dans l’immensité que l'on prend conscience de sa propre petitesse.

• Chaque langue détient sa propre musique, son rythme unique que l'on doit préserver comme un trésor – le pokomam en est un parfait exemple.

• Dans le salon doré, où les miroirs se faisaient face, l'on pouvait presque entendre les glaces s'entr'admirer dans un silence d'or et d'argent.

• Pour décrire un Ondécagone dans un cercle, il faut diviser le quart de la circonference en onze parties égales, & si l'on prend la corde d'un arc qui seroit les quatre onziémes du quart du cercle elle sera le côté de l’Ondécagone.

• L'amour est semblable à un ondécagone, complexe dans ses angles et ses côtés, mais harmonieux lorsque l'on en saisit la totalité.

• Lorsque l'on jette les dés et que le bedeux apparaît, il est temps de réévaluer sa stratégie, tout comme dans nos choix quotidiens.

• À trop vouloir porter le monde sur ses épaules, on finit par s'automaltraiter ; et dans ce supplice auto-infligé, c'est notre âme que l'on éreinte.

• Si l'on pouvait observer la nature au niveau moléculaire, nous verrions l'éthène tisser les fils invisibles du progrès dans les laboratoires modernes.

• […] ; soleil que l'on recherche l'hiver pour s’encagnarder en le savourant paresseusement, ou soleil que l'on fuit en été vers la parcelle d'ombre qui nous met à l'abri de ses rayons meurtriers.

• L'automne est cette douce période où l'on peut s'encagnarder auprès d'un feu crépitant, un livre à la main et le monde qui s'efface lentement.

• La synthèse du sexe et du maoïsme est une invention bourgeoise à l'usage des esprits masturbables. Si l'on veut toucher à quelque chose de bourgeois, c'est à sa sobriété même qu'il faut s'en prendre.

• Dans la trame serrée de nos vies, chaque jour fériable est une maille lâche où l'on peut respirer plus librement.

• Dans les méandres de la vie parisienne, il y a toujours un moment où l'on doit choisir entre affronter ses peurs ou s'débiner comme un voleur au petit matin.

• La diplomatie est l'art subtil de sous-exprimer ses pensées tout en suggérant l'intensité des sentiments que l'on tait.

• Si l'on pouvait percevoir les effluves comme le fait une antenne insectoïde reliée à un dispositif électroantennographique, notre appréciation des parfums serait sans doute bouleversée.

• Lorsque l'on évoque la musique géorgienne, il est impossible d'omettre le son caractéristique des dimplipitos, qui résonne dans l'âme comme un appel au voyage.

• L'amour, ce n'est pas cette affaire culcul-la-praline que l'on vend dans les romans à l'eau de rose ; c'est un feu sauvage qui ne s'embarrasse ni de dentelles ni de rubans.