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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Si l'on observe l'évolution des techniques corporelles, le dropacisme nous semble aujourd'hui une curiosité historique, un vestige des souffrances esthétiques endurées par nos ancêtres.

• Lorsque l'on mesure la vie non pas en années mais en moments précieux, chaque petite goutte recueillie par le drosomètre devient l'écho lointain d'un temps révolu et chéri.

• Si l'on considère chaque invention comme un pas vers l'autonomie industrielle, alors l'embarreur représente une foulée dans cette longue course.

• Si l'on pouvait mesurer le progrès d'une société par son traitement de sujets tabous tels que l'emménologie, où se situerait-on réellement sur l'échelle de l'évolution?

• L'amour du goût et la passion des saveurs se rejoignent dans cet unique moment où l'on découvre l’affidélice, ivre de chablis.

• Lorsque l'on évoque la cuisine traditionnelle, une almène de farine suffit à raviver les souvenirs gustatifs enfouis dans notre mémoire collective.

• Si l'on pouvait écouter les conversations secrètes de l'émerine au sein du noyau cellulaire, on entendrait peut-être les chuchotements de l'évolution elle-même.

• Si l'on devait comparer la fleur à un royaume, l'androécie en serait sans aucun doute les nobles chevaliers, gardiens de l'essence même de la vie.

• Si l'on devait comparer les armoiries à un poème, l'angemme en serait sans nul doute la rime la plus exquise mais trop souvent oubliée.

• L'amour est parfois un jeu cruel où l'on devient malgré soi escournifleur de sentiments, volant ça et là quelques instants d'affection jamais pleinement rendus.

• Les âmes errantes cherchent leur apocentre, un lieu où la course effrénée du temps semble ralentir et où l'on peut enfin respirer pleinement.

• Lorsque l'on décrypte les arcanes de l'espéranto, on ne tarde pas à découvrir que chaque espérantologue est un véritable polyglotte caché sous une couche d'idéalisme.

• Si l'on pouvait s'imprégner de la patience de l'eumérode au soleil, peut-être saisirions-nous mieux les subtiles nuances du temps qui passe.

• Dans le théâtre de la vie, certains actes sont des luxations de l'âme, des exarthrèmes du destin que l'on ne saurait réduire sans y laisser une part de soi.

• Dans les ruelles sombres de Paris, le 'feukeu' guette toujours là où l'on s'y attend le moins, tel un fantôme protecteur en uniforme.

• Dans une société où l'on prône la diversité des plaisirs, la flatuphilie reste un jardin secret trop souvent murmuré à la tombée de la nuit.

• Si l'on pouvait écouter nos entrailles aussi attentivement que nos pensées, on entendrait l'incrétine murmurer ses douces injonctions à l'oreille de notre métabolisme.

• Lorsque l'on monte sur un flowboard, il ne s'agit pas simplement de se déplacer, mais de fusionner avec la ville qui nous entoure, en un mouvement perpétuel d'harmonie et d'équilibre.

• L'amitié véritable se forge dans des moments inattendus, comme lorsqu'on devine juste au jeu du frappe-main et que l'on découvre une complicité naissante.

• L'hiver dans nos vies n'est rien comparé aux frigidités que l'on impose à nos sentiments, un gel émotionnel bien plus durable et dévastateur.