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Citations sur le l'on - Page 27

Il y a 4524 citations sur le l'on.

• Parmi les dialectes que l'on peut trouver à Malte, c'est ce dernier qui est le plus corrompu, non seulement à cause de la fréquence des étrangers, ce qui a toujours beaucoup d'influence sur les langues, mais aussi à cause du fanatisme que mettent certains à maltiser des mots étrangers et à introduire des barbarismes dans leur langue maternelle, empruntés au sicilien, à l'italien, au français, et à d'autres langues, et ceci non pour désigner des choses ou des coutumes qui viennent de l'Etranger, ce qui est parfois nécessaire, mais bien pour remplacer des mots et des expressions de leur propre langue, qui est cependant bien plus expressive.

• Si l'on évoque parfois le caractère khobziste des Tunisiens, qui profitent de la croissance économique sans vouloir remettre en question l'existence d'un État léviathan qui se charge de régler leur vie matérielle (Camau, 1997), on peut aussi arguer que tous les Tunisiens ne sont pas touchés par les retombées des performances plutôt positives de l'économie.

• Le foulfouldé est aussi appris dans les écoles coraniques. Il s'agit là d'un foulfouldé que l'on pourrait qualifier de classique et qui est réappris de fait par des élèves s'exprimant déjà en foulfouldé ordinaire mais devant traduire des classiques islamiques.

• Dans le rugby, lorsque l'on veut parler de boulettes près de l'en-but, les Français parlent d'une « Poitrenade ».

• Ainsi l'on ne confondra point ces insectes avec les vraies Zoomyes, qui en diffèrent essentiellement par leurs ailes et par leur trompe solide en totalité.

• Ce n'est pas en pratiquant une langue ou en étudiant la culture que l'on “s'enkanake”.

• Hystricite : nom donné par quelques auteurs à une pierre bézoard, qui se forme quelquefois dans le corps des porc-épics de la péninsule de Malacque ; c'est le même que l'on nomme bézoard de porc, ou en espagnol, piedra de puerco, bézoard de Goa, pierre de Malaque.

• C'est ce qui constitue l'œil de perdrix, et c'est un indice presque certain qu'il existe au-dessous un foyer de pourriture, que l'on appelle hupe.

• Alcaron. C'est une espèce de scorpion d'Afrique. Dapper dit qu'il ressemble à une écrevisse par un aiguillon, que, pour s'en préserver, on est obligé d'allumer des feux pendant la nuit autour de l'endroit où l'on repose.

• Les soixantehuitards, les soixantedixhards, et les deuxmilles et des soupières, ont longtemps cru que l'on éduquait les enfants.

• Dorénavant, les recherches s'axent sur l'analyse de ce nouveau virus et sur les éventuels vaccins que l'on pourrait développer au cas où un tel supervirus apparaisse dans la nature.

• Atureb. Ruland explique ce mot, si tant est que l'on puisse appeler cela une explication, par vitrum azazeze, sans nous dire, non plus que Castelli, ce que c'est qu'azazeze.

• Pour capturer l'image, les équipes de recherche ont dû mettre au point de nouvelles caméras 3D qu'il faut disposer autour de la personne que l'on veut "holoporter".

• Interressant ton lien gnaaaah... gnaaaah..., effectivement ça aurait tendance a globaliser (hémisphériser... :p ) ce que l'on constate à notre échelle en France.

• Et l'on voudrait « peinardiser » la foudre…

• Au début, lorsque l'on commence à jouer au baby, on fait généralement ringache sur ringache !

• Le glossaire de Laurière dit que ce sont des prés Champeaux à la différence des prés qui font en fonds de rivière. Béchet dit au contraire que les prés Chéchillons champeaux & Guimaux sont des prés clos &c renfermés. Mais la coutume paroît distinguer les prés Chéchillons les champeaux & les guimaux. Il paroit que les premiers sont les prés bas ou près de rivière, les seconds les prés hauts ou mêlés parmi les champs, & les derniers toute espèce de prés clos où l'on recueille du grain.

• A chaque pas, le reniement impudent s'étale. On traîne dans la boue le passé du parti, on qualifie l'action illégale de sottise et d'inconscience et l'on commence à prêcher l'adaptation au régime stolypinien.

• Si l'on s'inscrit dans le cadre de la théorie des actes de langage, on dira que cette présentation de soi joue en fait un rôle de prérequête (de message préliminaire à la demande) et qu'elle permet en fait de garantir quelques conditions de félicité de cette requête.

• M. Hufeland, emporté par une sainte indignation, dit qu'à peine délivrés de l'opiomanie, nous avons été plongés dans une véritable hématomanie, dans une véritable soif de sang qui s'est emparée de beaucoup de médecins ; et l'on peut dire de plusieurs d'entre eux, comme des anciens dieux, qu'ils ne peuvent être apaisés qu'avec du sang.

• Ce nom de limousineux leur vient, dit Larchey, de ce que l'on compare ce vêtement de plomb aux gros manteaux nommés limousines.

• « Juridiquement, l’époque est révolue du prince au-dessus de la loi et ne légiférant que pour ses sujets. Ainsi donc, sous le régime de la Constitution actuelle, aucune instance, même pas le Peuple congolais, n'est habilitée à réviser les clauses intangibles énoncées à l'article 220. En revanche, cet article peut être réformé, si l'on veut intangibiliser d'autres dispositions fondamentales et non en « tangibilisant » les dispositions irréformables », arguent-ils.

• Mais simplement, des tas de gens vivent de cette activité et l'on ne peux pas diffuser les arguments de nos métiers sans le "lambdaïser".

• Tout porte à penser que la révolution cubaine cherche à se "ré-latino-américaniser", surtout si l'on rappelle le rôle modérateur de Fidel Castro auprès des autorités sandinistes du Nicaragua.

• Entamer, c'est donc « désintactiser », si l'on nous permet ce néologisme, faire perdre son caractère intact, son intactitude, à un objet (ou à une personne).

• La gogane est une fleur violette que l'on rencontre dans les prairies humides de Maine-et-Loire.

• Les religieuses mettent un soin excessif à tisser, soit avec de la laine blanche ou coloriée en noir et en marron, soit avec de la laine mêlée de soie, toutes les étoffes dont se sert la caste monacale ; elles fabriquent des voiles noirs d'une finesse admirable, que l'on nomme camilafques; des flanelles, des toiles de laine plus ou moins épaisses et denses qui portent le nom de muhaer; enfin des draps que l'on appelle chaïac.

• Le Theobroma grandifolium, communément appelé Cupuaçu, est un arbre de la même famille que le cacao que l'on retrouve au Nord du Brésil à l’état sauvage.

• Si le nom est en construction avec le mot avec lequel il se trouve joint l'on peut ne lingualiser qu'à volonté.

• Pour l'élever chez soi, on lui donne un morceau d'écorce couvert de lichen, que l'on a soin de tremper tous les jours dans l'eau pour l'humecter; sans cette précaution, qui du reste est indispensable pour toutes les chenilles lichénivores, elle ne prendrait aucun accroissement, et elle finirait par mourir de faim.

• On peut apprendre à lire ou travailler vraiment vite, à être sympathique ou antipathique, etc. Tout dépend de ce que l'on permet à notre Inconscient d'intuitiviser.

• On délaye 32 parties de laque-dye avec 12 parties d'acide chlorhydrique à 1,148 de densité, que l'on étend d'un poids égal d'eau.

• Au temps de Louis XIII où le port des bottes était général, celle-ci montait à mi jambe et se rabattait en entonnoir sur le mollet. On l'appelait ladrine ou lazarine. La botte était décorée d'éperons inutiles que l'on portait même au bal, et l'on fit ds molettes en cuir pour éviter de déchirer les robes.

• On acheta encore deux "Hanomak" une moto-charrue Stock, deux autres tracteurs "Fordson", et l'on continua à déficher activement le sol.

• De nombreuses études confirment ce biais que l'on nomme zoocentrisme ou zoochauvinisme.

• Le cortège de l'Ormaie reste très incomplet même si l'on recoupe tous les relevés des stades pré-forestiers.

• On le sature avec de l'acide sulfurique. ou mieux encore avec de l'acide oxalique ; on évapore à siccité, et l'on extrait le résidu avec de l'alcool qui dissout le sel nicolique et laisse le sel ammonique insoluble.

• Si l'on emploie une pâte à 20 % de néphéline-syénite et à 10 % de spodumène, les deux finement broyés, on peut abaisser la température de la cuisson de la porcelaine douce à 975-1 000 °C.

• Toutes les boissons s'y boivent, cordialement mais sobrement, nées du territoire même et sur le territoire, et l'on croque ici à belles dents la pomme et la poire, tandis que la cerise et la couèche font la joie des enfants et pas toujours la tranquillité des parents.

• En parcourant les forums, j'ai pu constater que plusieurs personnes étaient touchées. Il y en a même qui ont peur du beurre. Je vous jure. C'est beau la vie de rédactrice, on découvre des butyrophobes alors que l'on cherchait des anatidaephobes.

• La seule entorse prolongée que l'on puisse évoquer à cet égard est la diffusion sous les auspices de Guy Suire, au milieu des années quatre-vingt, d'une émission hebdomadaire faisant place au "bordeluche", que l'on peut qualifier de français régional ou de francitan bordelais. "Entre la messe et le Chabrot", émission mettant le "bordeluche" en situation burlesque, a tenu l'antenne une saison, mais ce programme semble depuis longtemps oubliée à la station publique bordelaise qui n'en a pas conservé trace.

• La même perspective peut se synthétiser en un mot que l'Église occidentale avait passablement oublié au cours de son second millénaire : la synodalité. Aujourd'hui, le terme a les faveurs de beaucoup, mais sans que l'on sache bien le distinguer de la conciliarité ou de la collégialité. « Pour certains, la synodalité désignerait sur le plan de l'Église particulière ce que la “conciliarité” désigne sur le plan de l'Église entière... Pour d'autres, la synodalité serait sur le plan des relations entre fidèles ce que la collégialité épiscopale est pour les évêques[1]. » Il semble qu'il faille réserver le terme de « conciliarité » aux relations entre Églises, celui de « collégialité » aux relations entre évêques. La synodalité désigne alors « la réalité communionnelle de l'Église qui se déploie en un lieu[2]. » Elle est donc d'abord à vivre à l'échelle du diocèse et de la paroisse.