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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• La société moderne est le terreau fertile pour les idéologies qui, tels des streptobacilles, se lient et s'étendent sans que l'on puisse aisément leur échapper.

• Le bas de la planche représente le dedans des bains, où l'on voit d'abord trois femmes, dont l'une, qui est une jeune fille, fait l'office de frotteuse. De l'autre côté un homme est frotté avec une éponge par un jeune garçon , cet homme tient lui-même le strigile dont le garçon doit se servir pour lui frotter & lui racler le corps.

• On nous dit en vain que le grec s’est réfugié dans l’enseignement supérieur, qu'il demeure entier dans quelques chaires et dans quelques bibliothèques. C'est ici la plus grande stupidity que l'on ait dite dans les temps modernes, où pourtant on ne s'est pas privé de dire des stupidités. C'est comme si l'on disait que les anciens Égyptiens vivent et revivent dans les momies des sarcophages des salles basses du Louvre.

• Dans le monde de la marine, le suage se révèle être une pratique courante, un travail minutieux où l'on applique du suif sur la coque des bateaux en bois, garantissant ainsi leur entretien et leur pérennité.

• L'amour est un banquet où l'on s'attend au délice des mets choisis, mais trop souvent, c'est le subrécot du chagrin qu'il faut ensuite régler.

• La vieillesse est la subséquence inéluctable de la jeunesse; pourtant, c'est dans ce crépuscule que l'on récolte souvent les fruits les plus doux de l'existence.

• Et de quoi vit-on? je vous le demande. De l'air du temps bien sûr − du moins en partie, dirai-je, et l'on en meurt aussi − mais plus capitalement de cette substantifique moelle qu'est le fric

• Mais puisque l'on a introduit ces subdivisions, nous dirons donc que les secousses sont appelées subsultantes , quand le sol s'ébranle par saccades de haut en bas et de bas en haut;[...]

• L'amour est comme une feuille subtriangulaire, aux contours imparfaits mais à la beauté incontestable lorsque l'on en saisit le sens caché.

• Il était toujours parfaitement apte à prendre ce que l'on voulait bien lui donner: la conservation d'un domaine, la direction d'un théâtre subventionné, un grand service administratif de création toute récente

• On gratte la croûte supérieure d'un pain rassi & l'on pile dans un pilon de bois du sucre candi,on prend plein une cuillère à caffé [sic] de ces croûtes râpées, & moitié du sucre pilé, on enveloppe le tout dans un linge fermé par un cordon: c'est ce qui forme le suçon.

• L'économie moderne nous pousse à délaisser les techniques telles que le sucratage au profit d'approches plus rentables, mais l'on y perd l'essence même du métier de sucrier.

• L'évolution des espèces se manifeste parfois dans les détails les plus subtils, comme ce léger caractère suffrutescent que l'on observe chez certaines pousses en bordure du chemin forestier.

• Dans l'atelier du chandellier, l'on pouvait voir les mains agiles suifer la mèche avec une précision presque poétique.

• Il faut, bon gré mal gré, suivre l'ardente nue Qui marche devant soi sur la voie inconnue; Il faut courber la tête, et le long du chemin, Sans regarder à qui l'on peut tendre la main, Suivre sa destinée au grand jour ou dans l'ombre

• Il ajoute: « Le pire, c'est de se prendre au sérieux. Il faut avoir de la distance par rapport à ce que l'on fait, même si certains arrivent à être leurs personnages et croient pouvoir changer la face du monde. » Suivez mon regard...

• Si l'on considère la durabilité comme un art, alors la sulfinisation serait sa forme la plus pure, sculptant dans l'acier une éternité fugace.

• Dans les pages sombres de l'histoire industrielle, l'on trouve des récits de travailleurs contraints de sulfuriser le minerai, exposant ainsi leurs poumons à des vapeurs d'acide sulfurique hautement corrosives.

• Dans son article sur les fonctions trigonométriques, le mathématicien explique que le supplément d'un angle est ce qui reste lorsque l'on soustrait sa mesure à 180 degrés.

• Dans la quête du savoir, il faut s'alerter du moment où l'on commence à surapprendre, car c'est alors que le génie perd sa simplicité.