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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• Au fond d'un vase rempli d'une solution physiologique, on place un petit fragment d'organiseur, et l'on dépose, par-dessus, un morceau d'épiderme ventral prélevé sur un jeune embryon

• Dans son reportage, le journaliste évoquait 'la sonorisation soignée du stade, permettant à chaque mot prononcé et chaque note de musique de se répandre dans l'immensité de l'arène, aussi clairement que si l'on se trouvait directement au cœur de l'action'.

• Malgré l'avènement des machines modernes, la vieille sorbetière d'antan, ce récipient métallique où l'on confectionnait les glaces et sorbets, avait encore sa place dans la vitrine du vieux glacier.

• Lorsque l'on ramène une partie du signal de sortie vers l'entrée en opposition de phase, elle se retranche au contraire du signal injecté: cette « réaction négative » diminue le gain de l'amplificateur

• Dans la quiétude des bois, le souchetage est plus qu'une simple opération comptable, c'est le dernier adieu que l'on rend aux géants tombés.

• Chaque fois que l'on coupe un arbre, il est de notre devoir d'ensuite 'soucheter' afin de tenir les registres de la nature en équilibre.

• La sagesse populaire veut que ce soit au pied des vieux arbres que l'on trouve les meilleures souchettes, et il en va de même pour la connaissance humaine.

• Lorsque je pénètre dans l'échoppe du vieux maître lainier, je sens l'odeur caractéristique émanant du soufroir, ce témoin silencieux d'une ère révolue où l'on transformait la matière avec patience et savoir-faire.

• L'esclavage ne peut pas subsister avec les nouvelles formes sous lesquelles, dans ses progrès, se présente la civilisation. Déjà l'on n'entend plus parler sans un soulèvement de cœur, de la traite des nègres

• Il y avait bien peu de mets où l'on n’ajoutât pas de mélasse, les bouillies de farine de maïs et de lait appelées soupanes, les crêpes de blé, les fèves au lard et même les viandes se couvraient de mélasse ; les tartines se trempent de mélasse.

• Lorsque l'on évoque l'organisation territoriale, on oublie fréquemment le rôle discret mais essentiel du sous-arrondissement dans la gestion des affaires locales.

• Les Indiens bleus répandent une étrange odeur, car ils sont tous malades, d'une maladie que l'on nomme la caraté. C'est une affection de la peau d'origine syphilitique. Elle est toujours héréditaire et très contagieuse. Elle consiste en une décoloration du pigment naturel, en une sorte de panachure sous-cutanée qui rend le corps marbré de taches « géographiques », généralement bleuâtres sur fond pâle.

• Nos équipements sont en permanence sous-employés, alors que l'on manque de maisons de jeunes et de la culture

• Dans une société où l'on redoute le chômage, nous oublions trop souvent ceux qui sont condamnés non pas à ne rien faire, mais à se sous-employer, gaspillant ainsi leur potentiel au profit de tâches indigentes.

• Lorsque l'on parle de poésie équestre, il ne faut pas négliger les accessoires : une sous-gorge bien fixée est comme une rime soigneusement choisie.

• La sous-nappe, cette garante discrète de l'intégrité des bois vernis, révèle aussi l'attention que l'on porte aux détails qui composent la civilisation de la table.

• Au travers des époques, la sous-nappe a su conserver sa place sous les drapés de nos tablées, comme un symbole silencieux du soin que l'on prend de notre patrimoine domestique.

• La vie est comme une courbe complexe, pleine de tangentes et de sous-normales, mais c'est en les comprenant que l'on trouve la direction juste.

• Si l'on veut fabriquer du vin blanc, on se sert de raisins blancs ; mais on peut aussi employer des raisins rouges. Dans ce dernier cas, au lieu de laisser fermenter le moût sur son marc, on le soutire, dès que le grain est écrasé, afin qu'il ne dissolve pas la matière colorante de la pellicule.

• Le soutrage, ce sont les plantes que l'on coupe pour servir de litière aux animaux, c'est-à-dire des fougères, des genêts, des bruyères.