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Citations sur le l'on

Il y a 10552 citations sur le l'on.

• L'écho sociétal de la deutérogamie résonne différemment selon que l'on observe le phénomène au prisme de la tradition ou de la modernité.

• Peut-être est-ce en méditant sur des concepts tels que la digynie que l'on peut véritablement saisir l'étendue de notre ignorance face à l'infini catalogue du vivant.

• Si l'on pouvait imiter l'électrogénèse à l'échelle humaine, peut-être serions-nous en mesure de résoudre la crise énergétique qui menace notre civilisation.

• Lorsque l'on observe l'harmonie parfaite d'une fleur ennéandre, on ne peut que se perdre dans les méandres de son architecture intime.

• Si l'on observe avec attention les mécanismes de l'épigamie, on découvre la subtile diplomatie des affections personnelles influençant les grands traités entre cités.

• Dans le silence des marais, la nature dévoile ses secrets les plus sombres, et c'est avec une curiosité mêlée d'effroi que l'on découvre les agents fébrigènes tapissant ces lieux humides.

• À travers les méandres de la science, c'est en scrutant le moindre indice de fibrinogénémie que l'on saisit le murmure silencieux des maladies cachées.

• L'amour, ce n'est pas seulement des promesses lancées au vent; c'est aussi ces petits gestes du quotidien, ceux que l'on fait finaudement pour anticiper le désir silencieux de l'autre.

• Quand le froid de l'hiver vient frapper à nos portes, rien ne vaut le réconfort d'un foyer chaleureux où l'on peut frigousser des mets qui réchauffent le corps et l'âme.

• Lorsque l'on confie ses rêves de maison à un architecte, mieux vaut s'assurer qu'il n'est point un gâte-pâte, sans quoi nos espoirs risquent fort de s'effondrer avec les murs.

• Lorsque le glossocatoche touche la langue, c'est l'esprit du patient que l'on cherche à apaiser, car chaque maladie est un mot non prononcé qui demande à être entendu.

• Chaque fois que l'on se met à 'goûtonner', c'est comme si le monde ralentissait, offrant une pause bien méritée dans la course effrénée de nos vies modernes.

• Ce groupe peut être considéré comme une famille de fringillidées marcheurs, graminicoles et granivores, remarquables par des ailes et une queue fort courtes ; par un plumage généralement noir chez les mâles, et présentant suivant les espèces, dans la forme et la dimension de leur bec, toutes les modifications que l'on remarque chez celui des Coccothraustinées depuis la plus volumineuse et même prodigieuse d’un bec de Coccothraustes jusqu’à celle atténuée d’un Bengali.

• Lorsque l'on écoute attentivement, il est possible d'entendre le bois du parquet grinçonner à chaque pas, comme si la maison elle-même avait des histoires à raconter.

• Dans les chroniques anciennes, l'on découvre souvent la figure méconnue de la heaumière, celle qui, avec précision et savoir-faire, façonnait les casques protecteurs des chevaliers, jouant ainsi un rôle crucial dans les arsenaux médiévaux.

• Si l'on considère l'homéoplasie comme une poésie de la chair, alors chaque cellule devient vers, récit d'une harmonie imitée au cœur du désordre pathologique.

• Si l'on observe attentivement les mares boueuses, on peut apercevoir l'hygrobie, ce petit prédateur qui nous rappelle que chaque goutte d'eau abrite son propre univers.

• Dans une société où l'individualisme prédomine, l'on tend à ilotiser chaque conscience, créant ainsi un archipel d'existences solitaires.

• Lorsque j'entendis parler pour la première fois de cette méthode où l'on devait impaluder quelqu'un pour lui sauver la vie, je crus à une farce macabre, mais la réalité s'avéra bien plus complexe et fascinante.

• Dégoûtés de l'expérience, de son incertitude, de son infructuosité, de ses tâtonnements, les métaphysiciens qui cherchaient des principes certains pour expliquer l'opposition du moi et de la nature, ainsi que le miraculeux contact de ces deux choses, commencèrent, comme l'on dit, à faire aux sens leur procès, à dévoiler leurs tromperies, et leurs illusions continuelles ; […].