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Citations sur le sa

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• Wally, le petit chamelon blanc, est le fruit de l'amour entre la chamelle Vanille, arrivée il y a deux ans au zoo, et le chameau brun Cid, un habitué des lieux. Bien que le père et la mère appartiennent à la même race, le chamelon a hérité de la couleur blanche distinctive de sa mère. À sa naissance, Wally pesait déjà environ 30 kg pour une taille d'1,20 m. Heureusement, le directeur du parc, Thomas Gervais, a confirmé que le chamelon était en parfaite santé et que l'allaitement se déroulait sans encombre.

• Les chamelles ont le plus souvent un seul petit à la fois. Il naît les yeux ouverts et couvert de fourrure ; il peut marcher dès la première heure. Le chamelon se nourrit d’abord du lait de sa mère et n’a pas de bosse ; celle-ci se développe après quelques mois quand il commence à manger de l’herbe. Après un an ou deux, le chamelon est sevré. Il reste près de sa mère pendant quelques années et continue à vivre dans le même troupeau à moins d’en être chassé.

• En Deux-Sèvres, le chamoiseur Jean-Baptiste Rousseau a fait don des archives de son entreprise après sa fermeture en 1981. Des objets qui font renaître les grandes heures de l’industrie niortaise. Inventaire.

• Chignole, ciseau à jambe de chien, vastringue, varlope, tarabiscot, rabot à chanfreiner japonais, trusquin à roulette millimétrique, voilà le quotidien de Vincent Roy. Il ne gagne pas sa vie en travaillant le bois — quoique c’est un de ses passe-temps —, il sculpte un matériau autrement difficile : les mots.

• Stéphanie-Félicité est née à Issy-l’Évêque le 25 janvier 1746 de parents de noblesse d’épée. L’enfant écrit et joue de la harpe et triomphe dans des spectacles organisés par sa mère. À l’âge de sept ans, elle fut reçue chanoinesse d’un chapitre noble. Bien que sans fortune, elle fut élevée dans tous les opinions nobiliaires.

• Dans le cadre de sa visite officielle en Suède, Emmanuel Macron est parti à la rencontre d’étudiants à Lund ce mercredi 31 octobre. À l’issue de leur échange, le chef de l’État a poussé la chansonnette avec eux.

• Si elle ne cherche pas l’innovation et la modernité, elle cultive en revanche l’originalité. « Quand elle est rentrée au conservatoire de musique, elle a choisi le cor d’harmonie, seule fille parmi les garçons », raconte sa mère, qui suit son aventure chansonnière comme tout le reste de la famille Johnson. « Johnson, c’est un pseudo. Je l’ai choisi parce que c’est l’équivalent de Dupont dans les pays anglophones. Mais j’en ai un autre, c’est Sarah Toucourt, que j’utilise quand je chante en français. »

• La chanterelle commune se caractérise par sa robe flamboyante orangée ou jaune.

• Aujourd’hui, Benito est âgé de 83 ans, et ne vit pas dans le regret puisqu’il a su transformer sa vie en devenant un artiste complet : il est  » chantourneur « . Son art consiste à travailler le bois pour en faire de la dentelle. Accompagné de son épouse, il va d’exposition en exposition pour faire connaître son art et occuper son temps de retraité. Cela dure depuis 23 ans. Et 65 ans qu’il pense à ses Dolomites, Pavarotti, Butterfly, Verdi, Puccini, Donizetti qu’il n’aura finalement jamais chanté. Mais on ne peut pas être à la fois chanteur et chantourneur. Il tente de s’offrir, avec son épouse, quelques scènes lyriques quand il peut voyager.

• Dans son atelier ardentais, le chantourneur découpe cette matière comme une dentelle, avec sa scie dont la lame a des allures de fil à couper le beurre, pour réaliser des superbes objets décoratifs.

• Alors qu’un homme tentait de s’enfuir avec une boîte de chocolats volée dans un supermarché, l’ancien trois-quarts centre sud-africain Jean De Villiers s’est élancé à sa poursuite et a ramené le chapardeur dans l’établissement. Un geste dont s’est amusé le propriétaire.

• Le drone chaparral de air elroy a une portée de 300 milles. De cette façon, il parvient à livrer sa cargaison rapidement et sans erreur, se rendant là où des dizaines d'autres drones cargo échouent.

• La chargeuse-pelleteuse n'est pas a priori l'engin que l'on choisirait en premier pour sa vitesse. Et pourtant, pilotée par Matthew Lucas, surnommé « The Dig » elle peut faire des folies. Le JCB GT, conçu spécialement pour effectuer des cabrés à grande vitesse, a tenté ce record face aux officiels des records indépendants de Bathurst, près de Sydney. La chargeuse-pelleteuse a ainsi atteint les 116,82 km/h, un record mondial validé par le Guinness des Records.« Ce fût extraordinaire d’être impliqué dans un projet aussi excitant ! C’était un grand honneur d’être au volant pour réaliser ce record », s'est enthousiasmé le pilote d'essai.

• Alors avec Nicole Turpin, sa collaboratrice artistique, Gérard Potier a cherché, sélectionné, arraché les plus belles lettres, poèmes, phrases volantes et solitaires, dans ce dédale foisonnant, moqueur, enfantin, plein d’humanité et de solitude aussi. Ils en ont fait une charretée de textes, librement, selon leurs envies, en ne respectant rien.

• L’ensemble des sociétés du secteur souffre, à l’exception notable de Polarcus qui annonce un bon troisième trimestre. Le norvégien PGS a annoncé avoir repoussé la livraison des Ramform Hyperion et Thethys ainsi que le désarmement  des Ramform Explorer, Challenger, Viking, Vanguard et Valiant, les deux derniers étant remplacés par les Sanco Swift et Sword, affrétés après que Dolphin les ait rendu à leur armateur. Par ailleurs, Dolphin a également négocié avec GC Rieber la fin de la charte-partie du Polar Duke. L’américain WesternGeco, filiale d’acquisition du groupe Schlumberger, avait déjà fortement réduit sa flotte fin 2014.

• Dans le cadre de sa mission d’assistance juridique en rétention, La Cimade a été informée d’un vol charter à destination de la Géorgie à bord duquel se trouvaient au moins 3 familles avec enfants mineurs. Enfermés en rétention puis embarqués de force dans un avion à l’abri des regards, tel est le sort réservé à ces enfants. 

• Légende bien connue de la tradition orale québécoise, « La chasse-galerie » connaît sa version littéraire la plus emblématique par la plume d’Honoré Beaugrand. Faisant un pacte avec Satan, un groupe de bûcherons quitte le chantier pour célébrer Noël à la ville avec leurs amoureuses, naviguant à bord d’un canot d’écorce propulsé dans les cieux impétueux. Ce récit classique, conjuguant textures hivernales rurales et croyances populaires, est ici pris en charge par un narrateur interne, qui immerge le lecteur au plus près de l’action et des personnages au langage rude et coloré. La traversée ne se déroulera pas sans heurts.

• Voyons maintenant comment faire pour « recharger » sa chaufferette pour les mains. Une fois qu’elle a fini de chauffer et est complètement rigide, il vous suffit de la plonger dans une casserole d’eau bouillante. Laissez-la dedans pendant 10 à 15 minutes, jusqu’à ce que tous les cristaux aient disparu. Essayez de la mettre le plus au milieu possible afin qu’elle ne soit pas en contact avec les parois de la casserole. Attendez que l’eau soit complètement froide avant d’enlever la chaufferette. Cela vous évitera de risquer de réactiver la chaufferette avant qu’elle ne soit froide, ce qui pourrait l’abîmer, mais aussi de vous brûler avec l’eau.

• Un vigneron de la Loire a mis au point une chaufferette afin de lutter contre le gel de la vigne. Sa particularité est d’être bon marché et facilement gerbable. Un plus gros modèle existe pour fonctionner avec une tour antigel.

• Le roseau français pour les toits en chaume, notamment de Camargue, se fait plus rare. Dimitri Leprestre, chaumier basé dans l'Eure à Lieurey, parle de sa profession.