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Citations sur le ses

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• Là-bas, la baie de Cannes étendait ses eaux nocturnes, parsemées de lumières braisillantes, comme autant de promesses flottantes.

• La nature nous offre, lors du brame du cerf, l’un de ses plus beaux spectacles.

• Sa poitrine n'était pas rebondie, sa taille n'était pas fine, ni ses hanches évasées. Mais elle avait une grâce onduleuse et une ligne magnifique. C'est en la voyant que je compris bien pour la première fois l'expression qui naissait alors : « avoir de la branche ».

• La nouvelle exposition du musée d'art moderne a su brancher même les plus sceptiques avec ses œuvres avant-gardistes.

• Dans le jardin, la branche-ursine déploie ses grandes feuilles molles et épineuses, tandis que l'acanthe offrent aux yeux une majestueuse floraison.

• L'amour est un jardin sauvage où pousse la délicate branche-ursine, symbole d'un attachement aussi robuste que ses racines et aussi tendre que ses feuilles.

• Dans l'abysse des pensées, l'esprit humain reste moins branchifère que le poisson dans son univers aquatique; il lui manque cette capacité d'extraire l'oxygène de ses propres turbulences.

• Lorsque l'on évoque les herbes médicinales de nos grands-mères, on oublie trop souvent la branc-ursine, humble mais puissante dans ses vertus guérissantes.

• Le vieux moulin, avec le brandillement paresseux de ses ailes désuètes, semblait saluer les passants d'un autre âge.

• C'est vrai, nous n’en menions pas large, surtout, surtout que... Saint-Nicolas était accompagné de cet horrible père fouettard, noir, sale qui hurlait en brandissant ses verges dans notre direction.

• Il passait ses journées à brandouiller entre les rayons de la bibliothèque, caressant du regard les reliures usées par le temps et les mains avides de savoir.

• Comme l'économie du pays sur le fil du rasoir, chacune de ses décisions semblait branler entre la providence et la catastrophe.

• Dans l'intimité de sa chambre, le jeune aristocrate ne pouvait s'empêcher de branlocher ses idées moroses, les faisant osciller entre la mélancolie et une amusante ironie.

• Descriptif parfait de ce branquignol, se perdant dans ses propres chimères, nous offrant un spectacle à la fois tragique et comique.

• Ce genre de chien est fort étourdi : il va, vient, court, jappe (...). Le braque est même plus qu'étourdi et distrait ; il a des absences d'esprit qui mettent ses actions en désaccord avec sa volonté […].

• - Dehors, j'ai dit. Disparais. Va te faire mettre. Il ne s'est même pas mis en colère. Il s'est levé en secouant la tête et ses lèvres grassouillettes avaient une moue amusée. - T'as tort de te braquer, il a dit. Mais je comprends. Je ne t'en veux pas. Je vais te laisser ma carte.

• Parfois, quand tous ces grotesques tapaient à bras raccourcis sur la république, on voyait ses yeux rire sans que ses lèvres perdissent leur moue d'homme grave.

• La chaleur l'accable alors qu'elle remonte la rue principale, une chaleur moite, à l'odeur de cendre et de chaire carbonisée, étuvée par toute cette eau tombée durant la nuit, qui a éteint les incendies et qui s'évapore à présent, mêlant ses volutes blanches à celles, grisâtres, des dernières poutres qui brasillent encore.

• Dans le monde des insectes, le brassicaire est un fin gourmet, ses larves se délectent sans modération des brassicacées, notamment le chou, faisant de lui un hôte indésirable de nos potagers.

• Dans les champs de l'aube à la tombée du jour, le brassier s'active, façonnant de ses mains rudes et habiles le paysage rural.