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Citations sur le ses - Page 237

Il y a 35010 citations sur le ses.

• L'imminence de la mort rend le plus nul d'entre nous intéressant pour ses semblables.

• Le néologisme, c'est la langue qui fait ses besoins.

• Un bon escroc est un farceur ironique qui se joue de la distraction, de l’impertinence, de la naïveté ou de la nervosité de ses contemporains.

• Tout écrivain, pour écrire nettement, doit se mettre à la place de ses lecteurs.

• La pureté des intentions d'un auteur est à rechercher dans la noirceur de ses brouillons.

• Le nom est plus qu'une désignation de la personne. Il est indissolublement lié à l'être. Nommer quelqu'un, nommer un objet, c'est le connaître à fond, jusque, dans ses parties les plus secrètes.

• L'Italien noie ses soucis dans la nonchalance, le Français dans les chansons et l'Allemand dans la boisson.

• La politesse de l'Anglais, c'est l'impassibilité du visage et de la voix. Il trouve autant d'impudeur à montrer ses émotions qu'en éprouverait une nonne à exhiber ses jambes aux passants.

• C'est du rêve enfanté par un désir nourri d'espoir que le génie tire ses accents les plus émouvants.

• Jamais on n'aimera celui qu'on a mis en nourrice comme celui qu'on a nourri sous ses yeux.

• On a beau noyer sa raison dans le vin, on n’y noie pas le sujet de ses peines.

• Lorsqu'une langue meurt avec ses couleurs, ses nuances, le peuple meurt aussi.

• On peut tout savoir sur la cellule nucléaire et être atteint de cécité galopante en ce qui concerne ses plus proches.

• L'ère du numérique a créé un nouveau monde qui bouleverse l'ensemble de l'industrie médiatique, son économie comme ses usages.

• J'ai toujours été en conflit avec l'Eglise, ses dogmes, son jeu du pouvoir, ses réactions obscurantistes.

• Tout a ses merveilles, l’obscurité et le silence aussi.

• On n’a que l’âge de ses obsèques.

• On peut connaître la vertu d’un homme en observant ses défauts.

• Écrire, c'est mettre en ordre ses obsessions.

• Chacun de nous ignore la couleur de l'iris de presque tous ses amis. L'oeil est regard : il n'est oeil que pour l'oculiste et pour le peintre.

• Le pauvre sera odieux à ses proches mêmes, mais les riches ont beaucoup d'amis.

• On a souvent plus d'envie de passer pour officieux que de réussir dans les offices, et souvent on aime mieux pouvoir dire à ses amis qu'on a bien fait pour eux que de bien faire en effet.

• La femme n'est victime d'aucune mystérieuse fatalité : il ne faut pas conclure que ses ovaires la condamnent à vivre éternellement à genoux.

• Le rêve conscient côtoie la réalité et corrige ses côtés négatifs.

• Quand une femme montre ses seins, elle croit qu'elle offre son coeur.

• Quand le loup enseigne aux oies leurs prières, il les croque pour ses honoraires.

• Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.

• Le directeur musical ne peut plus se contenter de diriger ses concerts et s'en aller. Il doit s'impliquer dans la vie de l'orchestre et dans son rayonnement à l'extérieur.

• Quand on entame une relation durable avec un orchestre dont on est directeur musical, on est garant de son unité. Il faut comprendre son fonctionnement, sa psychologie, ses points forts et ses points faibles.

• La civette dépose ses ordures, à la source où elle a bu.

• Ecrire, c’est mettre en ordre ses obsessions.

• C'est déjà grand savoir que s'orienter dans le dédale de ses ignorances.

• Quoi de plus original que le bien délicatement fait ? N'est-ce point se distinguer de ses semblables que de les aimer ?

• On quitte d’abord la maison de ses parents, et ensuite, parfois, on quitte la maison de son premier mariage, et c’est toujours la même peine qu’on ressent, celle de se sentir, une fois pour toutes, orphelin.

• Dans une cohue, on ne peut penser qu'à ses orteils.

• Le danseur n’a-t-il pas ses oreilles dans ses orteils !

• Un homme porte son âge dans ses os, une femme sur son visage.

• Toute âme est otage de ses actions.

• Qui peut s'oublier soi-même Peut aussi oublier ses problèmes.

• La mer : une grande dame qui prend trop ses aises. Elle n'a pas besoin de tant de place pour produire la moule et l'oursin.

• C'est bien plus facile de noter ses états d'âme dans un journal secret que de les exprimer ouvertement. Quelle belle fuite du réel !

• L’ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments.