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Citations sur le ses - Page 240

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• Seule la force impose une vérité, et la force n'a rien d'intellectuel, elle contraint avec ses armes, par la torture, par le chantage, par la peur, par le calcul des intérêts, elle oblige les esprits à s'entendre provisoirement sur une doctrine.

• Le moment où le petit enfant prend conscience du pouvoir de ses pleurs n'est pas différent de celui où il en fait un moyen de pression et de gouvernement.

• Un consultant est une personne qui fait épargner à son client juste de quoi payer ses prestations.

• Pas un prestidigitateur n'égale la nature : elle opère sous nos yeux, en pleine lumière, et cependant il n'y a pas moyen de pénétrer ses trucs.

• Dans ses prétentions une femme est sans borne.

• Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre, À défaut d'un cordon, pour étrangler les rois.

• Il vaut mieux prier Dieu que ses saints.

• Tout art a ses racines dans le primitif ou alors il devient décadent.

• Marcher, c'est retrouver son instinct primitif, sa place et sa vraie position, son équilibre mental et physique. C'est aller avec soi, sans autre recours que ses jambes et sa tête. Sans autre moteur que celui du coeur, celui du moral.

• Le Poète est semblable au prince des nuées […] Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

• Qui n'a cru respirer dans la fleur renaissante, Les parfums regrettés de ses premiers printemps.

• Il ne faut pas être plus prisonnier de ses amis que de ses ennemis.

• Aux dispositions de la providence et à ses lois, sachez reconnaître la bonté de Dieu.

• L'amour : un mirage qui s'évanouit aussitôt qu'on veut le saisir entre ses doigts, le presser contre son coeur.

• Le jour où la femme aura tous les droits, elle perdra tous ses privilèges.

• La Terre ne trompe jamais longtemps : ses avarices, tôt ou tard, écrasent les tentatives de l’individualiste, tout comme ses prodigalités bientôt comblent ceux qui la respectent.

• La fortune est comme les femmes : elle prodigue ses faveurs à la jeunesse et méprise les cheveux blancs.

• Il y a dans l'aveu public des angoisses du coeur, et de ses voluptés non moins amères, une vanité et une profanation gratuites.

• Celui qui veut assassiner un peuple, détruira son âme, profanera ses croyances, ses religions, niera sa culture et son histoire.

• La valeur d'un professeur se mesure à la personnalité de ses élèves.

• Le temps est un grand professeur mais malheureusement il tue ses élèves.

• Quand ses amis sont borgnes, il les regarde de profil : côté oeil crevé.

• Son temps à elle est un miroir où n'habitent que les profils de ses rêves.

• On ne vit point assez pour profiter de ses fautes.

• Il est aisé d'être profond  : on n'a qu'à se laisser submerger par ses propres tares.

• Il ne faut pas profiter de ses amis. Ils sont déjà gentils de nous endurer.

• Seul un sot mesure la profondeur de l’eau avec ses deux pieds.

• On puise chez ses ennemis des forces qui vous aident à progresser.

• Nul homme qui aime son pays ne peut l'aider à progresser s'il ose négliger le moindre de ses compatriotes.

• Un homme est toujours la proie de ses vérités.

• Il n'est permis de prolonger la vie humaine que quand on abrège ses tourments.

• Cette manière d'élever le journalisme à la hauteur d'un spectacle permet à ses promoteurs de laisser croire qu'ils ont du talent.

• Le gouvernement. Il promet sans promettre et se dédit de ses mensonges pour faire semblant de sauver la vérité.

• On est prompt à connaître ses plus petits avantages et lent à pénétrer ses défauts.

• Si l’Evangile promet infiniment plus qu’un parti n’oserait le faire, il est vrai aussi qu’il réclame de chacun beaucoup plus que ce qu’une propagande éclairée ne se permettra jamais de demander à ses électeurs.

• Je suis en pourparlers avec la mort, je pèse ses propositions.

• La propriété est odieuse dans son principe et meurtrière dans ses effets.

• Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux et comblant le fossé, eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus et vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne !

• La propriété a ses devoirs tout autant que ses droits.

• Le libéralisme prospère toujours plus que ses partisans le désirent.

• Il est plus facile d’élever une protestation que d’élever ses sentiments.

• C’est un livre à la mode ancienne qui est proposé ici. Avec les protocoles d’antan. Celui par exemple qui consiste à citer ses sources !