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Citations sur le Slaves
Il y a 56 citations sur le Slaves.
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Même si l'aneuvien n'a pas vocation de LAI, ce serait l'expression d'un rapprochement avec les langues slaves utilisant cet alphabet (j'ai, du reste, çovetul qui signifie "conseil", un à-postériori de совет (soviet), dédiacrité, ça donnerait covetul).
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Quant à leur nombre, les Slaves de la Grèce du Nord devaient être en 1934 de 115 à 120.000, dont 40-50.000 de conscience nationale grecque, les autres constituant une minorité bulgarisante en Macédoine.
Christophoros Chrēstidēs — Le camouflage macédonien: à la lumière des faits et des chiffres -
Echappée aux disputes retentissantes que mon dernier article vous signalait, elle vient de se donner un comité de rédaction nouveau, décidé à chercher par tous les moyens à coordonner, à synarchiser les efforts artistiques non seulement de l'école tchèque, mais de toute les écoles slaves de façon à faire si possible de Prague une véritable capitale slave.
Mercure de France — 1909 -
L’alphabet gréco-slave est composé de deux éléments ; d’abord on y trouve toutes les lettres grecques qui sont propres à rendre les sons slaves ; puis on y a ajouté des caractères spéciaux pour exprimer les sons que l’alphabet grec ne saurait rendre et qu’il rendrait à l’aide de deux lettres.
Journal officiel 23 mai 1876 — page 3543 -
Avant l’arrivée des Magyars, les Slaves méridionaux occupaient toute la plaine danubienne et le noyau de leur puissance était situé entre le Rab, le Danube et la Drave.
Ernest Denis — La Question d'Autriche ; Les Slovaques -
Longtemps l’allemand a servi de langue de civilisation commune aux populations de langues slaves ; les idiomes slaves, quoique assez semblables entre eux, sont néanmoins trop distincts pour que des communications puissent aisément s’établir, si chaque nation slave se sert de sa propre langue ; les nations slaves n’ont pas adopté de langue commune dominante.
Antoine Meillet — Les Langues et les nationalités -
La plupart des Juifs achkénazites − restes des communautés médiévales d'Angleterre, de France et d'Allemagne, ou d'autres centres plus éloignés − se rassemblèrent en Pologne et dans les territoires slaves voisins.
Cecil Roth — Histoire du peuple juif -
Avant l'arrivée des Magyars, les Slaves méridionaux occupaient toute la plaine danubienne et le noyau de leur puissance était situé entre le Rab, le Danube et la Drave.
Ernest Denis — La Question d'Autriche ; Les Slovaques -
Les locuteurs natifs des langues d'Europe occidentale prêtent probablement attention à l'abondance de suintement et de sifflements - cette phonétique est caractéristique de nombreuses langues slaves (la raison la plus probable est liée à ce que les linguistes qualifient de « nature onomatopée » de la langue ou d’imitation des phénomènes naturels).
Pourquoi la langue russe semble-t-elle un peu effrayante aux étrangers? - Russia Beyond FR -
Oui, c'étaient très probablement des Varègues, bien qu’une chronique russe du XIIe siècle les ait appelés « Rous». Selon ces textes, Riourik (décédé en 879) était un prince varègue que les peuples finlandais et slaves du nord-ouest avaient invité en 862.
Riourikides: cette dynastie qui gouvernait la Russie avant les Romanov - Russia Beyond FR -
Cependant, dans l'est de l'Europe, la situation était cardinalement différente. Les tribus slaves orientales n'avaient non seulement pas peur d’eux, mais elles ont invité les Vikings ou Varègues, comme on les appelait. Les Scandinaves étaient recrutés comme mercenaires et les princes slaves constituaient leurs suites de Varègues.
Mercenaires d’antan: pourquoi les Russes ne redoutaient pas les terribles vikings - Russia Beyond FR -
Nous autres Slovaques, nous savons exactement ce que cela signifie d’être libérés par nos frères slaves russes. Ils sont venus nous sauver de l’impérialisme en 1968, lorsque nous croyions naïvement que nous pouvions décider du sort de notre pays. S’ensuivirent deux décennies d’occupation. Quelques-uns d’entre nous se firent descendre alors que nous n’opposions aucune résistance. C’est là notre stratégie nationale millénaire de survie – nous ne combattons pas, vous n’êtes pas obligés de tuer pour nous asservir. Les Russes nous tuaient, juste par principe. Que serait en effet une occupation sans meurtres ?
Le Monde.fr — Arpad Soltesz : « Nous autres Slovaques, nous savons exactement ce que cela signifie d’être libérés par nos frères slaves russes » -
L’initiative de Ljudevit Gaj n’est cependant pas un acte linguistique « gratuit », mais guidé par le désir d’une part de définir une langue que pourraient s’approprier tous les Croates, et d’autre part qui les rapprocherait des Serbes. C’est ainsi qu’en 1850, Gaj et Karadžić signent ensemble un accord de rapprochement de leurs langues respectives. Cet acte manifestement politique veut promouvoir le yougoslavisme, l’union des Slaves du Sud dans une seule et même entité territoriale, en dehors des empires austro-hongrois et ottoman.
Nouvelle Europe — Les langues en Croatie, entre affirmation de soi et reconnaissance de l’autre | Nouvelle Europe -
A part quelques vagues points communs avec la langue, ethnologiquement les Ouïghours n'ont rien à voir avec les Turcs d'Anatolie qui sont pour la plupart des grecs des arméniens des juifs des kurdes des slaves et même des celtes qui ont subi une " turquisation " par une poignée de cavaliers en provenance d'Asie centrale, l'empire byzantin c'était pas un no man's land.C'est limite de l'appropriation culturelle.
Le Figaro.fr — Ouïghours: Erdogan prône une solution tenant compte des «sensibilités» des deux parties -
Eugen Haagen, spécialiste du typhus exanthématique, utilise Slaves et Tziganes dans sa quête d'un vaccin efficace. Il injecte aussi des maladies telles que la lèpre et la peste aux détenus pour analyser les effets de ces contaminations. C’est à cause de ces expérimentations qu’une épidémie de typhus décime la population du camp en 1944.
25 novembre 1944 - Les alliés découvrent le Struthof - Herodote.net -
Sous l'influence du panslavisme, une émancipation d'abord linguistique et culturelle puis aussi politique commence à gagner du terrain depuis la fin du XVIIIe siècle, y compris parmi les Slovaques, voisins slaves proches des Tchèques mais en proie à l'époque à une magyarisation.
Le Point — L'Occident fête avec Prague le centenaire de la naissance de la Tchécoslovaquie - Le Point -
Par ailleurs, certaines personnes ont essayé de faire en sorte que les Slaves surmontent leurs divergences et restent unis. Le panslavisme était un mouvement idéologique populaire à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, alors que les Slaves du Sud cherchaient à obtenir l'indépendance de l'Autriche-Hongrie et de l'Empire ottoman et chérissaient l'idée d'un monde slave intégral.
Pourquoi les Slaves sont-ils si divisés? - Russia Beyond FR -
La fête d’Ivan Koupala, version panslave de la Saint-Jean, a donné lieu à un spectacle folklorique haut en couleurs qui s’est déroulé le 24 juin à Paris, au Bois de Boulogne, près du lac. C’est l’association Théâtre populaire sous la direction d’Ivanna Netchay, la chanteuse professionnelle et fine connaisseuse du folklore et coutumes des peuples slaves originaire d’Odessa, qui a offert aux Parisiens cette fête insolite, héritée de la culture préchrétienne.
La Saint-Jean version slave débarque à Paris - Russia Beyond FR -
Appelée également La Nuit de Kupala, cette version panslave de la Saint-Jean, célébrée aux environs du solstice d'été (entre les 20 et 24 juin du calendrier grégorien), trouve ses racines dans des fêtes païennes très étroitement liées aux forces de la nature et au culte du Soleil. Elle est répandue dans les régions habitées par les peuples slaves : les Russes, les Biélorusses, les Ukrainiens, mais aussi chez les Polonais et les peuples baltes. Cette fête glorifie la récolte, la fertilité, la joie et l'amour.
Quand les Slaves fêtent leur version de la Saint-Jean sur les bords de la Seine - Russia Beyond FR -
En effet, cette princesse qui épousa le roi des Francs Henri Ier en 1051 a longtemps incarné dans la mémoire historique française, sous le nom d'Anne de Russie, le symbole de l'union entre la France et ce qui s'appelait alors la Ruthénie prémongole. Ce vaste empire, qui exista du IXe au XIIIe siècle, évolua plus tard en trois Etats distincts : la Russie, l'Ukraine et la Biélorussie, et verra ainsi son héritage souvent disputé par les historiens, en tant que plus ancienne entité politique commune à ces trois Etats slaves orientaux actuels.
RT en Français — Anne de Kiev, une princesse ukrainienne ? Face à Porochenko, Macron oublie ses leçons d'histoire — RT en français