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Citations sur le sur

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• Tout est plus glamour quand vous le faites sur votre lit. Même peler des pommes de terre.

• Le propre de la pensée naturaliste n'est pas d'accorder un sens quelconque à l'idée de nature, mais de tabler sur le mot nature pour refuser tout ce qui existe artificiellement, c'est-à-dire pour contester tout ce qui existe.

• Quand on allume une cigarette sur un quai de métro ou en attendant un bus, il arrive.

• J'aimerais être une cigarette pour naître au creux de tes mains, vivre sur tes lèvres et mourir à tes pieds.

• C’est sur la partie brûlée de la tarte que l’on met le plus de sucre.

• Bientôt le cheval sera sur la terre quelque chose d'aussi étrange que la girafe.

• La caméra - cette espèce d'arme sans munitions, cette grosse bête noire qui vous aspire, elle vous avale puis vous recrache sur un écran.

• On est toujours plus vieux que sur la photo.

• Même si je conjugue ma vie à tous les temps, sur toutes les modes, manquera toujours le mode d'emploi.

• Y a des tas d’endroits sur la planète, je comprends pas que des gens les habitent, quand bien même ils y sont nés.

• On peut se demander si les convictions les plus fanatiques ne servent pas parfois de simple lest au milieu du vide que l'homme a créé en persistant à s'interroger sur l'idée de Dieu et le sens ultime des choses.

• Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure.

• Le poème n'est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier.

• Lorsqu'on écrit, il faut tout imaginer, toujours, mais les coups d'oeil qu'on peut jeter sur la vie d'autrui fournissent des clous sur lesquels accrocher les histoires et les personnages qu'on invente.

• Il est facile de monter sur ses grands chevaux, mais essayez donc d'en descendre gracieusement !

• Il est vain, à Paris, de monter sur ses grands chevaux ; ils ne mènent nulle part, et il n’y a plus d’allées cavalières.

• Quand tu t'appelles Saïd ou Mohamed C'est le ciel en tôle ondulée pour toujours C'est la fenêtre sur la troisième cour C'est le cri des voisines plein les oreilles Et les heures de mauvais sommeil.

• Etre psychanalyste, c'est simplement ouvrir les yeux sur cette évidence qu'il n'y a rien de plus cafouilleux que la réalité humaine.

• Tous les abrutis devraient avoir écrit sur leur carte de visite qu’ils sont des abrutis. Comme ça, on saurait à qui l’on s’adresse.

• La discrétion est ma devise. Je ne dis jamais rien. Même sur ma carte de visite, il n'y a rien d'écrit.