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Citations sur le sur

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• La science m'ordonne de n'aimer que moi, attendu que tout le monde est fondé sur l'intérêt personnel.

• C'est sur les vitres qu'on grave les mots ineffaçables.

• L'arbre n'est point jugé sur ses fleurs, sur son fruit, on le juge sur son écorce.

• Le véritable Éros est muet et tout notre discours ne peut porter ici que sur notre impuissance.

• Les événements effacent les événements ; inscriptions gravées sur d'autres inscriptions, ils font des pages de l'histoire des palimpsestes.

• Voici demain qui règne aujourd'hui sur la terre.

• Les hommes naissent sur commande sociale passée auprès des particuliers.

• Je ne suis que celui-là qui veille sur moi.

• Pendant que vous vous détruisez la cervelle devant une émission de télé débile, nous, sur Internet, nous échangeons librement les informations les plus secrètes et les plus choquantes concernant les paramètres de notre CONFIG.SYSTEM !

• La montagne est déconcertante. Son paysage est plissé et secret. Les mots et les habitudes butent sur le passage des cols.

• Pourquoi hésiter jamais sur notre devoir, quand il se reconnaît d'emblée à ce signe : le devoir c'est ce qui nous embête.

• D’emblée dans la vie la fatigue touche aux deux portes sacrées : l’amour, le sommeil. L’amour qu’elle use comme de l’eau sur la pierre. Le sommeil qu’elle entasse comme de l’eau sur de l’eau.

• On vit avec beaucoup de mauvaises actions sur la conscience et quelques bonnes intentions dans le cœur.

• Toi que j'ai recueilli sur sa bouche expirante Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois saint, don d'une main mourante, Image de mon Dieu !

• Il n'est de vraiment haineuse que l'opinion qui, pétrifiée sur elle-même, ne parle pas.

• C'est cette force qui maintient en tout temps l'opinion juste et légitime sur ce qu'il faut craindre et ne pas craindre que j'appelle et définis courage.

• La science antique portait sur des concepts, tandis que la science moderne cherche des lois.

• Le savoir est une couronne sur la tête, tandis que la richesse n’est qu’un joug sur le cou.

• Si Jésus vivait de nos jours, il devrait monter au calvaire en portant sa guillotine sur son dos.

• On peut avoir une certaine indifférence sur la peine de mort, ne point se prononcer, dire oui et non, tant qu'on n'a pas vu de ses yeux une guillotine.

• Un défaut de la vitre, et le moineau est un aigle sur le toit.

• La grâce de la nouveauté est à l’amour ce que la fleur est sur les fruits : elle y donne un lustre qui s’efface aisément, et qui ne revient jamais.

• Si tu veux connaître la vérité sur ton compte, offense ton voisin.

• L'homme oriente sa voile, appuie sur le gouvernail, avançant contre le vent par la force même du vent.

• Je compterais plus sur le zèle d'un homme espérant une grande récompense que sur celui d'un homme l'ayant reçue.

• Dieu ne fait qu’ébaucher l’homme, c’est sur la terre que chacun se crée.

• Dieu n'a fait qu'ébaucher l'homme, c'est sur terre que chacun se crée.

• La personne est une multiplicité intérieure, inachevée, appelée à s’ordonner, s’unifier. Dieu ne fait qu’ébaucher l’homme, c’est sur la terre que chacun se crée.

• Que de gens sur la bibliothèque desquels on pourrait écrire : "usage externe", comme sur les fioles de pharmacie !

• Le meilleur remède ne s'achète pas à une pharmacie et sur ordonnance. Le meilleur remède, vous l'avez en vous et il s'appelle l'instinct de vivre.

• Nous trouvons de tout dans notre mémoire. Elle est une espèce de pharmacie, de laboratoire de chimie, où on met au hasard la main tantôt sur une drogue calmante, tantôt sur un poison dangereux.

• Dans certains cimetières américains, certains défunts demandent que l'on plante un arbre sur leur tombe. Sans doute ces gens pensent-ils qu'ils ne mourront pas tout à fait si leur ADN passe dans l'arbre dont les racines vont s'enfoncer dans la tombe, proliférer, faire des rejetons... Le fantasme de l'immortalité revisité par la science !

• On ne pouvait même pas aller au cinéma. On était ignorants. Je me sentais plus proche de la nature. J'ai grandi sur des terrains vagues jusqu'à l'âge de 13 ans.

• Je m’inquiète pour le jour où, dans 10 ou 15 ans, ma fille me demandera : Papa, tu faisais quoi quand ils ont censuré la liberté de la presse sur Internet ?

• Tu balanceras (mes cendres) aux chiottes, comme ça, chaque fois que tu t’assoiras sur ma tombe, je verrai ton cul.

• La femme moyenne passe environ 5.000 heures par an à s’inquiéter de ses ongles ; en 40 ans je n’ai jamais entendu aucun homme s’extasier sur les ongles d’une femme.

• Je n'empêche pas les gens de marcher où ils veulent. Sauf sur mes pieds. Mais comme je ne chausse que du 40, il n'y a pas de place à côté.

• La pintade étale ses coloris sur son plumage et l'homme garde les siens dans son cœur.

• Nous devons envisager en face le fait que la société est fondée sur l'intolérance.

• S'il y a tant d'accidents sur les routes, c'est parce que nous avons des voitures de demain, conduites par des hommes d'aujourd'hui sur des routes d'hier.

• Tu croises des gens qui dorment dehors, En bas des hôtels tout confort. Tu donnes des sous par ci, par là, Un emplâtre sur une jambe de bois.

• On a l'âge, après tout, qu'on porte sur son front.