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Citations sur le sur
Il y a 16744 citations sur le sur.
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— Pensez donc ! deux jeunesses sur le pavé de Paris ; on peut faire de si mauvaises connaissances ; il y a des hôtels qui sont si mal fréquentés ; ce n’est pas comme ici, où l’on est tranquille ; mais c’est le quartier qui veut ça. — (Hector Malot, Sans famille, 1878)
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Pour annoncer les 25 ans de Fuse, un présentateur de Bruzz Radio avait réalisé un début de beat techno sur base des trois notes du jingle de la STIB.
Kevin Dochain — Le jingle de la STIB revisité en mode techno -
Le grand dadais sur son dada, paré contre les tempêtes et les dragons, se lance dans la bataille nu comme un malitorne poursuivant l’ombre d’une jocasse toute imaginaire.
Martine Rousseau — Olivier Houdart -
On devine la colère dans laquelle entra le docteur, en retrouvant sur le gazon le cadavre d'une bouteille de tokai, les cadavres de deux bouteilles de johannisberg et de trois bouteilles d’alicante.
Alexandre Dumas — Eugène sue -
Enfin, l’hermétisme autant que le johannisme insiste sur l’invisibilité de Dieu, mais en des termes totalement différents.
Revue Anamnesis — recherches sur le nouveau testament -
La fête de hilaries, jour de joie, dans lequel on célébrait, comme nous l'avons déjà dit, l'époque heureuse où le soleil Atys reprenait son empire sur les longues nuits
Dupuis — Origines des cultes -
Pour donner, en effet, un digne apanage à son frère, Louis XI joignit au pays de Guyenne les judicatures du pays toulousain qui se trouvaient sur la rive gauche de la Garonne.
Abbé Henri-Dominique Larrondo — Monographie de la commune de Merville (Haute-Garonne) -
Après le séchage des bois, 4 opérations sont nécessaires pour transformer le merrain en douelle qui sera ainsi travaillée sur ses six faces : [...] - Le fléchage et le jointage. La première donne sa forme en fuseau à la douelle et assurera le cintrage de la pièce. La seconde donne un léger angle aux deux chants du merrain et permettra d’assurer une bonne étanchéité entre les douelles.
Jacky Rigaux — Le terroir et le vigneron -
Une digue… revêtue, sur toute sa longueur, d’une couche de blocs posés plat à plat ou à peu près jointivement.
E. GRANGER — Voies navigables de France -
Dans le jargon patenté, on appelle ça « entrer dans le jeu avec un certain délai », ce qui contraint à jouer du soccer de rattrapage, une perspective qui ne se révèle jamais très jojo puisque vous devez mettre l’accent sur l’attaque, ce qui laisse des trous gros comme ceux de l’emmental en arrière et donc d’excellentes chances pour l’adversaire de vous rincer au compte de 5-2, pour prendre un exemple au hasard.
Jean Dion — Le Devoir -
Pour le dénudé il faut un jokari sinon tu va abîmer l'isolant autour de chaque fil, c'est super facile une fois la trace faite sur la gaine noire il n'y a qu'a tirer et la gaine s'ouvre.
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J’étais rencardé sur un boulot plutôt pépère Trois kilos de diams de la perlouse et puis du jonc C’est pas si souvent que l’on dégote une bonne affaire Ce soir entre tous fallait pas faire les cornichons
Boris Vian — Le Tango interminable des perceurs de coffres-forts. Chanson interprétée en 1958 par Les Frères Jacques -
Les temps sont mauvais pour ces négociants en belle joncaille. Braqué, le bijoutier Van Gold, rue de Caumartin à Paris. Braqué, l’établissement Cartier avenue Montaigne. Braquée encore, en août 1983, sa succursale sur la Croisette à Cannes.
Patrice Lastère — Un flic passe aux aveux -
Assise au bord de l’étang, entre son mari et ses enfants sauvages, seule ma mère semblait recueillir mélancoliquement le bonheur de compter, gisants contre elle, sur l’herbe fine et jonceuse rougie de bruyère, ses bien-aimés…
Colette — Sido -
Et jamais, jamais je ne respire plus l'odeur humide des feuilles pourries et des étangs jonceux, ni l'âcreté légère du vent qui a passé sur les bois où cuit le fraisil.
Colette — Claudine à Paris -
— Tu « jongles » ? me dit David qui me voyait soucieux, devant mon whisky et soda… T’as l’air chose. Mais je ne te demande rien, ajouta-t-il rapidement, avec cette délicatesse native que je lui savais. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, rédition Nelson, page 230)
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Nous irons, mes frères et moi, dans les villes, nous nous tiendrons avec un luth sur la place publique, le jour du marché. Les bonnes gens s’approcheront de nous, et nous leur dirons : « Nous sommes les jongleurs du bon Dieu, et nous allons vous chanter un lai. Si vous en êtes contents, vous nous donnerez une récompense. »
Anatole France — Le Lys rouge -
Le ciel s’assombrissait et se gonflait de nuages sur le Jura ; vous aviez à peine récolté deux nouvelles lignes que le joran s’est levé, un grand coup de vent comme un taureau fiévreux, et les nuages se sont rués sur vous, crevant là-haut, noyant le paysage dans une lumière grise et glacée.
Jean-François Haas — Tu écriras mon nom sur les eaux -
Le caractère kotobuki imprimé sur le kimono de l'annonceur rappelle le titre d'un joruri : Kotobuki miyako no nishiki (un brocart couvert de vœux de longue vie) créé par la troupe Miyako-za en mars 1794.
Tōshūsai Sharaku — portraits d'acteurs -
On entra dans un salon obscur, où une torchère électrique éclairait une grosse fille blonde qui jouaillait, comme un projecteur éclaire un virtuose sur une estrade.
Roger Peyrefitte — La Coloquinte