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Citations sur le sur
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La recherche d'un sommet sur un polyèdre convexe, représentant l'ensemble des solutions possibles
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Cette question se divise en deux points, à mon sens :1) Où en est la dialectologie : IÀ savoir : qu’a-t’elle [sic : qu’a-t-elle] découvert en propre sur la structure de l’univers linguistique, cad. [sic : c.-à-d.] sur l’organisation du bruit articulé (forme + contenu) polymorphe et polygénique dont est doté l’homme ?
Quaderni di Semantica — volume 12 -
Sur les moindres détails, les uns et les autres diffèrent. S’agit-il, je suppose, de migrations, les monogénistes s’évertuent à prouver que l’homme a pu franchir les montagnes et les mers, et vaincu tous les obstacles pour se répandre de son berceau si mystérieux dans l’Asie centrale jusque dans les endroits les plus reculés du globe ; tandis que les polygénistes restent indifférents sur ce point. S’agit-il d’acclimatement, les monogénistes prétendent que l’homme se convient partout, s’adapte partout, tandis que les polygénistes soutiennent qu’il est fait pour certains pays et qu’il ne s’implante dans d’autres que par exception, et après avoir payé un lourd tribut. S’agit-il des compressions exercées sur la tête pour satisfaire à certaines coutumes, les monogénistes purs disent que le... etc.
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Grâce aux progrès continus de l'exploration des grands fonds, les ressources minérales sont de mieux en mieux connues. Ainsi des nodules polymétalliques, grosses boules de pétanque posées sur les plaines abyssales, qui contiennent du cuivre, du nickel et du manganèse.
Emmanuelle Réju – Les trésors de la haute mer suscitent des convoitises – Journal La Croix — page 2 -
Le polynésien étant répandu sur une vaste étendue du Grand-Océan, et les peuples qui le parlent habitant de petites îles détachées qui sont entièrement ou presque entièrement privées de communications entre elles, cette langue a, comme on pouvait s’y attendre, une grande variété de dialectes ; mais il est facile de reconnaître qu’ils appartiennent à un seul idiome.
Adriano (Adrien) Balbi — Introduction à l’atlas ethnographique du globe -
(Figuré) Le monstrueux édifice pèse sur vous de tout son poids ; il vous entoure, il vous enlace et vous étouffe ; vous vous sentez pris comme dans les tentacules d’un gigantesque polype de granit.
Théophile Gautier — Voyage en Espagne -
Quoiqu'il entasse doute sur doute, [Bayle] marche toujours avec ordre : c'est un polype vivant, qui se divise en autant de polypes qui vivent tous ; il les engendre les uns des autres.
Diderot — L’Encyclopédie -
Je le sais homme de valeur. Il sort de l'École polytechnique. Je me suis bien laissé dire que le coup de marteau, dont on avance que de nombreux polytechniciens sont affligés, a laissé des traces particulières sur son cerveau.
Joseph Caillaux — Mes Mémoires -
Près du Thabor, grande chapelle ; la Vierge est sur l’autel avec l’enfant Jésus, tous deux couronnés ; elle est vraiment la reine et la déesse. Parfois il semble que le catholicisme soit un polythéisme retourné, dans lequel, au lieu d’êtres forts, on adore des êtres malheureux et tendres.
Hippolyte Taine — Carnets de voyage : Notes sur la province -
[…], mais une question beaucoup plus grave en phytogéographie est celle du mono ou polytropisme des espèces. La même espèce nouvelle peut-elle se créer en des points éloignés l'un de l'autre (polytropisme) ? ou bien une espèce nouvelle se crée-t-elle en une seule fois en un point déterminé ou plusieurs fois en des points très voisins (monotopisme) ? Tous les raisonnements paléontologiques et toute la paléogéographie des espèces animales et végétales ont été construits sur l'idée du monotopisme.
Henri Gaussen — Géographie des Plantes -
C’est lui qui m’a permis de me redresser et de remarcher après qu’un chauffard m’a renversée à bicyclette quand j’avais 19 ans et laissée polytraumatisée, en miettes, quasi-amnésique, sur la chaussée.
Annick Cojean — Melody Gardot : « Je n’ai que 14 ans dans ma deuxième vie » -
Chez les Bushmen, de même que chez le Hottentot, [la toison] s'éparpille sur le crâne par petites houppes de la grosseur d'un pois, laissant entre elles un espace entièrement chauve. Ces touffes minuscules sont naturellement noires, mais l'action du soleil, jointe à la terre ocreuse dont on les pommade, les amène au brun rouge.
Thomas Mayne Reid — Les Peuples étranges -
Charles allongea doucement derrière lui une main qui se porta sur un pommeau de pistolet de nouvelle invention, […].
Alexandre Dumas — La Reine Margot -
[...] une déesse charnue et rose conduisant un char, montée sur un globe, ou une étoile au front, qu’on aimait sous le second Empire parce qu’on leur trouvait un air pompéien, puis qu’on détesta, [...]
Marcel Proust — À la recherche du temps perdu -
Il voulait être César, il ne fut que Pompée. — (Jeu de mots — la phrase joue sur l'homophonie entre « Pompée » et « pompé » — attribué à Clemenceau à propos de Félix Faure, que l’on disait être mort pendant une fellation)
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Ce dimanche-là, quelque animation devant l’église me retint dehors après vêpres. Un baptême, sous le porche, avait attroupé des gamins. Sur la place, plusieurs hommes du bourg avaient revêtu leurs vareuses de pompiers ; et, les faisceaux formés, transis et battant la semelle, ils écoutaient Boujardon, le brigadier, s’embrouiller dans la théorie…
Alain-Fournier — Le Grand Meaulnes -
Si le Teinturier n’a pas le soin de désaviver les couleurs fines en saffrano, dans lesquelles il entre du jus de citron, comme dans le ponceau, le cerise, toute sorte de rose, nacarat, isabelle, chamois vif, jamais la moëre ne prendra bien, ainsi que sur le noir, si on ne recommande au Teinturier qu’il soit extrêmement lavé, plutôt à quatre Battures qu’à deux.
Joubert de l’Hiberderie — Le dessinateur -
Comme d’habitude, rien ne transparaissait sur le visage bien poncé de Marie-Jeanne.
Roger Vailland — 325.000 francs -
Ces premiers soleils vous cassent la tête, ajouta Hubert, qui, son métier tendu, s’apprêtait à poncer sur la soie la bande de la chape.
Émile Zola — Le Rêve -
Le colonel se leva à cinq heures et, le poncho sur le pyjama, se fit bouillir un peu d’eau sur une lampe à alcool.
Jules Supervielle — Le voleur d’enfants