Accueil > Dictionnaire > Définitions du mot « 44 tonnes »
44 tonnes
Définitions de « 44 tonnes »
44 tonnes - Locution nominale
-
(Transport) Poids lourd dont le poids total autorisé en charge (PTAC) est fixé à quarante-quatre tonnes.
Le dispositif actuel ne peut pas différencier un 38 tonnes d’un 44 tonnes lorsque ces derniers utilisent tous les deux 5 essieux.
— Jean-Paul Chanteguet, Rapport d’information sur l’écotaxe poids lourds
Étymologie de « 44 tonnes »
- Composé de 44 et tonne.
Usage du mot « 44 tonnes »
Évolution historique de l’usage du mot « 44 tonnes » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « 44 tonnes » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « 44 tonnes »
-
Le permis super lourd : il est indispensable pour conduire en sécurité les véhicules super-lourds en transports de marchandises jusqu'à 44 tonnes (véhicule de la catégorie C attelé à une remorque ou semi-remorque de plus de 750 kg). Obtenir le permis CE. Conditions d'obtention : avoir 21 ans, être titulaire du permis C (poids-lourds), et présenter une visite médicale à jour.
France Bleu — Emploi : recrute un chauffeur routier pour le Sud-Ouest -
Les draisines se contenteront désormais de conduire les voyageurs. Mais elles ne tireront plus les vélorails jusqu'à "Lichemialle". Cette tâche sera confiée à un locotracteur de 44 tonnes qui a été livré vendredi matin à Dunières.
Dunières : un locotracteur débarque sur le Vélorail du Velay (vidéo) - La Commère 43 -
Le dispositif actuel ne peut pas différencier un 38 tonnes d’un 44 tonnes lorsque ces derniers utilisent tous les deux 5 essieux.
Jean-Paul Chanteguet — Rapport d’information sur l’écotaxe poids lourds -
Ces envois étaient accompagnés de 44 tonnes de faux-cotonnier valant 1980 francs, soit 45 francs la tonne, c’est à dire à-peu-près le même prix que l’okoumé. Le faux-cotonnier, ou kapoquier, se vendait à Hambourg à un prix égal ou sinon supérieur à l’okourné.
Société belge d'études coloniales — Bulletin