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Amazighophone
Définitions de « amazighophone »
Amazighophone - Adjectif
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Qui parle l'amazigh ou une langue berbère.
Un colloque abordant le thème « Pierre Bourdieu et l’Algérie : fond commun, zone amazighophone et migration » est ouvert lundi à Oran, à l’initiative du Haut commissariat à l’amazighité (HCA) en partenariat avec le centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC).
— « Pierre Bourdieu et l’Algérie en débat à Oran », Le Midi libre
Amazighophone - Nom commun
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Personne parlant l’amazigh ou une langue berbère.
Un amazighophone peut être un locuteur du tachelhit émanant de la région du Sous ou du tamazight du Moyen Atlas ou du tarifit du Rif oriental.
— Philippe Blanchet, Leila Messaoudi
Étymologie de « amazighophone »
Dérivé de amazigh avec le suffixe -phone.Usage du mot « amazighophone »
Évolution historique de l’usage du mot « amazighophone » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « amazighophone » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « amazighophone »
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Il a parlé aussi de l’implication du HCA pour «réunir toutes les conditions techniques, pédagogiques et didactiques destinées à deux publics scolarisés, amazighophone et non amazighophone». Il a, dans le même sillage, rappelé la dimension nationale de tamazight qui est enseigné, a-t-il déclaré, dans 44 wilayas du pays. Si El Hachemi Assad s’est montré satisfait des résultats enregistrés dans la wilaya de Tizi Ouzou qui a, selon lui, en deux décennies, réussi à généraliser l’enseignement de tamazight dans toutes les communes et à tous les niveaux scolaires, a-t-il souligné.
El watan — Le HCA organise des journées pédagogiques à Tizi Ouzou : Assad rappelle la dimension nationale de l’enseignement de tamazight - El watan.dz -
Cette session récompensera un recueil de nouvelles ou un roman pour chacune des trois versions proposées à concours : arabophone, amazighophone et francophone. Le volume global de l’œuvre devra être d’un minimum de 100 pages. Il est à préciser que les candidats ne peuvent concourir que dans une seule et unique section. Également, l’œuvre proposée à concours ne doit pas être une traduction.
Vinyculture — Appel à candidatures : Prix Littéraire Mohammed Dib - Vinyculture -
De son côté, la journaliste amazighophone à la première chaîne de télévision Al Aoula, Saloua Lemkaddem, a fait part de son «grand bonheur d’avoir reçu cet hommage dans la ville d’Al Hoceima», sa région d’origine, appelant les organisateurs du festival ainsi que tous les intervenants du champ culturel à s’acquitter pleinement de leur rôle dans la promotion des échanges culturels dans le bassin méditerranéen.
Le Matin.ma — Hommage à Mohammed Bestaoui et Saloua Lamkaddem - Le Matin.ma -
Si vous êtes de passage à Beni Mellal, n’hésitez pas à visiter le Parc Tamda de Zaouïat Cheikh, ville entièrement amazighophone et à 69 km de Beni Mellal.
Welovebuzz — 10 endroits que chaque Marocain doit visiter en 2018 - Welovebuzz -
« Djurjura » ou « Djura » qui excelle dans le genre « folk » a écrit ses premières chansons en 1977 pour former par la suite en 1979 le groupe amazighophone « Djurdjura », ayant interprété des chansons sociales et d’autres dédiées à la femme. « Djoura » a lancé son premier album intitulé « Printemps » en 1977 suivi d' »Assirem » (Espoir, 1980), de « A yamna » (1982) et « le défi » (1986).
La Dépêche de Kabylie — Cheb Khaled et Djurjura invités de la 12e édition - La Dépêche de Kabylie -
La question du nombre d’amazighophones au Maroc est au cœur d’une nouvelle polémique entre le Haut-commissariat au plan (HCP) et les militants amazighs. Ces derniers ont exprimé leur colère suite à la publication des derniers chiffres du HCP, révélant que « seuls » 27% des Marocains parlent amazighs. Un chiffre qui fait grincer des dents les militants amazighs, qui estiment cela très loin de la réalité.
Telquel.ma — Amazighophones: "Nous ne sommes pas 27%"