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Bâton de maréchal
Définitions de « bâton de maréchal »
Bâton de maréchal - Locution nominale
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Bâton de commandement qui est l’insigne de la dignité de maréchal de France.
Symbole suprême du commandement, le bâton de maréchal incarne l'honneur et la responsabilité au sommet de la hiérarchie militaire française.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
(Par métonymie) La dignité de maréchal elle même.
« Atteindre le bâton de maréchal, c'est accéder à la plus haute distinction militaire, symbole d'une vie consacrée au service de la nation. »
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
(Par extension) (Figuré) Le plus haut emploi, le plus haut grade auquel une personne puisse parvenir.
Bref, Salomon, sexagénaire, pourvu en qualité de médecin chef de son bâton de maréchal, était le type même de ces psychiatres qui sont avant tout des administrateurs […]
— Hervé Bazin, La Tête contre les murs
Étymologie de « bâton de maréchal »
Usage du mot « bâton de maréchal »
Évolution historique de l’usage du mot « bâton de maréchal » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « bâton de maréchal » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « bâton de maréchal »
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Car le 21 novembre 1918, le général est élevé par décret à la dignité de maréchal de France, avant de recevoir le bâton de maréchal à Metz, le 6 décembre 1918. Un grade qu’il gardera 26 ans. Le 15 août 1945, il est en effet condamné à la dégradation nationale par la Haute Cour de justice qui l’a reconnu « coupable d’indignité nationale » pour avoir collaboré avec le régime nazi.
actu.fr — Histoire. Quand le général Philippe Pétain habitait en Seine-et-Marne | La République de Seine et Marne -
Conduite par un génie invincible adulé par ses grognards, temple de l'héroïsme et incarnation de la méritocratie puisque chaque soldat a dans sa giberne un bâton de maréchal, elle vole de victoires en victoires jusqu'à son engloutissement par " le général hiver en Russie " avant de livrer des derniers combats homériques dont la campagne de France et la défaite glorieuse de Waterloo attribuable au choix à l'incurie de Grouchy, à la folie de Ney, à des trahisons ou à la météo plutôt qu'aux manquements de son chef.
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Au moment où Pons rencontra Schmucke, il venait d'obtenir, sans l'avoir demandé, le bâton de maréchal des compositeurs inconnus, un bâton de chef d'orchestre!
Balzac — Le Cousin Pons