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Bioremédiation
[bjɔrœmedjasjɔ̃]
Définitions de « bioremédiation »
Bioremédiation - Nom commun
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(Écologie) Processus de dépollution des environnements contaminés par l'utilisation de mécanismes biologiques ou chimiques issus d'organismes vivants.
La bioremédiation se dessine comme une danse symbiotique entre la nature et la science, où les micro-organismes deviennent les artisans invisibles de la dépollution.
— (Citation fictive)
Usage du mot « bioremédiation »
Évolution historique de l’usage du mot « bioremédiation » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « bioremédiation » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « bioremédiation »
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Les chercheurs étudient toujours les diverses applications potentielles des bactéries sulfo-oxydantes, notamment dans le domaine de la bioremédiation et de l'énergie propre.
Pierre Lefèvre — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
S’inspirer de la bioremédiation : la bioremédiation utilise des organismes vivants pour dépolluer ou débarrasser des environnements de substances toxiques. Ici, le principe est identique, explique l’auteur principal, Erica Hartmann, chercheur à la Northwestern : « Habituellement, la bioremédiation s'applique aux nappes alluviales mais ici, nous lappliquons cette même technique à l'intestin. Nous savons que certaines bactéries peuvent décomposer les toxines et nous montrons qu’elles peuvent métaboliser les toxines liées aux traitements du cancer et exercer ainsi un effet protecteur pour la communauté microbienne ».
santé log — CHIMIOTHÉRAPIE : Des probiotiques pour nettoyer les toxines | santé log -
Il y a différentes façons de mettre en œuvre la bioremédiation. La bio-atténuation est la méthode la plus naturelle : on s’assure que le sol contient les micro-agents nécessaires pour dégrader les polluants et on laisse faire en effectuant un suivi. En général, une seule espèce de micro-organisme ne suffit pas, il faut un consortium d’espèces. Cela prend quelques années. C’est efficace dans le cas de pollutions aux hydrocarbures par exemple, mais c’est extrêmement lent.
ID4D — « La dépollution par le vivant nécessite du temps » -
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