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Bondrée apivore
[bɔ̃dre apivɔr]
Définitions de « bondrée apivore »
Bondrée apivore - Locution nominale
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(Ornithologie) Espèce d’oiseau rapace diurne (falconiforme) de la famille des accipitridés, une bondrée proche des buses, de l’Ancien Monde, qui ressemble à la buse variable, mais avec des stries horizontales bordées de couleurs sombres sous les ailes et la queue, insectivore et migratrice.
Les bondrées apivores sont migratrices et ne séjournent pratiquement dans notre pays que le temps d’y nidifier et d’élever leurs jeunes, soit approximativement de mai à fin août-début septembre.
— Philippe Gramet, Chroniques de la nature
Étymologie de « bondrée apivore »
Usage du mot « bondrée apivore »
Évolution historique de l’usage du mot « bondrée apivore » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « bondrée apivore » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « bondrée apivore »
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Bondrée apivore (Pernis apivorus) mâle adulte devant un nid de guêpes, jardin près de Bruxelles (Belgique), le 11 août 2019. Photographie : Marc Fasol
Ornithomedia.com — Piège photographique : filmer une Bondrée apivore attaquant un nid de guêpes | Ornithomedia.com -
Linottes, cigognes et grues ouvrent le bal. Puis le flux des martinets noirs atteint 20 000 individus certaines journées. Les rapaces suivent, comme la bondrée apivore, un oiseau d’un mètre trente d’envergure, par vagues de 10 000. « Le ciel en est rempli ! C’est l’endroit de France où l’on peut en voir le plus en une seule journée », remarque Sébastien Roque, de l’association Med migration, qui assure les comptages.
Le Monde.fr — Cinq sites naturels en France pour observer la migration des oiseaux -
Avec une épuisette, entre autres outils d’investigation, c’est Yann Février, coordinateur du Géoca, qui a sillonné le golf. « 165 espèces végétales ont été recensées et 51 espèces d’oiseaux, dont le pic mar, qu’on ne trouve pas partout mais aussi la bondrée apivore, le martinet, le roitelet ou la tourterelle des bois ; on a 20 espèces de papillons ; autant de libellules et demoiselles ; sept espèces d’amphibiens et je suis persuadé qu’on aurait pu en trouver bien plus si on avait eu plus de temps, mais déjà c’est un très bon aperçu. »
Le Telegramme — À Pléhédel, le golf de Boisgélin obtient un label biodiversité - Paimpol - Le Télégramme -
La bondrée apivore est un migrateur au long court, qui arrive dans nos régions tardivement (pics migratoires mi-mai) et en repart rapidement, dès le mois d’août, pour retourner en Afrique où elle passe 8 mois de l’année. Son séjour estival sous nos latitudes lui permet de se reproduire.
Parc national des Ecrins — Bon voyage les bondrées ! | Parc national des Ecrins