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Bouvine
Définitions de « bouvine »
Bouvine - Nom commun
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Ensemble des traditions et pratiques sportives liées à la tauromachie camarguaise.
Du temps de Lou Marqués il y avait beaucoup plus de gardians pour s’occuper de la bouvine et des clôtures, maintenant les jeunes ne veulent plus faire ce métier, il est de plus en plus difficile de trouver du personnel.
— Michèle Riekert, La pluie femelle
Étymologie de « bouvine »
Du latin bovinus.Usage du mot « bouvine »
Évolution historique de l’usage du mot « bouvine » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « bouvine » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « bouvine »
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Des Gardois se mobilisent pour faire entrer l’univers de la bouvine au patrimoine mondial immatériel de l’Unesco. Une réunion a lieu ce samedi à Sommières (Gard) pour recueillir des témoignages.
ici, par France Bleu et France 3 — L’univers de la bouvine bientôt au patrimoine mondial de l’Unesco ? -
Le Gardian Villeneuvois est une association créée le 16 avril 2003 par des passionnés de taureaux et de chevaux camarguais. Son objectif est de faire découvrir la Camargue et la bouvine aux novices et aux aficionados.
midilibre.fr — Découvrir la bouvine avec le Gardian Villeneuvois - midilibre.fr -
La journée du patrimoine commentée par Huguette Berthalon, André Blanc et Georges Goudal revisitait les lieux de ce rare village aux trois clochers. L’histoire du Cailar n’est pas seulement liée à la bouvine. Situé au confluent du Vistre et du Rhony, le village était un port commercial de premier plan pendant l’Antiquité. Au cœur des guerres féodales puis des guerres de Religion, le village perd son château fort.
midilibre.fr — Une belle balade dans le passé - midilibre.fr -
Nicolas Manchon tient sa passion de la bouvine depuis son plus jeune âge, de ses parents, notamment François, son père, qui l’emmenait aux arènes avec eux, à l’occasion des fêtes votives. "Là où j’ai vraiment accroché à la course camarguaise, c’est quand Barraïé, de la manade Jean Lafont, a obtenu le Biòu d’Or en 1988. Cette rencontre entre l’homme et le taureau, l’émotion ressentie, le frisson", note-t-il.
midilibre.fr — Nicolas Manchon, un amoureux de la bouvine et des traditions - midilibre.fr