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Carton plein
Définitions de « carton plein »
Carton plein - Locution interjective
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(Jeux) Se dit quand sa grille de loto correspond intégralement au tirage.
Un carton plein : quand tous les numéros s'alignent pour décrocher le gros lot.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « carton plein »
Usage du mot « carton plein »
Évolution historique de l’usage du mot « carton plein » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « carton plein » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « carton plein »
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Belle affluence pour cette première édition des Journées du patrimoine à Saint-Donan et un carton plein pour la municipalité avec 300 personnes au rendez-vous. Au programme : la visite de l’église datant de 1898 et orientée à l’Est, ce qui est rare (65 visiteurs). Une exposition du cadastre napoléonien et des photos de la commune étaient aussi proposées et ont rencontré un beau succès (89 visites). Le site de l’école était lui aussi visible le dimanche (49). La palme revenant à la cour extérieure du manoir du Rufflet et à sa chapelle Sainte-Barbe. Un beau week-end d’histoire.
Le Telegramme — Saint-Donan - 300 visiteurs ont découvert ou redécouvert le patrimoine de Saint-Donan - Le Télégramme -
À l’Elysée, où on anticipe la raclée de la droite et, surtout, le score historique des nationalistes aux élections territoriales (voir "Le carton plein des natios"), la tribune, cosignée par des universitaires majoritairement nationalistes, autonomistes ou corsiste, n’est pas passée inaperçue.
[INFO OBS Corse: l’Elysée engage une "mission stratégique"] — nouvelObs.fr -
C’est l’un des temps forts de l’été frontignanais. Très attendu par les amateurs de moules du bassin de Thau et bien au-delà, le concours de brasucade de la cité muscatière a cette année encore fait carton plein ! En ont témoigné les files de visiteurs, agglutinés comme des moules sur une corde, attendant la précieuse barquette de coquillages cuisinés par les spécialistes locaux et leur recette secrète, parfois transmise de génération en génération.
Frontignan la Peyrade — Coquilles vides et carton plein pour le 11e concours de brasucade - Frontignan la Peyrade -
Côté féminin, le carton plein est au rendez-vous. Chloé Nandi (F.48), Sara Muller (F.52), Mathilde Mignier (F.56), Rim Ridane (F.60), Cyrielle Bories (F.65), Julie Becker (F.70) et Maïmara Lawson-Bouh-Mana se sont toutes parées du plus beau métal.
SPORTMAG - Au-delà du sport — Savate : La France première nation européenne en Assaut -
C’était un pari que c’était fixé l’association Bel Horizon, qui avait déjà fait carton plein l’an dernier pour leur première action. Et rebelotte cette année. Le repas spectacle organisé au profit de la recherche pour le cancer du sein a été couronné de succès. Un peu plus de 250 personnes ont répondu à l’appel d’Anne-Marie Boutet, présidente de l’association.
ladepeche.fr — Saint-Girons. Pari réussi pour l’association Bel Horizon - ladepeche.fr -
Je me rappelle le jour où j’ai compris que j’étais devenu adulte. Je vivais déjà avec Marie, nous avions Agustín depuis deux ou trois ans, je travaillais depuis des années comme je le fais toujours plus ou moins aujourd’hui, charpentier ici et là, bricoleur à droite et à gauche, électricien quand il faut, plombier ou même jardinier si on me le demande, ni trop souvent ni trop peu, juste ce qu’il faut pour maintenir le juste équilibre, rapporter à la maison ma part de revenus et me garder du temps à moi, ne pas me perdre tout entier en chantiers. Marie était déjà traductrice, traduisait déjà Lodoli et d’autres auteurs qu’elle aimait. C’est-à-dire que notre vie était déjà à peu près ce qu’elle est maintenant, et que nous en étions satisfaits, nous songions souvent que nous avions de la chance, nous nous plaisions à V., nous avions des amis, nous sentions que c’était un endroit où nous étions susceptibles de rester un bon moment encore, bref nous allions bien.Et un matin je me suis levé et je me suis dit que ça y est, tu es grand. J’ai réalisé qu’il fallait que j’arrête de me répéter ces mots, plus tard quand je serai grand. Que c’était fait : j’étais grand. Je l’étais devenus à mon insu. Sans que personne vienne me prévenir. J’ai compris qu’il n’y aurait pas d’épreuve. Pas de monstre à vaincre ni de noeud à trancher. Pas de coup de gong solennel. Pas de voix paternelle pour me souffler à l’oreille ces mots, c’est maintenant, t’y voilà. J’ai compris qu’il n’y aurait nulle ligne à franchir. Nul cap à passer. Nul obstacle à surmonter. Qu’être grand simplement désormais ce serait ça : la continuation de ce présent, de cette lente translation, de ce glissement presque imperceptible, seulement décelable à l’érosion de certaines de mes facultés, au grisonnement de mes tempes et de celles de Marie, à notre renoncement de plus en plus fréquent à telle ou telle folie qui autrefois nous aurait semblé le sel même de la vie, à la taille chaque année accrue d’Agustín, à son énergie toujours plus fascinante. À son appétit d’ogre lui aussi décidé à nous dévorer chaque jour un peu plus.J’ai réalisé qu’il ne se passerait rien. Qu’il n’y avait rien à attendre. Que toujours ainsi les semaines continueraient de passer, que le temps continuerait d’être cette lente succession d’années plus ou moins investies de projets, de désirs, d’enthousiasmes, de soirées plus ou moins vécues. De jours tantôt habités avec intensité, imagination, lumière, des jours pour ainsi dire pleins, comme on dit carton plein devant une cible bien truffée de plombs. Tantôt abandonnés de mauvais gré au soir venu trop tôt. Désertés par excès de fatigue ou de tracas. Perdus. Laissés vierges du moindre enthousiasme, De la moindre récréation, du moindre élan véritable. Jours sans souffle, concédés au soir trop tôt venu, à la nuit tombée malgré nos efforts pour différer notre défaite, et résignés alors nous marchons vers votre lit en nous jurant d’être plus rusés le lendemain – plus imaginatifs, plus éveillés, plus vivants.
Sylvain Prudhomme — Par les routes – L’Arbalète -
Pas moins de 450 joueurs s’étaient pressés jeudi dernier en soirée à la salle Spacial, route de Prades, pour tenter le carton plein à l’occasion de la grande rifle de l’union basket Perpignan-Salanque quand, vers minuit, les services de la police judiciaire se sont soudain invités à la fête.
Laure Moysset — « Perpignan -
Avec une moyenne de 35 enfants, de 3 à 12 ans, accueillis par jour, le centre de loisirs a fait carton plein pour cette première semaine des vacances d’hiver. Plusieurs activités ont été proposées durant cette semaine : fabrication de masque, chasse aux pingouins, cuisine, bricolage, jeux collectifs, jeux extérieurs, ainsi qu’une sortie à Défoul’Parc. Les enfants ont été tous ravis.
Le Telegramme — À Plougonven, le centre de loisirs a accueilli 35 enfants par jour en moyenne lors de la première semaine des vacances - Plougonven - Le Télégramme