Accueil > Dictionnaire > Définitions du mot « chimie verte »
Chimie verte
[ʃimi vεrt]
Définitions de « chimie verte »
Chimie verte - Locution nominale
-
Définition manquante ou à compléter. (Ajouter)…
Cette approche contribue au développement d’une chimie verte et durable, car elle permet de s’affranchir ou de diminuer considérablement l’usage de solvants organiques très souvent néfastes.
— Frédéric Lamaty, Une chimie sans solvants
Usage du mot « chimie verte »
Évolution historique de l’usage du mot « chimie verte » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « chimie verte » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « chimie verte »
-
C’est l'idée derrière la « chimie verte », un concept qui a vu le jour il y a une trentaine d'années. Il a d'abord été développé aux États-Unis en réponse à la Pollution Prevention Act de 1990, qui déclarait que la pollution devrait être éliminée par la conception améliorée plutôt que par le traitement et l'élimination. Plusieurs années de discussions au sein de la communauté internationale de la recherche ont ensuite conduit à la publication des « 12 principes de la chimie verte » en 1998.
Chimie verte dans l'industrie des pâtes et papiers - Le Maître Papetier -
Le Plant Based Summit, congrès européen de la chimie verte, se tient jusqu'au 24 mai à Lyon dans une période marquée par de gros investissements. Un secteur qui compte 200 usines et centres de recherche. Les recours aux ingrédients d'origine végétale, substitués aux hydrocarbures, s'accélèrent .
Les Echos — Comment la France a relancé le secteur de la chimie verte | Les Echos -
Haut lieu historique de la pétrochimie, la plateforme de Carling en Moselle continue d'attirer les jeunes pousses de la chimie verte.
Les Echos — Moselle : la plateforme de Carling attire de nouvelles usines de la chimie verte | Les Echos -
Concevoir des produits du quotidien en utilisant des ressources plus écologiques et plus durables, c'est l'ambition de la chimie verte. Un pari qui semblait totalement fou il y a vingt ans mais apparaît de plus en plus comme une évidence. « On a tendance à l'oublier, mais la chimie organique, à l'origine, c'était de la chimie du végétal, rappelle François Monnet, président de l'Association chimie du végétal qui regroupe 55 membres : agro-industriels, chimistes traditionnels et sociétés de biotechnologies. On transformait des huiles, des sucres et du bois. »
leparisien.fr — Une chimie plus verte, c'est possible - Le Parisien -
Les molécules végétales marines, tels les polysaccharides et les composés iodés, sont au cœur d'une évolution scientifique et industrielle : l'application de la chimie verte, respectueuse de l'environnement, aux produits marins. La génomique est un élément clef de ce changement de couleur.
Pourlascience.fr — Étonnante chimie | Pour la Science -
Le café, le bouchon en liège, le parfum, l’huile d’olive et bientôt les batteries électriques de voitures… Tous ces produits ont et vont encore être améliorés grâce aux fluides supercritiques. Une technologie de pointe de la chimie verte dans laquelle excelle une association de Valence.
Drôme. Valence : quinze ans qu’ils plongent dans la matière avec la chimie verte -
Également qualifiée de chimie durable, la chimie verte a vu le jour dans les années 1990. Son objectif : réconcilier l’innovation scientifique, la demande des consommateurs, l’efficacité économique et les contraintes environnementales. Stéphane Sarrade, directeur de recherche en chimie et génie des procédés, nous en propose une définition en vidéo.
Futura — Qu'est-ce que la chimie verte ? -
Les élèves en master chimie verte et éco-innovations de l’Université Savoie Mont Blanc ont envoyé une lettre ouverte à Barbara Pompili, proposant leurs solutions en matière de gestion et de valorisation des déchets.
Savoie. Des étudiants écrivent à Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique