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Clergé régulier
Définitions de « clergé régulier »
Clergé régulier - Locution nominale
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Corps d'ecclésiastiques soumis à une règle de vie, répondant à la règle d'un ordre monastique, telle que celle des moines.
Le clergé régulier incarne une vie de dévotion structurée par les règles strictes des ordres monastiques.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « clergé régulier »
Usage du mot « clergé régulier »
Évolution historique de l’usage du mot « clergé régulier » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « clergé régulier » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « clergé régulier »
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C’est parmi les bons hommes (clergé régulier) que la hiérarchie (clergé séculier) de cette Église est élue. Elle est constituée de trois catégories : évêques, diacres et anciens et/ou prieurés. Chaque église est dirigée par un évêque qui la gère de manière autonome et indépendante des autres, les bons hommes ne reconnaissent pas une autorité supérieure. Les diacres, responsables des communautés des bons hommes et bonnes femmes à l’intérieur de leur diocèse, sont chargés d’assurer le Service, ou aparelhament en occitan, cérémonie mensuelle de confession.
Les cathares : une autre Église chrétienne -
Officiellement, le clergé est considéré comme le premier ordre du royaume, mais la situation réelle est plus complexe. A la fin des années 1780, on estime à 130 000 le nombre de membres du clergé, soit 2% de la population française. Pour moitié le clergé régulier aux deux tiers féminin, et un clergé séculier très inégal avec d’un côté un « état-major » autour des évêques, de l’autre la masse des curés, vicaires ou chapelains.
Le clergé et la religion durant la Révolution française -
Les premières grandes mesures adoptées par l’Assemblée constituante concernant les cultes sont approuvées par une partie de l’Église. La nationalisation des biens ecclésiastiques, qui vise surtout le clergé régulier, est ainsi bien acceptée à Paris par les prémontrés et les dominicains de la rue Saint-Honoré, favorables aux idées nouvelles.
La Croix — Notre-Dame de Paris : sous la Révolution, une cathédrale républicaine (3/5)