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Compost humain
[kɔ̃pɔst ymɛ̃]
Définitions de « compost humain »
Compost humain - Locution nominale
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(Mort) Pratique funéraire consistant à transformer progressivement un corps en humus.
[Titre] Le compost humain, une solution pour réduire l’impact environnemental de la mort ?
— Pierre Bouvier, Le compost humain
Usage du mot « compost humain »
Évolution historique de l’usage du mot « compost humain » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « compost humain » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « compost humain »
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Les habitants de l'Etat de Washington, au nord-ouest des Etats-Unis, ont désormais un autre choix que l'enterrement classique ou la crémation. Une loi va permettre aux défunts d'être transformés en « compost humain », et ainsi retourner littéralement à la terre. Une première aux Etats-Unis.
leparisien.fr — Un Etat américain légalise le «compost humain», un enterrement alternatif - Le Parisien -
Les morts de Washington feront bientôt pousser des pâquerettes. Dans cet Etat du nord-ouest des Etats-Unis, les personnes qui le souhaitent pourront bientôt choisir d'être transformées en « compost humain » après leur décès.
Les Echos — L'Etat de Washington a légalisé le « compost humain » | Les Echos -
En Wallonie, les militants du compost humain ont obtenu en 2014 une avancée subtile. Dans le Code local, qui ne mentionnait que l'inhumation ou la crémation, ils ont obtenu l'ajout de point de suspension.
leparisien.fr — Transformer le corps humain en compost, une alternative aux funérailles classiques - Le Parisien -
La première installation de compost humain va prochainement ouvrir ses portes à Seattle. La technique de l' « humusation », alternative dernier cri à l'incinération et à la crémation, permet d'intégrer un écosystème et de contribuer à l'équilibre général du milieu naturel. Quoi de plus honorable que de vouloir inscrire son décès dans le cycle de vie ? En enterrant ses morts, il y a quelque 100.000 ans, alors qu'il était encore nomade, Homo Sapiens a inauguré l'ère de la société bien avant celle des croyances. Retrouvons son sens de la modernité.
Les Echos — Je veux faire don de mon corps à l'écologie | Les Echos