Accueil > Dictionnaire > Définitions du mot « culture de rente »
Culture de rente
[kyltyr dœ rɑ̃t]
Définitions de « culture de rente »
Culture de rente - Locution nominale
-
(Agriculture) Culture qui peut générer des liquidités, souvent destinées à l’exportation.
Une culture de rente, moteur économique tourné vers l'exportation, transforme les récoltes en richesse monétaire.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « culture de rente »
- (Date à préciser) Composé de culture et de rente, locution créée par opposition avec la culture vivrière, destinée habituellement à sa propre consommation.
Usage du mot « culture de rente »
Évolution historique de l’usage du mot « culture de rente » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « culture de rente » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « culture de rente »
-
Le climat ayant un impact positif et même le type de sol c’est une culture de rente convoité par toutes les zones agro-écologiques actuellement au Cameroun. Dans ce contexte, Monsieur YONTA MELI Philipe PDG du GIC ESPERO décide tester dans son exploitation, la production du poivre. L’exploitation se trouve dans la zone forestière humide à régime pluviométrique monomodal (régions du Littoral). Vue cette initiatives il sera important de faire ressortir les facteurs favorisants et limitant de la production de cette spéculation dans la dite structure.
camer.be — Cameroun : LA PRODUCTION DU POIVRE BLANC DANS LE DEPARTEMENT DU NKAM PARTICULIEREMENT DANS LE VILLAGE DIWOM. FACTEURS FAVORISANTS. :: CAMEROON -
Depuis des décennies, les communautés locales côtoient, dans cette contrée fertile, des hommes et des femmes venus des régions voisines ainsi que des pays limitrophes ; chacun et chacune essayant de tirer profit de la culture de rente ou du minerai du moment. Mais cette cohabitation ne va pas sans remous. Les « autochtones » accusent régulièrement les « allochtones » (Ivoiriens d’une région voisine) et les « allogènes » (étrangers non ivoiriens) de se servir de leurs terres et de bousculer les traditions ancestrales locales.
Le Monde.fr — Dans l’ouest ivoirien, une cohabitation sous tension -
Le mil est la base de l’alimentation des ménages ruraux dans le bassin arachidier malgré une percée notable du riz dans les habitudes alimentaires. Il est consommé essentiellement sous forme de coucous, de bouillies à base de farine ou de semoule. Le mil est donc avant tout une culture vivrière mais qui tend à devenir également une culture de rente en raison d’une demande importante des zones agricoles déficitaires et de la capitale Dakar où sa consommation, après avoir fortement décliné, semble reprendre grâce à la mise en marché de produits plus rapides et faciles à préparer proposés par des petites entreprises.
Au Sénégal, le cœur du Sénégal — Aperçu de l’agriculture sénégalaise- Au Sénégal, le cœur du Sénégal -
La réalisation d’un faux semis et la préparation des terres pour le semis de la culture de rente sont deux opérations similaires. Dans les deux cas, l’agriculteur a pour objectif de créer les conditions propices à la germination des graines, qu’elles soient de repousses, d’adventices ou de la culture à suivre.
Terre-net — Faux semis